Occurences de l'expression
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pour BOURSAULT, Edme
Options de recherche : partie de mot et insensible à la casse
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MARIE STUARD (1691)
- Euric, dans ce palais ne m'accompagnez pas, v.1 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Ou quelque grand dessein doit rouler dans son âme. v.4 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Pour me le confier il m'a mandé trois fois : v.5 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Dans l'endroit concerté j'ai déjà pris le soin, v.13 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Sans cesse de son trône infatigable appui ; v.21 (Acte 1, scène 1, EURIC)
- Un serment solennel après de grands combats, v.25 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- À voir si dans ce lieu nous sommes sans témoins. v.42 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Pour les gens de ma sorte est un lieu dangereux. v.46 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Avant que de répondre interrogez-vous bien, v.53 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Vos jours sont en danger, je ne puis vous le taire : v.56 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Et que par vos bontés je me vois dans un rang v.65 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Digne d'un plus grand home, et d'un plus noble sang. v.66 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Et la reconnaissance est ma première loi. v.70 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Ainsi que vos bontés mon zèle est sans limites. v.71 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Depuis qu'Elisabeth règne sur les anglais v.77 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Dès qu'il l'eut affermie en son auguste rang v.81 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Pour le prix de son zèle elle eut soif de son sang ; v.82 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Dans les fers, dans l'opprobre est-elle gémissante ? v.88 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Verrons-nous sans horreur un ouvrage si beau v.89 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Qui n'eut point vu le jour sans le secours d'un crime, v.92 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Que dira l'avenir d'une audace si grande ? v.95 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Donnons à la vertu l'appui qu'elle demande. v.96 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Mais dans une occurrence où tout doit m'effrayer, v.101 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Tel qui m'offrait son sang me refuse son bras v.105 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Et mes plus grands bienfaits n'ont fait que des ingrats. v.106 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Injuste aux étrangers, cruelle à ses sujets, v.109 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- S'il vous manque, Seigneur, un bras pour le commettre, v.115 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Ne laissez point languir mon zèle impatient. v.117 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- L'esprit d'Elisabeth, inquiet, défiant, v.118 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- En de plus dignes mains transmettons son pouvoir, v.121 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Avant qu'elle ait le temps de s'en apercevoir. v.122 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Dans l'auguste Stuard l'aime la vertu même, v.127 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Est le plus dangereux de tous ses ennemis. v.130 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Entre une reine et moi le ciel met tant d'espace, v.135 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Vous ne pouviez, Seigneur, dans un sein plus fidèle v.139 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Tout mon sang répandu pour vous prouver ma foi v.141 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Que puis-je ? Commandez. Et quoi que je hasarde? v.146 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Avec tant de zèle et de reconnaissance, v.151 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Avec tant de bontés, tant d'ardeur, tant de foi, v.152 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Je ne les risque point quand je vous les confie. v.154 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Mais de ce grand dessein l'événement douteux v.156 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- L'espoir de s'agrandir fait aisément un traître. v.163 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Des juges dévoués, sans honneur, sans naissance, v.166 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Dans ses cruelles mains tient l'arrêt de sa mort. v.169 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- La grandeur du péril les doit autoriser. v.173 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- D'avoir dans mon malheur un ami tel que vous ! v.177 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Comte, puisque pour moi votre ardeur est si grande, v.178 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- L'effort dont j'ai besoin, et que je vous demande, v.179 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Qui par les droits du sang est votre souveraine. v.183 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Si je sors d'Angleterre, et qu'on vous y retienne, v.186 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Quel rang n'aurez-vous point dans la paisible cour v.192 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Et sans doute le ciel nous offre ce secours, v.196 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Pendant l'obscurité, le calme et le silence, v.198 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Du Comte de Morray trompons la vigilance : v.199 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Et que j'étale ici la grandeur de ma joie. v.207 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Mon plus grand ennemi met le comble à mes voeux v.209 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Mais prêtez de la force à mon coeur qui chancelle ; v.215 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Quand je songe à l'horreur qui suit le nom de traître, v.222 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Mon âme chancelante, incertaine, confuse, v.226 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Tantôt s'offre à la honte, et tantôt s'y refuse ; v.227 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Avez-vous vers le crime un penchant si rapide, v.230 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- D'honorer sa vertu de regrets impuissants. v.233 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Il faudrait que mon sang ? v.238 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Qui ne changent de nom quand ils ont du succès. v.245 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Tant qu'un lâche devoir a réglé ma conduite, v.246 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- En quel rang ma fortune a-t-elle été réduite ? v.247 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et lorsque sans effroi je me suis écarté, v.248 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Pour m'exclure à jamais de la toute-puissance, v.250 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Ma soeur m'oppose en vain les droits de la naissance. v.251 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- L'Angleterre exceptée, en tous les autres lieux, v.252 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Dans l'État le plus calme excite une tempête : v.255 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Un sceptre ne sied bien quand dans la main des rois ; v.256 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et le trône chancelle à moins qu'il n'ait son poids. v.257 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Seigneur, d'elle et de vous la naissance inégale. v.258 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Décide en sa faveur de la grandeur royale : v.259 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Et quels défauts ? Allez, ce n'est qu'une manie. v.262 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Il y manque, il est vrai, quelque cérémonie ; v.263 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Si j'étais né d'un sang qui fut moins glorieux, v.280 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- L'Écosse où je commande, unie à l'Angleterre, v.286 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Vos fidèles conseils à qui je m'abandonne, v.290 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Ne peuvent balancer l'amour qu'elle me donne, v.291 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et je ne réponds pas qu'avant la fin du jour, v.292 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Si l'union des coeurs n'ait de la ressemblance, v.302 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Elle n'épargnera rien dans l'espoir de régner ; v.304 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Elle le cimenta du sang le plus illustre : v.307 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Outre l'appas flatteur de cette ressemblance, v.310 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Pour rendre nécessaire une telle alliance, v.311 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Quel prince dans l'Europe a la même avantage ? v.314 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Je lui laisse le jour tant qu'il m'est nécessaire ; v.318 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Quoique fasse le sang, il faudra peu d'effort v.328 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Pour mettre un si grand coeur au dessus des remords. v.329 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Et faite avec art entrer dans vos discours, v.332 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Enfin, pour la contraindre à la reconnaissance, v.334 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Et pour qui son estime est changé en horreur. v.341 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Dans cette occasion montrez-lui votre zèle. v.346 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- A sans doute à la Reine appris quelque nouvelle. v.351 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Voilà mon sentiment que rien ne peut changer. v.356 (Acte 1, scène 4, MORRAY)
- De quelque part qu'il vienne écartons le danger. v.357 (Acte 1, scène 4, MORRAY)
- Sa voix est impuissante où parle mon devoir. v.361 (Acte 1, scène 4, MORRAY)
- De tant de conjures il eût suivi les traces ? v.363 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Lui, que j'ai tant de fois comblé d'honneurs, de biens, v.364 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- En quelque rang qu'il soit je lui ferait connaître; v.366 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Elle n'égale pas la grandeur de son crime. v.375 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- À ce langage obscure ne voulait rien comprendre v.387 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Enfin, voyant l'ingrat m'éviter tous les jours, v.388 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- À ceux qui la briguaient ne pouvant l'accorder, v.392 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Je lui laissais le temps de la redemander. v.393 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Dans la crainte où j'étais de la trouver coupable, v.394 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Je jure que sa mort devancera la mienne, v.399 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Par un crime si grand il viole à la fois, v.404 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Il trahit son devoir, vos bienfaits, sa naissance ; v.406 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Il est sans foi, sans zèle et sans reconnaissance : v.407 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Et les rois savant-ils quand on leur est fidèle ? v.411 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Et ceux qui devant eux se présentement le plus, v.416 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Euric, pour commander ma garde, v.423 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Charmé de cette confiance, v.426 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Je jure que vos jours sont en pleine assurance, v.427 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Je vais pourvoir à tout. Pour vous, qui tant de fois v.436 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Qui dès vos jeunes ans réduite à vous contraindre; v.438 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Avec tant de succès apprîtes l'art de feindre ; v.439 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- D'adorer votre soeur, et de vivre sans elle : v.447 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Ainsi ma cruauté, sans permettre qu'il meure, v.450 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Jouir de ma vengeance et de son désespoir. v.453 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- À languir dans la honte on pourrait le contraindre v.454 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- La Flandre est toute prête à lui tender la main. v.457 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Et vous n'ignore pas que pendant une nuit, v.460 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Pour éteindre en son sang le fureur qui l'anime, v.462 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Laissez-moi le surprendre en commettant son crime : v.463 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Quand de la trahison vous ne douterez pas. v.465 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Hé bien, Lancastre, hé bien ; tu vois ce qui se passe : v.466 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Parle sans me flatter ; jet e fais le témoin, v.468 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Je croyais sur son coeur ma puissance absolue. v.470 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- À quoi, Lancastre ? Apprends que plus j'ai de bontés, v.472 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Je ne lui devais pas tant de marques d'estime, v.474 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Qui sans doute en secret lui reproche son crime ; v.475 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Pour en banner d'abord ce qu'elle eut de tendresse ? v.483 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Quand vous la sentirez vous demander sa grâce, v.486 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Prompte à le garantir du sort qui le menace, v.487 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Non, Lancastre, ma haine est due à son outrage. v.490 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Et tous deux de concert abusant de ma foi, v.500 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Chacun pour la sauver faisant des voeux secrets v.504 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Plutôt dans ce palais que dans la Tour de Londres ; v.507 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Et c'est là que le Duc la voyant chaque jour, v.508 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Pour ses yeux criminels à conçu tant d'amour. v.509 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Qui croirait que pour elle on m'eut abandonnée, v.511 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Et qui, Lancastre, et qui ? Tu le sais, un ingrat, v.512 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Dont on ait vu punir les crimes des amants. v.517 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Cependant pour sa mort j'aperçois qu'on affecte, v.518 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Une si grande ardeur qu'elle est un peu suspecte. v.519 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Quand d'un crime d'état on se croit assure, v.520 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Pendant qu'un plein repos règne dans vos États ; v.536 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Qui suivent à grands pas leurs coupables ancêtres. v.543 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Tous qui ne craignez point qu'on vous manque de foi, v.544 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Sans avoir mes raisons, vous veillez comme moi. v.545 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Avez-vous eu du ciel un plu grand privilège ? v.546 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- On doit peu s'étonner, quand tout m'ose trahir, v.556 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Pour vous, de qui les jours tous rayonnants de gloire, v.558 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- De tant d'heureux succès embellirons l'histoire v.559 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- C'est assez, Duc. Votre zèle est si grand. v.568 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Pardon, belle Stuard, si mon âme chancelle : v.583 (Acte 2, scène 4, NORFOLK)
- Le devoir dans mon coeur a fait taire l'amour. v.585 (Acte 2, scène 4, NORFOLK)
- Avant que de souffrir qu'elle vous fut ravie ? v.587 (Acte 2, scène 4, NORFOLK)
- Je vous tiendrai parole ; ou mon sang répandu v.588 (Acte 2, scène 4, NORFOLK)
- Dans son appartement la reine est retirée, v.591 (Acte 2, scène 5, EURIC)
- Avant que de ce lieu tu ramène l'aurore, v.599 (Acte 2, scène 6, NORFOLK)
- Je suis trahi sans doute, Euric revient sans elle. v.603 (Acte 2, scène 6, NORFOLK)
- À la reine d'Écosse a-t-on manqué de foi ? v.604 (Acte 2, scène 7, NORFOLK)
- Je devance ses pas pour dissiper sa crainte. v.607 (Acte 2, scène 7, EURIC)
- De vous rendre funeste une bonté si grande ! v.611 (Acte 2, scène 8, MARIE-STUARD)
- En voulant me sauver ne vous perdez-vous pas ? v.613 (Acte 2, scène 8, MARIE STUARD)
- Sortons, Madame? Ô Ciel ! D'où vient un si grand bruit ? v.617 (Acte 2, scène 8, NORFOLK)
- Qui suivaient à grand pas leurs coupables ancêtres : v.635 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Gardes, sans balancer, entraîner ce perfide. v.638 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Il faut que de son sort ma vengeance décide. v.639 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Ces coupables amants trouveraient trop de charmes, v.642 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Tant qu'a duré la nui votre esprit agité, v.652 (Acte 3, scène 1, LANCASTRE)
- Contre un héros si grand que ferait l'Angleterre v.671 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Qui prendrait son parti dans un pareil malheur, v.672 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- La voyant attaquée avec tant de valeur ? v.673 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Votre État chancelait, et ne chancelle plus v.681 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Tant je goûtais de joie à trouver un moyen v.688 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Au gré de votre haine avancez mon trépas ; v.692 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- C'est un crime trop bas au rang où je me vois, v.696 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Et quand d'une princesse odieuse, coupable, v.698 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- En donnant cet arrêt n'ont-ils pas consulté ? v.704 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Dans le funeste emploi que je reçus contre elle, v.707 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Contre tous ses appas m'étant mis en défense, v.710 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Sa beauté sur mon coeur n'eut aucune puissance ; v.711 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Et ma sévérité repoussant tous ses traits, v.712 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Je voulus pénétrer dans le fond de son âme : v.715 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Loin d'une avidité à verser votre sang v.720 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Pour s'ouvrir une voie à votre auguste rang ; v.721 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Je trouvais dans l'opprobre une reine incapable. v.722 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Je trouvai la vertu que l'on tyrannisait v.724 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Sans se plaindre un moment des maux qu'on lui faisait. v.725 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Qui préférant la gloire à de fragiles biens, v.728 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Enfin, je fus surprise dans cette conjoncture v.730 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- De voir tant d'injustice, et si pue de murmure ; v.731 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Mon corps percé de coups vous est un sûr garant v.740 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- De votre sang peut-être un jour seront avides. v.743 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Et ce crime impuni va suffire aux anglais v.748 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Animés d'un pur zèle ils périraient pour moi v.752 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Est-il quelque grandeur que je t'ai interdite ? v.754 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Jusques dans tes défauts je trouvais du mérite. v.755 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Vois maintenant, vois, lâche, où tu te précipites ! v.762 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Proscrite, abandonnée ? v.767 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Dans l'asile sacré que vous avez offert ! v.773 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Étais-ce en Angleterre où l'adressait sa fuite ? v.775 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Elle se retrouvât dans le bouche des rois. v.785 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Que sans trahir l'État j'abandonnais ces lieux. v.793 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Je jure que tranquille en son funeste sort v.796 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Sans se plaindre de vous elle attendait la mort : v.797 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Sans avoir son aveu je ménageai sa fuite ; v.799 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Elle s'est oppose autant qu'elle a pu : v.801 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Et de mon coeur tranquille avoir troublé la paix, v.808 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- De ton sang odieux tu me vois plus avide v.810 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- De te faire à mes yeux mourir autant de fois ! v.813 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Par l'espoir du salaire animez vos bourreaux v.820 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Mais né votre sujet, nourri dans votre cour, v.824 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Tandis que de mon sang j'ai pu payer vos grâces, v.826 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Et ma reconnaissance écrite en tant de lieux, v.828 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Sauvez le sang de tant de rois v.836 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Que s'apprête à répandre une main odieuse : v.837 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Et s'il faut dans la suite un puissant secours, v.843 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Où la reine d'Écosse eut un abri tranquille. v.855 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Ils doivent s'assembler dans la sale prochaine. v.858 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Comme ta trahison ma vengeance est certaine. v.859 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Ma joie en t'accablant ne serait pas entière, v.863 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Lui laissait ignorer ma vengeance et ta mort. v.865 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- J'attendrai le trépas l'âme ferme et tranquille, v.886 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Si mon sang répandu vous devenait utile ; v.887 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Fait que dans ce moment nul espoir ne vous reste, v.891 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Le ciel qui dans nos coeurs voit tout ce qui se passé, v.894 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Du zèle qui m'anime a condamné l'audace ; v.895 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Aux efforts impuissants d'un si faible secours. v.897 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Pour vous, qui renoncez au rang le plus auguste v.902 (Acte 3, scène 4, MARIE-STUARD)
- De répandre les dons qu'ils retiennent pour eux ? v.909 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Vous, enfin, qui sans fraude ayant été mon juge v.910 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Que l'on me rend justice en me donnant le mort. v.917 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Tant que votre bonté présume qu'on m'opprime, v.918 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Je me flatte en mourant d'emporter votre estime ; v.919 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Et si j'avais parlé, vos mépris éclatants, v.920 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Je puis manquer de tout, hors de reconnaissance. v.923 (Acte 3, scène 4, MARIE-STUARD)
- Pour un plus grand sujet puis-je cesser de vivre ? v.927 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Quand mes tristes jours je fais un sacrifice, v.931 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Si je n'eusse espéré que d'un crime si grand, v.936 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- J'obtiendrai le pardon au moins en expirant. v.937 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Montre qu'aucun dessein n'est entré dans mon âme ; v.939 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- J'ai brûlé, j'ai languis ; j'ai plus fais, j'ai su taire v.942 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Je n'ai point oublié de quel sang je fus née v.947 (Acte 3, scène 4, MARIE-STUARD)
- Et le reste d'un sang dont le force féconde, v.950 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- A depuis deux mille ans donné des rois au monde, v.951 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Au rang le plus sublime a d'assez justes droits, v.952 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Au surprenant aveu que vous venez de faire : v.955 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Ce que la médisance osera publier v.964 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Et que dans un arrêt qu'un tel juge a dicté v.968 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Ah Duc, qui de mes maux avez vu la constance, v.970 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- L'amour auprès d'un juge est un grand intérêt. v.973 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Que ne bannissiez-vous? v.975 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Tant que j'ai de la reine ignorer l'injustice v.978 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Enfin, Madame, enfin, s'il faut parler sans feindre, v.982 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Plus entre vous et moi le ciel mit de distance v.990 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- En fuyant le péril j'aurais su m'en défendre ; v.995 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Mais votre auguste rang, et mon cruel devoir v.996 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Je croyais être sûr en cherchant à vous plaire, v.998 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Et j'ignorais, Madame, en prenant ce parti, v.1000 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- L'amour le plus puissant qu'on ait jamais senti. v.1001 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- On me vient d'ordonner dans le même moment v.1004 (Acte 3, scène 5, KILLEGRE)
- De vous faire rentrer dans votre appartement, v.1005 (Acte 3, scène 5, KILLEGRE)
- Mais du sort le plus rude éprouvant le courroux v.1012 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- Ne me condamnez pas au plus grand des supplices : v.1014 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- Puisse le juste ciel en finissant les miens v.1020 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- Vous affranchir de maux et vous combler des miens. v.1021 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- Qui vous ôte avant moi des misère du monde, v.1023 (Acte 3, scène 5, MARIE-STUARD)
- Elle m'envoie exprès pour vous la demander. v.1032 (Acte 4, scène 1, NEWCASTLE)
- Mon sort est d'obéir, le sien de commander. v.1033 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Après ce coup d'essai, ton penchant pour le crime v.1038 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Te peut faire prétendre au rang le plus sublime ; v.1039 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Toi qui né dans la boue y serait demeuré v.1040 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Tiens, reporte à la reine un présent, qui sans doute, v.1042 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Devait m'appartenir par le sang qu'il me coûte : v.1043 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Tout méchant que tu sois, quelque effort que tu fasses, v.1046 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Tu ne peux en un jour oublier tant de grâces : v.1047 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Je t'en cause un trop grand si tu te rends justice. v.1051 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Gardes, je voudrais bien dans mon malheur extrême, v.1054 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Dans un lieu plus tranquille accompagnez mes pas. v.1056 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Tantôt dans la chaleur d'un aveugle courroux, v.1060 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Quatre autres vieillards, consommez dans les lois, v.1064 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Avant que de vous voir je détestais le crime ; v.1074 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- Un appas de grandeur a corrompu ma foi : v.1076 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- De méchant à méchant, quoique l'on se promette, v.1078 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- Pendant que son courroux l'aveugle, et la séduit, v.1092 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Pendant que de ma soeur, sujette aux mêmes lois, v.1096 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Quand je perds mon rival, une fureur égale v.1098 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Semble animer la reine à perdre sa rivale ; v.1099 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Sans être signalé par un double trépas. v.1101 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Ne vous opposez pas au penchant qui m'entraîne, v.1103 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Comtes. Quelque fierté que m'inspire mon sang v.1104 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Le repos de mon coeur m'est plus cher que mon rang. v.1105 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Je demande à le voir, et j'abhorre sa vue. v.1115 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Tantôt à ma douleur ne pouvant résister v.1116 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Dans l'espoir que la mort l'allait faire dédire ; v.1119 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Ou que dans un palais plein d'un nom redouté v.1120 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Mais, méprisant la mort, et bravant ma puissance, v.1122 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- De l'air tendre et touchant dont il s'est exprimé, v.1124 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Trouvait-il dans ses fers une fortune égale ? v.1127 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Dans le reine d'Écosse ont puni tant de crimes, v.1147 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- J'ai pu deux mois plus tôt trancher sa destine ; v.1150 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Dans le gloire suprême où la gloire les fait naître, v.1154 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- D'avoir dans mes états, où tout était tranquille, v.1162 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Attiré l'étranger, corrompu mes sujets. v.1164 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Vous souffrez, cependant, qu'on l'envoie au trépas v.1168 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- à des pairs corrompus dont la vue épouvante v.1170 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Vous livrez sans scrupule une reine innocente. v.1171 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- La plus grand roi du monde y paraît sans appui ; v.1176 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Dans ce degré sublime il lui doit avantage ; v.1179 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Et devient responsable, après tant de bienfaits, v.1180 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Et voir sans passion une adorable reine, v.1183 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Qui pour essai de crime a conçu sans effroi v.1188 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Si d'une reine auguste à qui le sang vous joint, v.1200 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Ce n'est point en amant, c'est en sujet fidèle, v.1203 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Qui voudrait en mourant vous pouvoir dérober v.1204 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Jusqu'ici votre règne heureux de l'Angleterre, v.1206 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- De l'aurore au couchant les plus augustes rois v.1208 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Briguent votre alliance, ou craignent vos exploits : v.1209 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Elle est de même rang, de même autorité, v.1212 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Enfin de même sang que votre majesté. v.1213 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- C'est leur sang le plus pur qu'on s'apprête à répandre : v.1215 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Le soin de s'agrandir par d'injustes moyens? v.1220 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Ils m'animent tous deux à hâter ton supplice : v.1223 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Va prouver ta confiance à l'objet qui t'enflamme ; v.1227 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- En te précipitant du degré le plus haut, v.1228 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Va de ton sang impur rougir un échafaud. v.1229 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Ce sang qu'en divers temps ont noirci tant de crimes, v.1230 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Ce sang toujours rebelle à ses rois légitimes, v.1231 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Tu dégénérais en manquant à les suivre, v.1239 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Tant que votre courroux m'a pris seul pour objet v.1244 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Mais quand de mes aïeux on terni la mémoire, v.1246 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Quand de leur destinée on déguise la gloire ; v.1247 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Leur sans qui sans opprobre est venu jusqu'à moi, v.1248 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Me défend de manquer à ce que je leur dois. v.1249 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Voilà les grands forfaits dont ils furent coupables. v.1254 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Faire aller plus avant ma haine et tes forfaits. v.1260 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Quand j'aurais oublié tes autres attentats, v.1263 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Mais, perfide, ta reine est assez magnanime v.1265 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Ma bonté fatigue autant qu'elle doit l'être, v.1269 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Prêt à voir par ta mort ma vengeance assouvie : v.1273 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Pour le justifier que ton zèle soit grand v.1279 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Une fois violée est un mauvais garant. v.1280 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- C'est par un grand effort qu'un grand crime s'efface ; v.1281 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Commandez. v.1283 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Les pairs, dont l'équité s'est acquis tant d'estime, v.1284 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Eux, qui dans aucun sang n'autorisent le crime, v.1285 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Pour rendre à l'Angleterre un plus tranquille sort v.1286 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Ton nom manqué à l'arrêt qu'on a donné contre elle : v.1288 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Réponds sans balancer. v.1293 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Ma rivale à la mort va devancer tes pas, v.1295 (Acte 4, scène 5, MORRAY)
- Tant que ma lâcheté lui laissera le jour v.1298 (Acte 4, scène 5, MORRAY)
- Dût sa tête en tombant armer toute la terre v.1300 (Acte 4, scène 5, MORRAY)
- Pour venir à grands pas fondre sur l'Angleterre, v.1301 (Acte 4, scène 5, MORRAY)
- Un amour sans espoir dure peu dans une âme : v.1308 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Sa maîtresse en mourant fera mourir sa flamme ; v.1309 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Et l'ayant condamné, s'il échappe au trépas v.1310 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Et dans leurs intérêt les nôtres confondus? v.1318 (Acte 4, scène 6, NEWCASTLE)
- C'est par des flots de sang que l'on doit s'en laver ; v.1322 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Je mourrai sans regret si je meurs après lui. v.1331 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Quand il faudra partir je n'ai rien qui m'arrête. v.1332 (Acte 5, scène 1, MARIE-STUARD)
- Votre zèle, Melvin, est gravé dans mon âme. v.1337 (Acte 5, scène 1, MARIE-STUARD)
- Et je vais au trépas sans rien faire pour vous. v.1339 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Et de ce rang suprême il ne m'est rien resté v.1342 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Dans un long voyage ai-je trop peu souffert ? v.1350 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Faut-il verser des pleurs quand un port m'est offert ? v.1351 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Madame, vos bontés, mon devoir, votre rang, v.1354 (Acte 5, scène 1, MELVIN)
- Ne demandent ici que des larmes de sang. v.1355 (Acte 5, scène 1, MELVIN)
- Pour enfant du feu roi je t'ai fait reconnaître ; v.1365 (Acte 5, scène 2, MARIE-STUARD)
- Et sans approfondir si tu sors de son sang v.1366 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Je t'ai fait dans ma cour tenir le premier rang. v.1367 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Si le sang qui t'anime était le sang d'un roi, v.1370 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Serais-tu sans honneur, sans tendresse, sans foi ? v.1371 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Élevé dans ma cour, ta criminelle audace v.1372 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Pour m'en faire tomber par de sanglants effets v.1374 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Du ciel qui le foudroie appuyant le courroux v.1382 (Acte 5, scène 2, MORRAY)
- Puisse mon sang verse par vos brigues secrètes v.1396 (Acte 5, scène 2, MARIE-STUARD)
- Je sens dans mon coeur qui s'émeut, qui chancelle, v.1400 (Acte 5, scène 3, MORRAY)
- Et préférer toujours, sans en être confus, v.1406 (Acte 5, scène 3, MORRAY)
- Cette grande vertu, la plus digne des rois, v.1418 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Quand j'impose silence à mon juste courroux v.1426 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Où vous donnez des lois dont les méchants frémissent, v.1437 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- On verrait sous ses lois par des mains étrangères v.1440 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Arracher les enfants du tendre sein des mères, v.1441 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- En vous parlant ainsi je trahis la nature ; v.1444 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Mon sang qui se révolte en soupire, en murmure ; v.1445 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Je prévois des malheurs qui seraient sans limites. v.1452 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Et pour le bien commun oubliant leurs débats v.1458 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Et vous verrez de loin leur impuissant courroux v.1466 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Si vous voulez lancer ou retenir la foudre. v.1469 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Ma soeur touché à son terme, et dans quelques instants v.1470 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Suivez votre penchant sans aucune contrainte. v.1472 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Ingrat à votre amour vous a manqué de foi. v.1487 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Si je pouvais sans honte éclater contre vous. v.1491 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- L'intervalle est plus grand, quoiqu'il manqué de foi, v.1494 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Ah traître ! Dans mon coeur tu sais ce qui se passe. v.1504 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Lancastre. Ce perfide, ennemi de sa soeur, v.1506 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Je me serai puni, mais mon sang répandu, v.1514 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Quel sujet vous anime à tenir ce discours ? v.1518 (Acte 5, scène 5, ELISABETH)
- D'une reine innocente on a tranché la jour. v.1519 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Ma main à m'en punir ne balancerait pas : v.1527 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Vous anime à ma perte, et c'est ce que je veux. v.1531 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Imprimé dans mon coeur l'effroyable maxime v.1540 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Ton sang, pour le venger, répandu goutte à goutte ? v.1548 (Acte 5, scène 5, ELISABETH)
- Tout cède à l'ascendant de votre heureux destin. v.1555 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Que pendant sa prison, quoiqu'elle ait enduré, v.1562 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et que du fond des coeurs ayant seul connaissance v.1564 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Là, de tendres soupirs s'étant joints à sa voix, v.1566 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Au plus grand des malheurs est peut-être exposé : v.1571 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Ce sang de tant de rois le déplorable reste, v.1572 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Est peut-être élevé dans un culte funeste. v.1573 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Dans un péril si grand devenez son appui. v.1574 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Avant que de régner faites qu'il en soit digne. v.1577 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et je vous recommande et mon âme et ses jours. v.1579 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Pendant que de son coeur la tendresse s'explique, v.1580 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Ses filles, cependant, les yeux baignés de larmes, v.1592 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Qui sans l'aveu du coeur ont fait tant d'attentats, v.1599 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et la victime prête à ce grand sacrifice, v.1601 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et tous les gens de bien plaignant son triste sort v.1605 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Pendant ces derniers mots le ministre inhumain v.1613 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- A tranché le destin de cette grande reine. v.1616 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Deux fois sur l'échafaud la tête bondissante v.1619 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et dans tous les esprits répandu tant d'effroi v.1621 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Pour venger son trépas l'ardeur qui les anime v.1623 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et si votre pouvoir n'arrête ce transport, v.1625 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Tous ses juges, sans doute, auront un même sort. v.1626 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Hé bien, sens-tu, méchant, que ton coeur se confonde ? v.1632 (Acte 5, scène 6, ELISABETH)
- Te sens-tu dans le crime assez bien affermi, v.1633 (Acte 5, scène 6, ELISABETH)
- Monstre, que dans ces lieux les enfers ont vomi ? v.1634 (Acte 5, scène 6, ELISABETH)
- À qui veut que le crime éternise ses ans v.1637 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Les forfaits les plus noirs sont les plus éclatants. v.1638 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Si le sort inconstant ne m'eut manqué de foi. v.1646 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Vos droits à l'Angleterre étant peu légitimes, v.1647 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Et les miens à l'Écosse étant crimes sur crimes, v.1648 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Tous deux enfants de roi par un semblable sort v.1653 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Son aveugle colère a manqué de prévoir v.1657 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Voilà sans balancer le parti qu'on doit prendre. v.1660 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Il est trop peu puni pour de si grands forfaits. v.1662 (Acte 5, scène 6, ELISABETH)
- Et j'ai la gloire, au moins, dans un sort si fatal, v.1665 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
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ÉSOPE À LA COUR (1701)
- D'amuser tant d'honnêtes gens ? v.4 (Prologue, scène 1, UN PETIT GÉNIE)
- Au bonheur d'être grand j'aurais tort de prétendre ; v.5 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- L'auteur pour son génie ayant voulu me prendre, v.7 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Je laisse aux grands esprits à choisir dans l'histoire v.9 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Des événements de grand poids. v.10 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- "Pour qui nous croit-il prendre, en débitant cela ? " v.21 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Dans ce qu'on va représenter : v.30 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Avoir fait écouler plus de deux mille années, v.34 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Tous les hommes étant des hommes, v.36 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- S'y trouve si bien peint qu'il soit presque parlant, v.40 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Il ne sera plus ressemblant. v.42 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Sans vous le demander, il est sûr de l'avoir. v.45 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Mon but, en le faisant, fut l'honneur de vous plaire : v.46 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Le voyant de retour, nous néglige tous deux. v.52 (Acte 1, scène 1, TIRRÈNE)
- Ce qu'avant son voyage il faisait d'ordinaire. v.62 (Acte 1, scène 1, TRASIBULE)
- Des états de Crésus ayant fait tout le tour, v.67 (Acte 1, scène 1, TRASIBULE)
- Soyez dans votre haine aussi ferme que moi. v.71 (Acte 1, scène 1, TRASIBULE)
- Eh ! Seigneur, se peut-il qu'après tant de v.76 (Acte 1, scène 2, IPHIS)
- Mon ordre est une loi, c'est moi qui vous l'annonce, v.77 (Acte 1, scène 2, CRESUS)
- Il n'est grands ni petits des endroits d'où tu viens v.83 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Loin de flatter les miens dans ce degré suprême, v.93 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Règle ce que je dois suivant ce que je puis, v.95 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Mais, dans l'heureux état où vos bontés m'ont mis, v.99 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Ne me commandez rien qui ne me soit permis. v.100 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Il est beau qu'un monarque aussi grand que vous l'êtes, v.101 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et l'on étale aux rois d'un plus tranquille front v.111 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Quel monarque a-t-on vu, pendant qu'il a régné, v.115 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Les rois qui sur ma tête ont transmis la couronne v.117 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Ont eu, quand ils régnaient, tous les noms qu'on me donne. v.118 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Les auront à leur tour pendant qu'ils régneront. v.120 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Qu'on encense la place autant que la personne ; v.122 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Ne souffre dans ma cour nul flatteur qui l'infecte. v.126 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- De ton zèle pour moi donne-moi tant de marques v.133 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Après avoir deux fois vu Samos dans vos chaînes, v.141 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Sans être conquérant un roi peut être auguste. v.145 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Dans le sein de la paix faire de toutes parts v.147 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Protéger votre peuple autant qu'il vous révère, v.149 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et père de son peuple est un titre plus grand v.151 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Que ne le fut jamais celui de conquérant... v.152 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Eh ! Qui sait mieux que moi la grandeur de ton zèle ? v.154 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Et des soins du dehors passe à ceux du dedans : v.156 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Bannis-en les abus, chasses-en l'injustice : v.158 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Ta bonté pour le peuple a pris des soins si grands !... v.159 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Dans les moins délicats j'ai trouvé tant de foi, v.163 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Quand il sait que vos yeux en seront les témoins ; v.176 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Cet autre en plaisantant devient sexagénaire ; v.178 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- On est si dissipé qu'avant que de connaître v.181 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Trouvent qu'ils ont vécu, sans qu'ils sachent v.184 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Mais un trait important, que tes soins ont omis, v.187 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- De tant de courtisans, qui toujours sur mes traces v.189 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Je ne puis distinguer, au rang où je me vois, v.191 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Pendant un mois ou deux me voir sans diadème ; v.194 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Et dans mon premier rang être ensuite remis, v.195 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- On m'applaudirait même avant de m'énoncer : v.200 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Ayant su d'un vieux cerf, qu'il connaissait fidèle, v.206 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Il fait venir un tigre, un ours, une panthère, v.210 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Après à la curée, et qui, sans hésiter, v.211 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Quand de quelque désordre ils pouvaient profiter, v.212 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Je crois, sans me flatter d'un espoir décevant, v.216 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Avoir un sûr moyen de vivre dans l'histoire. " v.217 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Alors faisant semblant d'être encor dans l'erreur, v.218 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et surtout que ma gloire aille avant toute chose : v.223 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Je n'ai rien de plus important. " v.224 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et rien ne le fut jamais tant. » v.227 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- « Seigneur, répond encor la bande insatiable, v.233 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- « Dangereux conseillers, adulateurs infâmes ! v.237 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Dit le lion terrible, en élevant sa voix, v.238 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- D'un exil éternel ayant puni l'audace v.246 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Les animaux qui briguèrent leur place, v.249 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Croyez-vous qu'un monarque, aussi grand que vous-même, v.256 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Vos sujets dans leur coeur garderaient la mémoire ; v.260 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et ceux qui sont admis dans le conseil des rois v.261 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- En donnant leur avis y penseraient deux fois... v.262 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Peut-être m'expliquai-je avec trop de franchise. v.263 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et par tant de raisons, sûr que tu m'es fidèle, v.268 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Je confie à ta foi, comme deux grands dépôts, v.269 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Qui peut plus sagement gouverner mes finances v.275 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Pour contenter ton goût de diverses manières, v.279 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- D'où viennent ses froideurs pour deux rois étrangers. v.290 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Sans trahir son secret, ni blesser ton devoir, v.293 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Pour m'avoir en passant daigné rendre visite ? v.296 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Après s'être éclipsé pendant cinq ou six mois ! v.298 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Mon sexe et ma naissance ont quelque privilège. v.300 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Quand j'estime quelqu'un, je le vois plus souvent. v.301 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Vos bienfaits dans mon coeur sont gravés trop avant v.302 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Et cependant, madame, à quoi vous suis-je bon ? v.306 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- À quoi m'étiez-vous bon avant votre voyage ? v.308 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Il me prenait peut-être en de méchantes heures, v.315 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Oui, sans doute, et choisir dans le rang le plus haut, v.321 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Mais vous l'auriez été deux ou trois ans plus tôt. v.322 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Sans en savoir la cause, un mouvement secret v.333 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Il me semble qu'ailleurs je serais transplantée. v.335 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Vous seriez étrangère en un degré plus bas. v.341 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Serait-ce un mal qu'un si grand roi vous plût ? v.345 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Que dans tous ses projets accompagne la gloire, v.347 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Eh ! Qui t'a commandé de t'expliquer ainsi ? v.354 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Quand je puis obliger, ma joie est assez grande v.355 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Pour n'attendre jamais que l'on me le commande. v.356 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Lui, comblé de vertus, vous, brillante d'appas, v.357 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Madame ; obligez-moi de me le commander. v.361 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Qui ne veut point d'un bien quand il le peut avoir, v.369 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Ne l'a pas quand il veut, comme vous allez voir. v.370 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Il me semble avoir lu dans beaucoup de volumes v.371 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Ne trouvait dans les eaux hors la perche et truite v.375 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Brochet, carpe, tanche, et la suite, v.377 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- N'ayant pas si matin l'appétit bien ouvert, v.384 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Et ne voyant truite, ni perche, v.385 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Il ne fit pas semblant d'avoir rien découvert. v.386 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Alors dans la rivière il fait divers plongeons ; v.388 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Cependant le temps passe, et durant qu'il tournoie, v.393 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Qui méprisa tant de si beau poisson, v.396 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Des amants les mieux faits et les plus vertueux v.401 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Une fille à seize ans souffre à peine les voeux ; v.402 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Son orgueil en rebute autant qu'il s'en présente, v.403 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Et tout lui paraît bon quand elle en a quarante. v.404 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Sans faire des amants un si long examen, v.405 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Franchement, votre héron m'alarme ; v.409 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Une plante stérile est maudite des dieux. v.415 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Que j'entre avec plaisir dans toutes ses raisons. v.423 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Quand pour faire des rois le ciel veut que l'on vive, v.424 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Et chacun dans l'automne a des remords cuisants v.426 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Après cette assurance, adieu ; je me retire. v.437 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Songez à votre fable en faisant un tel choix. v.438 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- En lui cherchant son fait si vous trouviez le mien, v.442 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Dans les murs de Sardis cause votre présence ! v.445 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Chacun faisant des voeux pour votre heureux retour, v.446 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- À quoi dans vos desseins puis-je vous être utile ? v.452 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Que l'on est médisant dans cette grande ville ! v.453 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Que de précaution votre secret demande ! v.457 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- On peut dire de moi bien du mal sans médire ; v.461 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- De leur faire du mal quand ils me font du bien. v.467 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Qu'ils me rendent service, en croyant m'outrager, v.470 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Et que leur médisance aide à me corriger. v.471 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- On tenait des discours et sans ordre et sans suite... v.473 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Croyez-vous ne manquer que de mémoire ? v.479 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Ce qui me peut manquer. v.481 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Apollon et Mercure, étant brouillés là-haut, v.482 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Ils n'avaient point d'argent, et c'est un grand défaut : v.484 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Pendant cet embarras il arrive une foire. v.499 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Après s'être postés dans l'endroit le plus beau, v.502 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Pour attirer du peuple et de la chalandise, v.503 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Chacun dans un écriteau v.504 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Étala sa marchandise. v.505 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Mais à peine Mercure a-t-il planté le sien v.506 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Sans diminuer en rien. v.509 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Le marchand de mémoire en fournit la contrée ; v.510 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Mais le marchand d'esprit à peine fut-il vu : v.511 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Quand l'esprit, par malheur, ne l'accompagne pas ? " v.517 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- S'en alla sans étrenner. v.521 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Que de sa marchandise il n'eut point de débit ; v.523 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Vous iriez à grands pas vous fournir de mémoire, v.527 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Quand j'aurais un trésor à mettre en votre main, v.540 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Vous manquez de mémoire, et l'oublieriez demain. v.541 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- C'est perdre ses bienfaits que de les mal répandre. v.542 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Dans votre appartement Rhodope va se rendre. v.543 (Acte 1, scène 6, LICAS)
- Fassent les médisants tout ce qu'ils pourront faire, v.546 (Acte 1, scène 6, ESOPE)
- Je n'ai rien oublié, dans mon juste courroux, v.552 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- C'est dans ce lieu, vous dis-je, où le conseil s'assemble, v.554 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Le roi dans un moment vient ici. v.559 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Honteux d'avoir vécu dans votre indigne chaîne, v.566 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Pensez-y bien, de grâce, avant d'en venir là ; v.572 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Je suis ce que j'étais quand vous m'avez aimée : v.575 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Pendant cinq ou six mois qu'a duré mon absence, v.578 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Doit avoir un air libre, une manière aisée ; v.591 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Lorsqu'avec bienséance on s'accommode à tout. v.593 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Mais dans tous les plaisirs dont je vous fais l'aveu, v.596 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Mon coeur, qui sans tendresse aurait moins de courroux, v.600 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- À vivre sans égards, sans pudeur, sans conduite ; v.603 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Et dans ce que je fais ni dans ce que j'écris v.608 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Ayant pour le marché des paniers pleins de fleurs, v.615 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Ce soir fuit ta puanteur. " v.627 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Tant on devient effroyable, v.628 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Quand on perd sa bonne odeur ! v.629 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- D'une aussi bonne odeur que les paniers de roses ; v.635 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Mais on ne m'a point vue, oubliant mon devoir, v.636 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Je vous l'ai déjà dit, je ris, chante, badine ; v.639 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Et croyant ma conduite exempte de remords, v.640 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Faciles à remplir les désirs d'un amant, v.644 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Et jamais à l'amour n'ayant été rebelles, v.646 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Rien n'est plus dangereux, dans leurs petits complots, v.648 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Et trouvent tout permis, en sauvant l'apparence. v.651 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Quand le ciel vous forma sur un si beau modèle, v.654 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Il vous a dénié le plus grand bien de tous, v.656 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Et je vais être faible autant et plus que vous. v.657 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Mon coeur à se trahir demande à vous aider : v.661 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Et portez-lui pour dot, comme une rare offrande, v.670 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Toute l'intégrité que l'hymen vous demande. v.671 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Seigneur, je ne suis pas d'un sang... v.672 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Ton mérite y supplée, et vaut le plus haut rang. v.673 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Assieds-toi, je le veux... depuis plus d'une année, v.674 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Me fait offrir sa fille et demander la paix. v.681 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- En s'assujettissant à mon pouvoir suprême, v.686 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Le trône de Phrygie à mon trône étant joint, v.688 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Sans doute ma puissance irait au plus haut point : v.689 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Pour balancer mon choix cette raison est forte ; v.690 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- D'un monarque si grand mérite la tendresse ; v.699 (Acte 2, scène 2, TIRRÈNE)
- Qu'à l'hymen d'un grand roi l'amour n'assiste guère ; v.703 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Que ses plus dignes soins sont ceux de sa grandeur, v.704 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Des attraits si touchants qu'ils émeuvent, désarment ; v.707 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Mais des yeux si charmants et des attraits si doux v.708 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Perdront bien de leur prix quand ils seront à vous. v.709 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Et la vertu des grands n'est pas d'aimer leurs femmes. v.711 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Quelque appât que pour vous ait un amour naissant, v.712 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Seigneur, une couronne en est un plus puissant : v.713 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- En devenant l'époux de la princesse Argie, v.714 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Qu'avec tant de pouvoir vous ne fassiez trembler ? v.717 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Du sang de ses enfants assez souvent rougie, v.723 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Ne sont pas sans chagrin pour les victorieux. v.725 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Et la guerre après soi traîne tant de malheurs, v.728 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Maîtres de tant d'États, ne le sont pas d'eux-mêmes ; v.731 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- En rodant par son voisinage, v.741 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Le coq étant fort beau, comme elle était fort belle, v.744 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Du matin jusqu'au soir ils se voyaient sans cesse, v.749 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Pendant que l'un et l'autre à l'amour s'abandonnent, v.751 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- De la plus déserte cabane ; v.760 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Épouser, en pestant, une poule faisane. v.762 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Empêchés de leur contenance, v.764 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- S'étant mariés sans amour, v.765 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Se traitèrent sans complaisance. v.766 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Leur langage à tous deux était un baragouin v.769 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Quand le coq chantait ou parlait, v.771 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Sa faisane eût juré que c'étaient des murmures : v.772 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Quand la faisane l'appelait, v.773 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Du matin jusqu'au soir ils se voyaient sans cesse, v.778 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Pendant que l'un et l'autre à l'amour s'abandonnent, v.780 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- De la plus déserte cabane ; v.789 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Épouser, en pestant, une poule faisane. v.791 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Empêchés de leur contenance, v.793 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- S'étant mariés sans amour, v.794 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Se traitèrent sans complaisance. v.795 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Leur langage à tous deux était un baragouin v.798 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Quand le coq chantait ou parlait, v.800 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Sa faisane eût juré que c'étaient des murmures : v.801 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Quand la faisane l'appelait, v.802 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Sans un besoin pressant, qu'à peine je conçois, v.810 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Les différentes moeurs, le différent langage v.812 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Accordez-lui la paix, sans épouser Argie. v.817 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Sans cesse de l'hymen il se serait loué, v.822 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Tout ce qu'a d'éclatant le trône où je me sieds, v.827 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Faisant tout son bonheur de traverser le vôtre, v.844 (Acte 2, scène 3, TIRRÈNE)
- Et n'obligeant quelqu'un que pour nuire à quelque autre ; v.845 (Acte 2, scène 3, TIRR?NE)
- Il est fourbe et méchant... v.851 (Acte 2, scène 3, TRASIBULE)
- J'en conçois, par avance, une idée agréable. v.856 (Acte 2, scène 3, TRASIBULE)
- Planté sur le bord d'un vivier : v.860 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Il se lavait les pieds dans l'onde. v.861 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Et tant que durait le jour v.864 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Ils y chantaient leur amour, v.865 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Mais, comme dans le monde il n'est rien de certain, v.867 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Et que c'est une mer qui n'est point sans naufrage, v.868 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Les oiseaux, effrayés d'entendre un si grand bruit, v.875 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Dans le hameau prochain vont chercher un asile ; v.876 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Mais l'arbre, qui pour eux avait eu tant d'appas, v.879 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Avait si fort changé de face v.881 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Furent un milan, un autour, v.884 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Et, pour ne le point voir, à l'instant disparurent. v.886 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Ce figuier, désormais au rang des misérables, v.889 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- " Il m'a tant fait de bien, reprit une colombe, v.895 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Dans quelque disgrâce qu'il tombe. " v.898 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- " plût au ciel pouvoir par mes chants, v.899 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Lui rendre ses attraits, et forcer les méchants v.901 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- À revenir un jour lui demander asile ! " v.902 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Vous êtes, vous et lui, le milan et l'autour, v.908 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Qui voyant du figuier le destin déplorable, v.909 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Oubliant ses bienfaits, dans cette humble posture, v.913 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Si du sort inconstant j'éprouvais le courroux, v.915 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Si pour moi tant de fois sa bonté fut extrême, v.937 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Mais ce qui m'est sensible en un tel changement, v.939 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Pendant que de vos soins vous m'offrez l'assistance, v.941 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- En voulant me servir vous déplairiez au roi. v.943 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- C'est moi qui, sans raison, me le suis attiré : v.948 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Votre crime envers lui n'est pas grand, que je crois. v.951 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- En fait-on de petits quand on déplaît aux rois ? v.952 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Hier, dans un festin, dont j'eus le malheur d'être, v.953 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Crésus ayant mis bas la qualité de maître, v.954 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Et nous regardant tous ainsi que ses égaux, v.955 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Quand, pour se divertir, il nous eut dit les nôtres, v.957 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Voulant être traité comme il traitait les autres, v.958 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- J'eus l'indiscrétion, en lui disant les siens, v.959 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- De les trouver plus grands qu'il n'avait fait les miens. v.960 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Je lui dis qu'un grand roi, qui veut qu'on le renomme, v.961 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Jusque dans ses défauts doit avoir du grand homme ; v.962 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Est un vice trop bas dans un degré si haut. v.964 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Que jamais dans le vin je ne fais rien d'injuste, v.966 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Boire comme je fais n'est pas un trop grand vice, v.969 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Eh quoi ! Pour un vieux courtisan, v.971 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Vous-même de vos maux vous êtes l'artisan ? v.972 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Pour reprendre les rois, sans craindre leurs murmures, v.973 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Les rois et les flatteurs étant de même date, v.977 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Il n'est dans l'univers aucun roi qu'on ne flatte ; v.978 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Et qui dans leurs plaisirs a l'honneur d'avoir part, v.979 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Et prendre garde encore, en risquant ces leçons, v.983 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Et suivant que son choix nous poste mal ou bien, v.991 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Surtout, souvenez-vous, dans tout ce que vous faites, v.993 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Et puissant aujourd'hui, l'on ne l'est pas demain. v.996 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Un grand seigneur avait une guenon v.999 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Elle lui demanda s'il aurait agréable v.1003 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Que, donnant l'essor à mon zèle, v.1007 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Il consentit sans peine à ce manège-là. v.1010 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Devenue orgueilleuse à le voir complaisant, v.1018 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Un matin, en le baisant, v.1019 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- D'un maître si bienfaisant. v.1021 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Dans un moment tu sauras ce que c'est v.1024 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Tel est auprès des rois, où la grandeur entête, v.1032 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- De l'indiscret Iphis tu demandes la grâce ? v.1043 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Et, sans te prévenir, si tu veux y penser, v.1048 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Mais quand votre justice a ce qu'elle souhaite, v.1054 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Puis-je lui pardonner sans la lui rendre ? v.1060 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Quand il n'a justement que le poids qu'il lui faut. v.1065 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Digne qu'un grand monarque en garde la mémoire. v.1071 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Un des rois vos aïeux, chassant avec sa cour, v.1075 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Vit pleuvoir dans une rivière, v.1076 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Seigneur, dit à ce prince un de ses courtisans, v.1079 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Pendant que tant de malheureux, v.1085 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Vers qui que ce puisse être où mon penchant m'emporte, v.1090 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- En suivant des conseils aussi bons que les vôtres, v.1092 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Par des soins prévenants, votre âme bienfaisante v.1098 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- En répand sur un seul de quoi suffire à trente ; v.1099 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Et ce qu'un seul obtient répandu sur chacun, v.1100 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Qu'on a vus de leur sang arroser vos lauriers, v.1105 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Par vos ordres exprès je vous parle sans fard. v.1108 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Qu'un monarque est heureux, quand un ami fidèle v.1110 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Joint un si grand respect avec un si grand zèle ! v.1111 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Peut-être à sa manière a-t-il un zèle égal. v.1113 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Qui pendant leur jeunesse imprudents, emportés, v.1117 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Dans un âge plus mûr, dépouillés de tous vices, v.1118 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Ce que je vous demande est de l'écouter bien. v.1125 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Un lion endormi, s'éveillant en sursaut, v.1128 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Comme un lion est fier et qu'il a le sang chaud, v.1130 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Et, d'un ton suppliant, lui demande sa grâce. v.1135 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- « L'intervalle est si grand, dit-il, de vous à moi, v.1136 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Qu'en me faisant périr vous auriez peu de gloire ; v.1137 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Le lion généreux, mettant la griffe bas, v.1144 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- En poursuivant une proie, v.1148 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- De chaque animal qui passe, v.1156 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- En vain dans ce péril il attend du secours : v.1157 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Quand le destin nous menace v.1158 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- L'ayant entendu rugir, v.1161 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Et sans beaucoup parler cherche à beaucoup agir. v.1163 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Tant de fortune à son zèle s'accorde, v.1167 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Princes, qui, pouvant tout, vous croyez tout permis, v.1170 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Dans le besoin rendent de bons services. v.1173 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Le plaisir le plus grand, trop longtemps attendu, v.1182 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Relégué, par la paix, dans une de mes terres, v.1201 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Où, sans ambition, sans amour, sans désir, v.1202 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- M'ont tant parlé de vous et de votre mérite, v.1205 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Qu'ayant vu ce matin qu'il faisait un beau jour, v.1206 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- J'ai quitté pour vous voir mon tranquille séjour ; v.1207 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Et je suis si content d'avoir cet avantage, v.1208 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Quand j'aurais un mérite à vous frapper les yeux, v.1218 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Avant que, vous et moi, nous nous expliquions mieux, v.1223 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Que dans une flatteuse et douce volupté ; v.1227 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Non dans la volupté dont le peuple s'entête, v.1228 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Être accessible à tous, par son humanité : v.1238 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Votre plaisir est grand, je n'en fais point de doute, v.1240 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- À suivre une si juste et si charmante route. v.1241 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Je ne vous cèle point que je suis enchanté v.1242 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Peut-on être si faible avec tant de raison ? v.1246 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- J'ai, vous n'en doutez point, pour moi le plus grand nombre. v.1252 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Il est vrai, mais qui marche à tâtons et dans l'ombre, v.1253 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Qui bronche à chaque pas, chancelle à chaque point, v.1254 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Sans doute. v.1258 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Tout être dépendant vient d'un être suprême ; v.1268 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- L'ordre toujours égal des saisons, des planètes, v.1272 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Dans une heure, au plus tard, votre mort était sûre, v.1277 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Si je devais mourir dans une heure ?... v.1281 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Mille de cris perçants importunent les dieux. v.1287 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Mais, sans nous écarter, répondez-moi, de grâce. v.1293 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Si vous deviez mourir dans une heure, au plus tard, v.1294 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Que croiriez-vous ? Parlez sans énigme et sans fard. v.1295 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Sans énigme et sans fard ! Je ne suis pas un homme v.1296 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- À flotter dans le trouble et dans l'incertitude ; v.1301 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- J'ai vu la mort de près dans plus d'une bataille ; v.1304 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Sans que dans ce péril elle ait pu m'inspirer v.1306 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Peut-être ma carrière approchant de son terme, v.1308 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Que dans ces sentiments je ne suis plus si ferme : v.1309 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Et que si dans une heure, au plus tard, je mourais, v.1310 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Eh ! Que ne fait-on point quand il faut que l'on meure ? v.1312 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- De la vie à la mort il s'agit d'un instant ; v.1318 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Et que peut-on risquer qui soit plus important ? v.1319 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Arrête, en expirant, leur foudre prête à choir. v.1322 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Le repentir est faible autant que le malade. v.1325 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Le plaisir le plus grand que vous me puissiez faire, v.1332 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Étant à son heure dernière, v.1335 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Mon enfant, lui dit-elle en mère habile et sage, v.1338 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Pendant que tu te portais bien, v.1339 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Ils ne peuvent pas davantage. v.1341 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Jusqu'au moment funeste où leur vengeance arrive, v.1344 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Il les croit impuissants, voyant leur foudre oisive ; v.1345 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Et pour les apaiser fait des cris éclatants, v.1346 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Quand ils sont fatigués et qu'il n'en est plus temps. v.1347 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- La clémence des dieux, dont on voit tant de preuves, v.1348 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Ce discours vous fatigue autant qu'il m'embarrasse. v.1357 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Si vous ne m'abattez, vous m'ébranlez, au moins. v.1359 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- À parler sans contrainte et d'un coeur ingénu, v.1362 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Je demande un jour fixe encor cette semaine. v.1372 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- C'est un endroit riant dans la belle saison ; v.1378 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Qu'en m'appelant madame, on se moque de moi. v.1395 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- J'écoute les raisons, sans distinguer les rangs, v.1398 (Acte 3, scène 6, ESOPE)
- Et je crois me devoir plus aux petits qu'aux grands. v.1399 (Acte 3, scène 6, ESOPE)
- Leur besoin plus pressant veut plus de diligence. v.1401 (Acte 3, scène 6, ESOPE)
- Sans vous, de qui la vue adoucit ma disgrâce, v.1404 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- Oui, monsieur ; et sans doute une qui m'est bien dure. v.1409 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- J'en conçois par avance une douleur mortelle. v.1416 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- Je la prie instamment de vouloir me mander v.1418 (Acte 3, scène 7, ESOPE)
- Quand je pourrai la voir, sans trop l'incommoder. v.1419 (Acte 3, scène 7, ESOPE)
- Cachez bien, s'il vous plaît, ce que je vous annonce, v.1421 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Un marchand de Sardis qui vint à Clazomène, v.1429 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Au bout de quatorze ans m'ayant appris son sort, v.1430 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- De trouver un enfant qui méconnaît sa mère ; v.1433 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- J'implore vos bontés dans le dernier besoin. v.1435 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Je suis pauvre, elle est riche ; en faut-il davantage ? v.1441 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Que ceux dont les enfants sont plus élevés qu'eux. v.1447 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Qu'un homme de finance ait ennobli sa race, v.1448 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- En l'avouant pour père on croit lui faire grâce ; v.1449 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Et qu'un riche marchand fasse un fils conseiller, v.1450 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Ce fils en le voyant craint de s'encanailler. v.1451 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- On retombe sans cesse en cette faute-là. v.1455 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Elle a dû vous voyant avoir l'âme ravie. v.1460 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Que bien des courtisans m'ont paru trouver belle ; v.1473 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Mais étant la plupart ou flatteurs ou jaloux, v.1474 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Sans vanité pour moi, pour vous sans flatterie. v.1480 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- C'est ce que je demande et de quoi je vous prie. v.1481 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Un fleuve, enflé d'orgueil de l'abondance d'eau v.1482 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Qui l'avait en naissant fait un simple ruisseau. v.1485 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Sans moi, qui ne suis rien, tu serais encor moins. v.1489 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Et fait taire le sang qui coule dans mes veines : v.1495 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Ayant reçu le jour d'une esclave étrangère, v.1498 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Eh bien ! M'a-t-elle dit, en versant quelques larmes, v.1502 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Tout ce que je demande est de mourir en paix. v.1509 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Adieu. La pauvre femme à l'instant est sortie, v.1510 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Et, pour s'en retourner, est sans doute partie. v.1511 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Non, il n'est pas croyable, à vous parler sans fard, v.1520 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Qu'un enfant pour sa mère ait eu si peu d'égard. v.1521 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Si mon crime fut grand, mon remords est extrême. v.1522 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Je ne puis sans la voir demeurer plus longtemps. v.1524 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Ma mère à qui tout manque a besoin de secours. v.1529 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Je dois à sa misère une prompte assistance. v.1530 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- J'entrevois dans ce zèle un peu de bienséance : v.1531 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Pendant que nous parlons, ils augmentent toujours. v.1541 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- J'aime mieux devancer que voir ses funérailles... v.1546 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Dans votre appartement conduisez-la vous-même. v.1558 (Acte 3, scène 11, ESOPE)
- Il n'y manque plus rien que la cérémonie, v.1567 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Et dans un beau fauteuil, assise à son côté, v.1568 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Le ciel à votre sang devait ce privilège. v.1570 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Ésope est né dans l'indigence ; v.1578 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Mais, Laïs, ses vertus corrigent sa naissance. v.1579 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Ésope sans naissance est dans une posture... v.1582 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Je renonce à vos biens, si le plus grand de tous v.1584 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Que rien n'y manque. v.1594 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- De la contagion elle s'est garantie : v.1603 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Préservez ma pudeur, qu'il rendrait chancelante, v.1606 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Destinée à l'hymen du plus grand des monarques, v.1615 (Acte 4, scène 2, ARSINOE)
- Vous avez seul vers moi fait pencher la balance. v.1618 (Acte 4, scène 2, ARSINOE)
- Eh ! Puis-je avoir pour vous trop de reconnaissance ? v.1619 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Et que si dans ces lieux j'éprouve un sort si doux, v.1624 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Quand elle fut hors de danger, v.1636 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Un manant à pieds nus, qui la voit s'y ranger, v.1638 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Fait d'abord voeu de la manger, v.1639 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Voyant sa bienfaitrice en cet état réduite, v.1645 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Que se croyant estropié, v.1647 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Il fait un si grand bruit que l'oiseau prend la fuite. v.1648 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- À la colombe bienfaisante, v.1650 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Est une preuve suffisante, v.1651 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Il est vrai qu'un bienfait n'est jamais sans salaire, v.1653 (Acte 4, scène 3, ARSINOE)
- Pouvant faire du bien, de commencer par vous ! v.1656 (Acte 4, scène 3, ARSINOE)
- Tantôt, d'un air galant, votre main dans la mienne, v.1661 (Acte 4, scène 4, ESOPE)
- Vous m'avez demandé quelqu'un qui vous convienne ; v.1662 (Acte 4, scène 4, ESOPE)
- Pour de l'amour... tout franc, vous n'en inspirez guère ; v.1670 (Acte 4, scène 4, LAIS)
- Et vous savez le sort de quantité d'époux v.1671 (Acte 4, scène 4, LAIS)
- Qui, sans vous offenser, sont bien mieux faits que vous. v.1672 (Acte 4, scène 4, LAIS)
- Ma santé, par malheur, ne vous est bonne à rien. v.1684 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Le plaisir d'obliger est mon plus grand plaisir. v.1688 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Quand il faut à quelqu'un refuser quelque chose, v.1689 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Rien ne m'est plus sensible et ne me touche tant v.1691 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Je suis homme de guerre, et j'en sais la manoeuvre. v.1694 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Je vous préfère à tous, tant je vous crois fidèle. v.1701 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- J'en sais un (avec vous je m'explique sans feindre) v.1705 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Qu'on ne ferait pas mieux, quand on le ferait peindre ; v.1706 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Fier, sans être orgueilleux ; doux sans être soumis ; v.1707 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Quand on a mes talents, rarement on s'écarte. v.1718 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Je n'ai point de pouvoir, quand il s'agit de nuire. v.1726 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Ne me demandez point ce qui n'est pas permis. v.1727 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- On cherche à s'avancer, sans voir qui l'on recule. v.1734 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Et pourvu qu'à son but un courtisan arrive, v.1737 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- À qui, depuis un an, j'ai dédié mes fables, v.1742 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Celles que sans faiblesse un grand roi peut savoir ; v.1744 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Et le plus lâche crime étant la calomnie, v.1745 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Le lion, accablé par les ans, v.1752 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Et n'ayant presque plus de chaleur naturelle, v.1753 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Avait autour de lui nombre de courtisans, v.1754 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Voyant que le renard n'était pas de la bande, v.1757 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Qui jura de punir une audace si grande. v.1759 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Résolut d'en tirer vengeance. v.1763 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Il va rendre visite au roi des animaux, v.1764 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Pendant qu'on vous faisait des compliments stériles, v.1768 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Pour ranimer votre chaleur éteinte. v.1775 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Messieurs les courtisans, qui cherchez à vous nuire, v.1780 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- À qui veut s'agrandir, le cas n'est pas nouveau ; v.1786 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Quand d'une bonne race on a l'honneur de naître, v.1788 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Vous qui la demandez, ou moi qui la refuse ? v.1801 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Savez-vous de quel sang j'eus l'honneur de naître ? v.1807 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Et quiconque est formé d'un sang comme le vôtre, v.1816 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Lorsqu'à vous encenser tant de monde travaille, v.1824 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Aurait assurément grand tort sur mon sujet. v.1827 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Autant que je l'ai pu pendant une heure entière, v.1828 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Je vous ai combattu d'une honnête manière ; v.1829 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Je n'ai pas en laideur mon pareil dans le monde : v.1833 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Dans un corps de travers a mis un esprit droit. v.1835 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Je méconnais les grands qui n'ont pas l'âme grande ; v.1837 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Et je n'ai du respect pour l'éclat de leur sang v.1838 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Que lorsque leur mérite est égal à leur rang. v.1839 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Les grands et les petits viennent par même voie ; v.1840 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Et souvent la naissance est comme la monnaie : v.1841 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- On ne peut l'altérer sans y faire du mal, v.1842 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Contre la bienséance et contre la justice. v.1849 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- S'il est vrai, ses enfants ne lui ressemblent guère ; v.1853 (Acte 4, scène 6, ESOPE)
- Mais quel homme important en ce lieu me vient voir ? v.1855 (Acte 4, scène 6, ESOPE)
- Qui va voir ses aïeux, sans pourtant avoir hâte, v.1857 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Pour vous entretenir, sans être détourné. v.1859 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Il ne me manque rien qu'un patron obligeant. v.1870 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- D'une voix unanime et d'un commun accord, v.1874 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Les vertus d'un fermier sont dans son coffre-fort ; v.1875 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Et son zèle est si grand pour des vertus si belles v.1876 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Mais un homme d'esprit versé dans la finance, v.1884 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- D'être sourd à sa voix, tant que dure le bail. v.1887 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Quand il est expiré, tout le passé s'oublie : v.1888 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- J'ai du bien, du crédit et de l'argent comptant. v.1894 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Quant au tour du bâton, vous en serez content : v.1895 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Je sais trop quelle offrande à cette grâce est due. v.1897 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Un profit clandestin... vous ne l'ignorez pas ! v.1907 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- J'ai là-dessus, vous dis-je, une ignorance extrême. v.1908 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Que l'on aille d'un grand implorer une grâce, v.1912 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Sans le tour du bâton je doute qu'il la fasse ; v.1913 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Pour avoir un emploi de quelque financier, v.1914 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Il n'est point de coupable un peu riche et puissant, v.1918 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Ne font quoi que ce soit sans le tour du bâton ; v.1923 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Vous êtes dans un poste à le savoir fort bien. v.1926 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Je vous jure pourtant que je n'en savais rien. v.1927 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- D'un ton beaucoup plus bas, qu'on entend bien pourtant, v.1938 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Et pour notre patron une somme de tant, v.1939 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Soit par reconnaissance, ou soit par politique : v.1940 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Il n'est point d'intendant en de grandes maisons v.1942 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Quand on y fait un bail, de quoi que ce puisse être, v.1944 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- On prend un ton plus bas pour le revenant-bon, v.1946 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Mais qui ne feront point, tant ils sont débonnaires, v.1952 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Lundi j'eus quatre-vingt-deux ans. v.1958 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Vous avez des enfants et des petits-enfants ? v.1959 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Avec économie ayant toujours vécu, v.1962 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- J'ai depuis soixante ans mis écu sur écu ; v.1963 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Si bien que ce matin, en consultant mes livres, v.1964 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Sans avoir un parent à qui laisser un sou. v.1966 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Point d'enfants ? v.1967 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Il faudra tout quitter quand elle arrivera ; v.1986 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et vous en verrez tant de toutes qualités, v.1994 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- S'étant fait jour jusque dans les enfers, v.1997 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- (sans tirer à conséquence) v.2002 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Grands, petits, jeunes, vieux, de tout rang, de tout âge : v.2008 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Qui n'ait là-dedans son quartier, v.2010 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Combien trouva-t-il dans les fers v.2012 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- De gros marchands drapiers, le teint livide et jaune, v.2013 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Tourmentés d'autant de méthodes v.2017 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Sont dans une chambre ardente v.2026 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Au rang des empoisonneurs. v.2027 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Combien de financiers et de teneurs de banque, v.2028 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Voulant compter le temps qu'ils seront encor là, v.2029 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Trouvent que le chiffre leur manque, v.2030 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Combien de grands seigneurs, qui d'un devoir austère, v.2032 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et qui sont morts sans satisfaire v.2034 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Ni l'ouvrier, ni le marchand ! v.2035 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Voyant que dans leur temps la justice était rare, v.2038 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Qui rendaient noir le blanc par leurs subtilités, v.2041 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Maudissent dans les ténèbres v.2042 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Les dangereux greffiers, les subtils procureurs, v.2045 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Des nonchalants rapporteurs, v.2047 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Si je voulais parler de tant de commissaires, v.2050 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Des médecins sanguinaires, v.2052 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Entendirent hurler des vieillards langoureux. v.2062 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Dit le jeune habitant du pays des ténèbres ; v.2067 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Le plus jeune de vous a quatre-vingt-dix ans, v.2070 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Pour penser à la mort, sans y donner une heure. v.2072 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Après un terme si grand v.2074 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Est-il étonnant qu'on meure ? v.2075 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Dans le moment que la mort vous surprit, v.2076 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et vous faisiez, quant au surplus, v.2079 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- L'affaire la moins importante v.2080 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Vous avez fait du temps pendant un si grand âge. v.2087 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Vos quatre-vingt-deux ans contiennent dans leur cours v.2088 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Près d'entrer au tombeau, vous entrez dans la ferme ! v.2091 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et pourquoi pour du bien vous donner tant de soin, v.2092 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Vous qui dans quatre jours n'en aurez plus besoin ? v.2093 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Faites réflexion, en homme prévoyant v.2096 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Que c'est la vérité que je dis en riant. v.2097 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Que je ne puis sans honte y donner de croyance. v.2099 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Seigneur, à vous servir appliqué sans relâche, v.2115 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- A dans une cassette, en secret, un trésor. v.2121 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- Mais, à parler sans haine et sans prévention, v.2124 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- Je crois dans sa cassette au moins un million. v.2125 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- Dans la place d'Ésope on n'est point si modeste. v.2127 (Acte 5, scène 1, TIRRÈNE)
- Quand on peut ce qu'on veut, on étend loin ses droits. v.2128 (Acte 5, scène 1, TIRR?NE)
- Je m'y soumets aussi, seigneur, et, par avance, v.2138 (Acte 5, scène 1, TIRRÈNE)
- On t'accuse en ce lieu de me manquer de foi. v.2144 (Acte 5, scène 2, CRESUS)
- Peut-être, avec ardeur prenant vos intérêts, v.2148 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Et si je te convaincs, quand je me fie à toi, v.2152 (Acte 5, scène 2, CRESUS)
- Et dans une cassette, v.2155 (Acte 5, scène 2, CRESUS)
- Qui dans ton cabinet conduit souvent tes pas, v.2156 (Acte 5, scène 2, CRESUS)
- Vous faut-il de son crime un plus grand témoignage ? v.2167 (Acte 5, scène 2, TRASIBULE)
- Une fable à propos ne lui manquerait pas ; v.2169 (Acte 5, scène 2, TRASIBULE)
- Et que, pendant l'été, quand il tonne bien fort, v.2180 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Le bruit est bien plus grand quand le tonnerre gronde v.2182 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Que lorsqu'en badinant je m'amuse à sonner. v.2183 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- L'entendant ainsi raisonner : v.2185 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Et quand les grands sont irrités, v.2192 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- En disant une fable il croit en être quitte. v.2197 (Acte 5, scène 3, TIRRÈNE)
- C'est ainsi que du peuple obsédant les esprits, v.2198 (Acte 5, scène 3, TIRR?NE)
- Par sa fausse morale il en a tant surpris. v.2199 (Acte 5, scène 3, TIRR?NE)
- Pendant qu'à vos sujets il débite des fables, v.2200 (Acte 5, scène 3, TIRR?NE)
- Combien dans sa cassette en va-t-on découvrir ! v.2202 (Acte 5, scène 3, TIRR?NE)
- Tout ce que je demande est que ce soit le roi v.2215 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- Est celle du trésor dont on a tant d'envie. v.2221 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- Quand il en sera temps, je m'en souviendrai bien. v.2226 (Acte 5, scène 4, CRESUS)
- Avoir en ta puissance, au moins trois millions. v.2231 (Acte 5, scène 4, CRESUS)
- Moi riche ? Eh ! Demandé-je à l'être ? v.2233 (Acte 5, scène 4, ESOPE)
- N'ayant besoin de rien, je ne veux rien aussi. v.2235 (Acte 5, scène 4, ESOPE)
- C'est ton trésor, Ésope ; avant qu'on l'ouvre, v.2244 (Acte 5, scène 5, CRESUS)
- Qu'en la rendant témoin de tout le bien que j'ai. v.2251 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- C'est l'habit que j'avais quand par un sort propice, v.2260 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Habit vil, mais qu'on porte avec tranquillité, v.2262 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Qu'inventa la pudeur, et non la vanité, v.2263 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Si je l'eusse porté pendant toute ma vie, v.2265 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Et que je redemande à votre majesté, v.2266 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Quel ministre est aimé pendant qu'il est en place ? v.2273 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Et quand de sa carrière il a fini le cours, v.2274 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- D'un si dangereux poste approuvez ma retraite : v.2276 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Hypocrite, jaloux, médisant, ni flatteur ? v.2279 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Que souvent dans la place où j'avais l'honneur d'être v.2284 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Souvent l'éclat flatteur de ce rang fortuné, v.2286 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- M'élevant au-dessus de ce que je suis né, v.2287 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Et quand l'orgueil sur moi prenait trop de crédit, v.2290 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Je redevenais humble, en voyant mon habit. v.2291 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Je ne m'en dédis point, c'est un trésor, sans doute, v.2293 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Sachant ce qu'ils étaient, et voyant ce qu'ils sont, v.2298 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Je vous pardonnerais un effort plus puissant v.2302 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Pour agir sans aigreur je suis trop irrité ; v.2306 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Ésope plus tranquille aura plus d'équité. v.2307 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- À son ressentiment le mien vous abandonne : v.2309 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Vous causer tant de maux que vous en méritez. v.2311 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Que sans l'aveu d'Ésope aucun n'entre ou ne sorte ; v.2313 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Et que son ordre ici puisse autant que le mien. v.2314 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Tantôt vous souteniez, pour me tirer d'affaire, v.2316 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Eh ! Que vous faisons-nous en cherchant à vous nuire ? v.2321 (Acte 5, scène 6, TIRRÈNE)
- N'a travaillé pour vous avec tant de succès. v.2327 (Acte 5, scène 6, TIRR?NE)
- Ayant su qu'un trésor, que l'on disait immense, v.2332 (Acte 5, scène 6, TRASIBULE)
- Pouvait de ce monarque affaiblir la puissance, v.2333 (Acte 5, scène 6, TRASIBULE)
- Voilà le plus grand mal dont vous puissiez vous plaindre ; v.2340 (Acte 5, scène 6, TRASIBULE)
- Si mon mal n'est pas grand, ce n'est pas votre faute. v.2345 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Touchant pour ainsi dire, à son moment fatal, v.2349 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Lui demanda sa grâce, et d'une voix soumise : v.2350 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- " Je ne vous ai pas fait, dit-elle, un fort grand mal. " v.2351 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Dit l'homme ; cependant n'espère aucun pardon. v.2353 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- C'est que tu ne pouvais m'en faire davantage. v.2355 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Est-il un mal plus grand que l'eût été le mien ? v.2357 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Je dois à votre insulte une peine aussi grande ; v.2358 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Rhodope est là qui vous demande : v.2359 (Acte 5, scène 6, GARDE)
- Nous n'avons, sans votre ordre, osé la faire entrer. v.2360 (Acte 5, scène 6, GARDE)
- Tous deux dans leur patrie, et nous loin de la nôtre, v.2370 (Acte 5, scène 7, RHODOPE)
- Dans mes premiers transports me trouvant trop à craindre, v.2378 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Sous le nom de justice userait de vengeance ; v.2383 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Un outrage est sensible, et la vengeance est douce. v.2391 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- À tâcher de m'aimer autant qu'ils m'ont haï. v.2397 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Leurs enfants souffriraient d'un mal qu'ils n'ont pas fait. v.2401 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Est lui-même accablé sous un si grand pouvoir. v.2405 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Quoiqu'avant le soleil tous les jours il se lève, v.2406 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Et durant la nuit même, attentif à prévoir, v.2408 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Du plus faible parti souffrez que je me range, v.2410 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Que voulez-vous, seigneur, que sans biens ils deviennent ? v.2415 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Être de qualité, sans du bien, c'est un sort, v.2416 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- La vengeance facile est honteuse et blâmable. v.2419 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Tandis que la balance est encor suspendue, v.2422 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Nous ne pouvons tenir contre tant de vertus. v.2429 (Acte 5, scène 8, TIRRÈNE)
- À remplir tes désirs je n'ai tant hésité v.2440 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Mais de tous ses conseils le plus charmant pour moi, v.2445 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- D'Ésope, à qui je dois cet important service, v.2451 (Acte 5, scène 8, ARSINOE)
- Seigneur, le peuple ému demande à voir Ésope. v.2463 (Acte 5, scène 9, ATIS)
- On répand dans Sardis des bruits confus et sourds v.2464 (Acte 5, scène 9, ATIS)
- Unissez bien vos coeurs, en vous donnant la main. v.2469 (Acte 5, scène 9, ESOPE)
- De la faveur des dieux sans cesse avoir des marques ! v.2471 (Acte 5, scène 9, ESOPE)
- Et puissent vos enfants, aimés et craints de tous, v.2472 (Acte 5, scène 9, ESOPE)
- Voir un jour naître d'eux d'aussi grands rois que vous. v.2473 (Acte 5, scène 9, ESOPE)
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LA SATIRE DES SATIRES (1669)
- A-t-on rien dit de bon pendant tout le repas ? v.4 (Acte 1, scène 1, ÉMILIE)
- Sans façon, suivez-moi, si vous me voulez suivre : v.5 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Mais je ne puis rester là-dedans ; je suis ivre. v.6 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Qui soit plus fatiguant qu'un si sot entretien ? v.8 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Votre ami le Marquis dont la langue estropie, v.9 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Ce qu'il a d'assommant, quelque sot qu'il puisse être, v.13 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Et n'en croyant jamais que son faible cerveau, v.15 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Qu'il soit seul à manger, d'une mine adoucie, v.21 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Il boit à sa santé, puis il se remercie ; v.22 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Et croit qu'on s'aperçoit quand il manque à la Cour, v.24 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Mais tout fat qu'il puisse être, une Dame galante v.25 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Doit, quand elle régale, être plus complaisante. v.26 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- À plusieurs méchants mots, qu'il garantissait bons, v.39 (Acte 1, scène 1, ÉMILIE)
- J'ai fait semblant de rire, et j'enrageais au fonds. v.40 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Plein de son Despréaux, qu'en louant il déchire, v.41 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Il en parle sans cesse, et prétend fortement v.43 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Tant qu'a duré le jour, on n'eût parlé de rien : v.52 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Parce que dans Alger son aïeul fait captif, v.63 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Cependant chaque jour vous souffrez sa visite ; v.65 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Est-il rien de si fade, et de plus dégoûtant, v.67 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Que les mots qu'elle affecte, et qu'elle estime tant ? v.68 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Puis-je sans l'offenser, refuser ses visites ? v.74 (Acte 1, scène 1, ÉMILIE)
- Lui dirai-je tout franc que son air me déplaît ? v.76 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Et du rang dont il est, (car dans tout cet état v.79 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Met dans ses qualités, Gouverneur de Province, v.82 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- À Paris Pair de France, à Madrid Grand d'Espagne, v.85 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Trésorier d'Angleterre, Électeur d'Allemagne ; v.86 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Après vingt qualités d'une telle importance, v.89 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Comme font la plupart des grands Seigneurs de France. v.90 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Et je suis étonné qu'avec tant de clartés, v.95 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Me paraît assez grand pour avoir des témoins. v.100 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Faire tort d'un hommage à vos charmants appas. v.104 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Et quand il ne voit rien, pardi tout à l'instant v.111 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Mon foi, le maison s'ouvre, et j'ai sorti dedans : v.116 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- J'aime encore plus que mieux qu'il déchire mon manche. v.117 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Voudrais bien maintenant un petite fil blanche v.118 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Ah, ah ! j'avre la souvenance v.122 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Oh, diantre ! v.130 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Oh pardi ! J'avre moi la souvenance bonne : v.134 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Grand-merci. v.137 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- L'étourdi de Marquis, dont la langue assassine, v.138 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Deux amants comme vous, ne sont pas là pour rien : v.144 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- L'Amour, n'est jamais sans mystère, v.146 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Dites-moi, dansera-t-on bientôt ? v.147 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- La danse est votre vrai talent ; v.151 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Vous avez le corps souple, et de plus l'air galant. v.152 (Acte 1, scène 3, ?MILIE)
- À quelle danse excellez-vous ? v.154 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Vous dansez les Menuets ? v.155 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Mais à propos de danse, as-tu su des paroles v.157 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Et que sans le secours des préceptes frivoles, v.169 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Je fais passablement de méchantes paroles ? v.170 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Passablement ? Sans te flatter en rien, v.171 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Tu fais de méchants vers admirablement bien. v.172 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Oh, parbleu ! Modérez la louange v.173 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Touchant votre repas, je vous rendrais le change : v.174 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Y manquait. v.181 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Non ; mais dans un repas n'avoir point d'alouettes, v.182 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- C'est un manger de Prince ; elles font succulentes... v.185 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Oui ; car durant l'été l'on n'en mange point. v.188 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Ne peux-tu le prouver, sans citer ses écrits ? v.204 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Despréaux qui le charme, est dans sa fantaisie ; v.209 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Et j'en vais tant parler, que je l'en rassasie. v.210 (Acte 1, scène 3, ?MILIE)
- Les voici. Je ris de ton extravagance. v.213 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- "Sur un amas confus de viandes entassées, v.217 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Mange-t-on en été des alouettes ? v.220 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Comment ? C'est Despréaux qui dans une Satire... v.221 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Bon ! Par ce faux-fuyant vous croyez m'échapper. v.223 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Mais parbleu ! Sans courir, je vais vous rattraper. v.224 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Dans le même repas, pour comble de disgrâce, v.225 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Point de glace, bon Dieu ! Dans le fort de l'été !" v.227 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Tant pis pour Despréaux, s'il met une sottise. v.230 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Que c'est un fat qui traite, et qu'on peut sans scrupule v.233 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Orner d'un méchant plat, un festin ridicule, v.234 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Tu sais, quand je m'y mets, de quel air je te frotte : v.242 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Est-ce Acante, Licas, Oriane, Caliste, v.249 (Acte 1, scène 4, ÉMILIE)
- De quel endroit de France est Monsieur votre Suisse ? v.254 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Mais des méchants auteurs, je suis parbleu, le fléau : v.268 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Monsieur est partisan de Monsieur Despréaux ; v.272 (Acte 1, scène 5, BOURSAULT)
- Ma foi, c'est un charmant génie. v.273 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- "Lorsque d'un froid rimeur il dépeint la manie, v.274 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Bardou, Mauroy, Boursault." Au moins sans artifice, v.277 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Pour moi, quand je lis Despréaux, v.279 (Acte 1, scène 5, ÉMILIE)
- C'est pour un galant homme, un peu s'être oublié : v.283 (Acte 1, scène 5, ?MILIE)
- Et sûr que sans nommer son génie est aride, v.289 (Acte 1, scène 5, ?MILIE)
- Parbleu. Despréaux nomme ! Ô le plaisant scrupule ? v.294 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- C'est qu'il est franc. v.295 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Madame, avancez, s'il vous plaît ; v.295 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Les Amants de sa sorte ont un grand privilège. v.302 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Et puis, à le bien prendre, ayant trouvé son fait, v.303 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Quand on est accorde, n'est-ce pas quasi fait ? v.304 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Et parmi le grand nombre on n'est point formalise : v.306 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- C'est être généreux autant qu'on le puisse être, v.321 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Que prendre son parti, sans même le connaître. v.322 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Avant qu'on la commence, ordonnez qu'on le die. v.326 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- La France, v.329 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Allez voir de ce pas quand la pièce commence : v.330 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Évangélisez mieux votre petit laquais, v.332 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Je vous donne le droit sans rêver. Fais-je bien ? v.335 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Quand je lis ce qu'il fait, j'ai l'esprit si content ! v.339 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Par ma foi, j'en disais tout autant ; v.340 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Sans leurs cruelles mains le bon sens est martyr. v.343 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- J'en revins satisfaite autant qu'on le puisse être ; v.349 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- L'Astrate, où l'on donne un anneau. v.355 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Il me parut charmant, j'en admirai le tendre ; v.357 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Je l'aurais trouvé laid, tout galant qu'il puisse être, v.370 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Et vous, depuis quand, et pourquoi, v.371 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- J'aime assez depuis quand. v.373 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Que dans sa nouveauté nous le vîmes ensemble : v.374 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Je ne sais depuis quand vous vous êtes dédit ; v.375 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Et qu'en vous démembrant pour louer cet ouvrage v.377 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- De vos bras fatiguants vous donnâtes cent coups v.379 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Elle était belle aussi, quand elle était nouvelle ; v.382 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Dans deux ans l'Alexandre et sa soeur l'Andromaque v.385 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- À quel homme d'honneur a-t-il vu sa manie ? v.405 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Quand d'un si grand génie on a l'esprit doué, v.407 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Et n'en peut-on sortir, sans égarer sa Muse ? v.410 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Sorti d'assez bon lieu, c'est vouloir sans raison v.411 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Et lui laissant en paix achever tout son sort, v.427 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Pour un si grand service. v.433 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- D'où vient qu'il ne dit rien de cet auteur galant v.435 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Qui compose à la glace, et qui rime en tremblant ? v.436 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Boyer, quand il compose, est toujours tout en feu ; v.440 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Dans ses moindres discours on voit ce feu qui brille ; v.441 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Et dans les vers qu'il fait, le salpêtre pétille. v.442 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Quand d'un crime parfois il exprime l'horreur, v.443 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Et dans ses vers pompeux étaler tout Boyer : v.448 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Pour faire évaporer par ces canaux ouverts, v.451 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- La grandeur du génie, et la force des vers. v.452 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- La plupart des grands vers qu'on devrait supprimer, v.459 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- À ces sots du bel air, dont l'esprit est sans force ; v.461 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Et qui de trois grands mots ornant leur entretien, v.463 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Ah ; ah ! C'est sans doute... v.467 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- C'est un auteur galant, mais qui ferait scrupule v.469 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- De se lever sans feu pendant la canicule. v.470 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Quand tout le monde brûle, on le trouve qui tremble : v.474 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Me soutint par deux fois que l'étant allé voir, v.476 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Il trouva son Laquais qui lui chauffait Dimanche v.477 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- L'épingle qu'il lui faut pour attacher sa manche. v.478 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Ce Galant v.479 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- À pour se faire croire un mérite assez grand : v.480 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Hé, morbleu, que les amants sont bêtes ! v.482 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Quand parfois à Gilbert le froid livre un assaut, v.487 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- D'accord : mais notre ami, sans t'échauffer la soie. v.489 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Le plaisant de l'affaire, est que Gilbert le croie : v.490 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Le méchant raisonneur ! v.493 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ma foi, je voudrais bien, pendant qu'il est ici, v.495 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Jamais dans aucun siècle on n'a vu mieux écrire ; v.497 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Quand je lis quelquefois ses satires malignes, v.501 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Et mes yeux voltigeants de Cotin en Cotin, v.503 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Sans m'en apercevoir, je me trouve à la fin, v.504 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Quand "chacun, malgré soi, l'un sur l'autre porté v.507 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Faisait un tour à gauche, et mangeait de côté : v.508 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Juge si dans ce lieu Despréaux put si plaire, v.509 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Si l'on n'est plus au large assis dans un Festin, v.511 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Sans doute, et vous avez bien dit, v.519 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- "Si l'on n'est plus au large assis dans un festin, v.523 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- À moins d'être à mon aise "assis dans un Festin", v.539 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- S'il l'eût voulu ; mais là, sans faire l'habile homme, v.541 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Sans contredit. v.543 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- En tout cas rien n'y manque, excepté le bon sens. v.544 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il n'y manque autre chose, et cet endroit le choque ! v.546 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Qui Diable, en t'écoutant, pourrait s'en empêcher ? v.556 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Quand on loue un endroit qu'on nomme un coup de maître, v.557 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Cet endroit si galant que tu dis qui te plaît v.559 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Peux-tu le trouver beau, sans savoir ce que c'est ? v.560 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Je vois dans ses écrits cent endroits délicats : v.563 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Sans ce perturbateur du repos des oreilles. v.570 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Quand donc il parle au Roi, voici comme il le loue. v.582 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- "Et tandis que ton bras, des peuples redouté, v.583 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Et retient les méchants, par la peur des supplices, v.585 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Moi, la plume à la main, je gourmande les vices". v.586 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Sur des vers si pompeux, je m'arrête sans cesse. v.589 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ils sont si beaux. "Tandis que ton bras..." Comment est-ce ? v.590 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- "Et tandis que ton bras, des peuples redouté, v.591 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Et retient les méchants, par la peur des supplices"... v.593 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- "Moi, la plume à la main, je gourmande les vices". v.594 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Sans doute. v.598 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Ne me presse point tant de te rendre confus. v.599 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Qu'ont de si beau ces vers, qui vous puisse tant plaire ? v.602 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- "Et tandis que ton bras, des peuples redouté, v.611 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Je condamne avec peine, et sans peine j'admire : v.617 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Par exemple, on peut dire, en parlant de son Bras, v.623 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- "Qu'il va lancer la foudre au milieu des combats" ; v.624 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- En parlant de lui-même, on peut dire avec grâce, v.625 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Mais dans cette occurrence, un meilleur écrivain, v.627 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Chez de plus grands Seigneurs on endure Boursault : v.632 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Tant pis. v.635 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Tant mieux. v.635 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Qui chicane des vers, ne saurait plus que dire. v.638 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- "Et tandis que ton bras..." C'est-à-dire, "Grand Roi, v.639 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Moi, de peur de mes vers qui gourmandent les vices ; v.642 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Quand je bats des auteurs, vous gagnez, des batailles." v.645 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Jamais rien n'en eut tant. v.648 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Que voit-on là dedans qui soit hors de raison ? v.651 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- C'est avec un grand Roi faire comparaison. v.652 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Au lieu que dans l'exemple allégué tant de fois, v.659 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- C'est un petit poète, et le plus grand des Rois. v.660 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Bon, bon, doit pourtant vous suffire ; v.662 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Un tailleur Béarnais en fit un jour autant : v.668 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Il se nommait Barangue, et disait à quelqu'autre, v.669 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Qu'ils étaient dans Paris, d'une ville commune, v.673 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Mais qu'en France jamais, quoiqu'ils eussent d'appui, v.675 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Soit du traître d'auteur, qui sans cesse conteste ! v.678 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je n'ai jamais rien vu de plus extravagant. v.679 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- J'allais encor citer un endroit élégant, v.680 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- C'est l'endroit le plus beau qui soit dans sa Satire : v.682 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Jamais à Despréaux rien n'acquittant de gloire ; v.689 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Lorsqu'au grand Alexandre il compare le Roi ? v.691 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Que vous avez d'esprit ! On ne peut davantage. v.694 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Autant que dix. v.695 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Vous tombez dans mon sens sur l'endroit que je dis ; v.696 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Sur la comparaison d'Alexandre. v.697 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Lors qu'au grand Alexandre on compare le Roi, v.703 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Lorsqu'au grand Alexandre, il compare le Roi ? v.708 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je sais bien que Louis qui paraît si galant, v.711 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Est bien plus équitable, et n'est pas moins vaillant ; v.712 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Ne se peut sans erreur comparer qu'à lui-même ; v.714 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- De Despréaux pourtant l'on souffrirait cela, v.715 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Comparer le plus grand que l'on puisse connaître, v.718 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Et dans un autre endroit, par de sottes raisons, v.719 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Vouloir mettre Alexandre aux Petites Maisons, v.720 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Et crois-tu qu'Alexandre ait toujours été sage ? v.722 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- L'Univers étonné de ses faits éclatants, v.727 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Sait qu'en lui la sagesse a devancé les ans ; v.728 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Pour fat, pas tant fat que l'on pense. v.733 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- En vérité, Madame, il l'est : à toute outrance. v.734 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Il fait quelques beaux vers, mais le reste est sans suite ; v.742 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- C'est un jeune emporté, qui dans ce qu'il écrit, v.743 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Vous êtes, vous et lui, deux aussi francs ingrats... v.748 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Clairvoyant dans le Code, et savant dans les Lois, v.751 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il pouvait obscurcir Montauban, et Langlois ; v.752 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- N'était qu'il a changé, pour vous mieux faire rire, v.753 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Tant à ceux qui font mal, qu'à ceux qui font merveille, v.761 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- D'en faire autant. v.763 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il est vrai, pour cela, que c'est un plaisant âne. v.766 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Quoique pour s'expliquer, il emprunte un organe, v.781 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Jamais dans une pièce on n'en mit de si beaux. v.791 (Acte 1, scène 7, AMARANTE)
- Vous demandez quartier, concernant Despréaux, v.792 (Acte 1, scène 7, ORTODOXE)
- Quand il aura plus d'âge, et les yeux mieux ouverts, v.795 (Acte 1, scène 7, ÉMILIE)
- Et sentira dans l'âme un déplaisir secret, v.799 (Acte 1, scène 7, ?MILIE)
LE MÉDECIN VOLANT (1666)
- Contre un objet charmant, que je dois adorer. v.8 (Acte 1, scène 1, CLÉON)
- Sans rien escalader, pour voir une maîtresse, v.13 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Un amant dans sa manche a toujours quelque adresse. v.14 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Mettez tout en usage, et puissance, et savoir ; v.15 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Sans choquer son honneur, essayez de la voir. v.16 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Si tu savais ce que Lise m'annonce, v.26 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Il m'a dit que tantôt, sur le soir. v.27 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Quand on a de l'amour, et qu'on a de l'espoir. v.28 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Son visage a des attraits puissants. v.35 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Tant pis. v.48 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Écoute : sans scrupule, il te faut déguiser. v.52 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Sans perdre ici d'inutiles paroles, v.57 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Et tu sais. Il avance, il me voit, j'en enrage ; v.66 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- D'un secours nécessaire avancent les effets. v.76 (Acte 1, scène 4, CLÉON)
- Un pucelage nuit, quand il est trop gardé. v.80 (Acte 1, scène 5, PHILIPIN)
- Si l'on attend bientôt ce savant médecin. v.84 (Acte 1, scène 5, FERNAND)
- Et que dans mes vieux ans. v.95 (Acte 1, scène 6, FERNAND)
- Mache-à-vide, Pancrace, Hésiode, Caton. v.96 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Polyeucte, Virgile, Anaxandre, Luculle. v.98 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Médecins de César, assassins d'Alexandre, v.101 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Venez voir, grands docteurs, les mystères cachés v.104 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Je compose le baume et le grand mithridate ; v.110 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Que de quatre saisons une année est pourvue, v.113 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Or, le mal dominant par d'occultes ressorts, v.123 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Dans l'humaine vessie établit un canal ; v.128 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Le cancer froidureux rend l'humeur taciturne, v.129 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Le vaillant zodiaque envisage Saturne v.130 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Mange-t-elle ? v.135 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Tant mieux. v.136 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Avant la fin du jour, lui peut être ravie. v.138 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- Tant pis ! L'a-t-on fait voir à quelque médecin ? v.139 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Puisqu'elle veut mourir sans aucune ordonnance. v.141 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Quand un homme se trouve en état de périr, v.143 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Que vouloir refuser de mourir dans les formes. v.146 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Permettez-moi d'appeler sa suivante. v.150 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- Appelez. Je le tiens ! Ô le franc animal ! v.151 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Je crois. Mais ce gredin vous demande l'aumône. v.158 (Acte 1, scène 8, LISE)
- Médecin. Ma soutane le montre. v.162 (Acte 1, scène 8, CRISPIN)
- Mais, sans perdre ma peine à prouver qui je suis, v.163 (Acte 1, scène 8, CRISPIN)
- De la fille ergotante apportez de l'urine. v.165 (Acte 1, scène 8, CRISPIN)
- Mais à croire sa langue on en juge bien mieux. v.177 (Acte 1, scène 9, CRISPIN)
- Et qu'un grand médecin, quand il fait ce qu'il doit, v.180 (Acte 1, scène 9, CRISPIN)
- Il sent mieux une chose à la langue qu'au doigt. v.181 (Acte 1, scène 9, CRISPIN)
- Monsieur, et cependant je n'en ai qu'un filet. v.184 (Acte 1, scène 10, LISE)
- On n'a pas le pouvoir de pisser quand on veut. v.189 (Acte 1, scène 10, LISE)
- C'est donner à Lucresse une peine trop grande, v.190 (Acte 1, scène 10, LISE)
- Dites-lui que Monsieur le commande. v.191 (Acte 1, scène 10, FERNAND)
- Mais enfin, pour vous plaire, à l'instant elle a bu. v.193 (Acte 1, scène 10, LISE)
- Au plus tard, dans une heure, il faudra qu'elle pisse. v.195 (Acte 1, scène 10, LISE)
- Et votre maladie est sans doute mortelle ; v.207 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Que le sort les sépare, et le sang les rejoint ; v.214 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Étant vrai que l'enfant est l'ouvrage du père, v.215 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Et le sang l'un de l'autre est si fort dépendant, v.217 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Que l'enfant met le père en un trouble évident. v.218 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Cependant, quoIque mon savoir brille, v.219 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Il ne vous manque rien que beaucoup de santé ; v.222 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Sans cela. v.223 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Parfois, sans qu'on le sache, on se porte fort mal, v.226 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Mais, soit fièvre, ou migraine, ou gangrène, ou mal chaud, v.229 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- L'ordonnance, v.231 (Acte 1, scène 11, FERNAND)
- Vous vous moquez. Je les fais par avance ! v.232 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Mais, ignorant son mal, il lui faut, ce me semble, v.235 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Une ordonnance propre à tous les maux ensemble ; v.236 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Croyez-moi, le devant est son fait : v.242 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Un savant médecin. v.245 (Acte 1, scène 12, FERNAND)
- L'intendant d'un seigneur m'a contraint de me rendre, v.247 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- Mon bon Monsieur, je n'ai pu tant attendre : v.248 (Acte 1, scène 12, FERNAND)
- Le plaisir que je goûte est mêlé dans le vôtre ; v.259 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- Sans cérémonie on vous doit le milieu. v.266 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- Tout à fait dangereuse en son expérience : v.276 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Car, touchant notre vie, elle passe si tôt, v.277 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Mais dedans cet abîme un esprit se confond : v.283 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Cette utile science en enferme tant d'autres, v.285 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Et d'un grand médecin rien n'égale le sort, v.291 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- Quand sa seule présence intimide la mort, v.292 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Quand il est l'ennemi que la Parque redoute, v.293 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Quand sa haute science en détourne la route, v.294 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Aux emplois importants sont toujours réservés. v.302 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Qu'étant moins occupé, vous pourrez me permettre v.304 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- Du plaisir qu'on reçoit, quand on peut vous ouïr. v.306 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Touchant la médecine est-il expert ? v.310 (Acte 1, scène 13, FERNAND)
- Mais, durant qu'il parlait, vous ne disiez mot ? v.313 (Acte 1, scène 13, FERNAND)
- Voir quel temps il fera dans un vieil almanach ; v.321 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Je ne suis pas un marchand de science. v.336 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Que cet homme est habile, et qu'il est grand docteur ! v.338 (Acte 1, scène 14, FERNAND)
- Ces méchants médecins, qui, par un triste sort, v.341 (Acte 1, scène 14, FERNAND)
- En curant notre bourse, enrichissent la mort. v.342 (Acte 1, scène 14, FERNAND)
- Réjouissance. Ô dieux ! C'est Fernand, que je crois ! v.345 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Monsieur, mes malheurs sont si grands. v.349 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Mais dedans cette ville as-tu point de parents ? v.350 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- Il faut donc que sans doute il en ait du sujet. v.353 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- Répandu la moitié d'un julep. v.354 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Sans savoir si vos soins auront fait quelque chose. v.368 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Commandez ! v.377 (Acte 1, scène 17, CRISPIN)
- Votre frère, il a tant de douleur, v.377 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- C'est manquer de parole aux plus rares amis. v.385 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- Quand je vois ce coquin, mon courroux se débonde. v.392 (Acte 1, scène 17, CRISPIN)
- Hé ! Monsieur, il ne faut qu'un instant... v.393 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- Mais, touchant ce maraud, je consens qu'il revienne. v.395 (Acte 1, scène 17, CRISPIN)
- Je veux faire accorder le pardon devant moi. v.398 (Acte 1, scène 18, FERNAND)
- Dois-je devant ses yeux ne paroistre jamais ? v.401 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- Du pardon de ma faute avez-vous l'assurance, v.408 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- De vos soins obligeants je serais querellé, v.410 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- Quand on a sa parole, elle vaut un contrat. v.414 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- Il faut battre le fer, ce pendant qu'il est chaud. v.421 (Acte 1, scène 20, FERNAND)
- Trop obligeant grison, ta douceur m'assassine. v.423 (Acte 1, scène 21, CRISPIN)
- Je viens dire. Ma foi ! Ce sauteur est plaisant. v.430 (Acte 1, scène 22, PHILIPIN)
- Moi,je vous la demande, à la charge d'autant, v.437 (Acte 1, scène 23, FERNAND)
- Voyez-vous cette grande fenestre ? v.439 (Acte 1, scène 23, FERNAND)
- Le manouvre ! v.450 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Ou respecte cet homme, ou redoute ma canne. v.451 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Quand on est baladin, porte-t-on la soutane ? v.452 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Votre ensoutané saute mieux qu'un cabri, v.454 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- À ce compte, son frère est aussi là-dedans, v.458 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Ah ! Fripon friponnant. v.459 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Je n'ai pas à dessein répandu. Taisez-vous ! v.471 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Il le semble ; il n'en est pourtant rien. v.475 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Dites que devant vous il embrasse son frère. v.477 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- N'était monsieur Fernand que je veux satisfaire, v.478 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Ah ! Grands dieux ! v.500 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Sans affecter compliment ni surprise, v.509 (Acte 1, scène 25, CRISPIN)
- Confondant tout ensemble et nos biens et les leurs, v.511 (Acte 1, scène 25, CRISPIN)
- Faisons des médecins, ou volants, ou voleurs. v.512 (Acte 1, scène 25, CRISPIN)
LE MORT VIVANT (1662)
- Quand je dis que pour vous la Donzelle est défunte, v.4 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Elle vit pour un autre, en trépassant pour vous. v.6 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Quoi, Gusman, Lazarille aimerait Stéphanie ? v.7 (Acte 1, scène 1, FABRICE)
- De mon discours toute feinte est bannie, v.8 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Dès hier, les écoutant, sans qu'aucun m'aperçut, v.9 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Vous, Monsieur, qui poussez la harangue muette, v.11 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Et sans de votre part qu'on entende du bruit, v.13 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Gusman, il est sincère. v.18 (Acte 1, scène 1, FABRICE)
- Dans une heure au plus tard dans ce même jardin, v.25 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Es-tu là Stéphanie ? Ôtes-moi de soucis : v.29 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Sans doute. v.30 (Acte 1, scène 2, STÉPHANIE)
- Mais de là jusqu'ici l'espace étant si grande, v.31 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Il faut que dans ce lieu ta personne descende, v.32 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Pour d'une âme tranquille écouter mon discours. v.33 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- En t'appelant, sais-tu quel succès j'en espère ? v.35 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Ce n'est pas qu'en effet, durant près de vingt ans, v.41 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Je t'aimais comme un Père aimerait ces enfants, v.42 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Et voyant les beautés dont le Ciel te partage, v.43 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Mon coeur depuis un mois t'aime encore d'avantage. v.44 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Pour te casser la tête en faisant ton devoir, v.46 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Je t'ai toujours traitée en enfant de ta mère. v.48 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Qui dans trois ou quatre ans deviendront chassieux : v.58 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Que qui n'est plus ton Père, est enfin ton Amant. v.66 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Vous Monsieur, mon Amant ? v.67 (Acte 1, scène 2, STÉPHANIE)
- Si dans mes jeunes ans je n'aimais que les Armes, v.71 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Et si dans ce moment tu fourmilles de charmes, v.72 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Notre premier enfant, étant fille ou garçon, v.73 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Sera plus beau qu'un Ange, ou plus fort qu'un Sanson. v.74 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Il s'avance. v.84 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- De tous vos serviteurs étant le plus soumis, v.85 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Mais enfin, après tant de bontés, v.89 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Mes yeux de Stéphanie ayant vu les beautés, v.90 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Si bien que dans l'espoir de me voir votre gendre, v.92 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Suffit que chaque jour vous voyiez Stéphanie, v.96 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Peut-on ne pas l'aimer sans manquer de raison ? v.97 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Parlez, de vos Amis je suis l'un des plus grands. v.113 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Il y peut bien avoir plus de cinq fois quatre ans, v.114 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Passa par cette ville, allant à Gadaloupe, v.116 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Et s'il faut devant vous que sans fard je m'explique ; v.123 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Durant une heure ou deux je la crus hydropique : v.124 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Quoique dans mon logis elle n'eut rien à craindre, v.127 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- D'abord prêtant l'oreille à sa voix, j'en ouïs : v.129 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Lors pour voir ce mystère ayant ouvert la porte, v.139 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Je trouvais cette femme en langueur ; demi-morte. v.140 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Un enfant à ses pieds qui venait d'être fait, v.141 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Mais la mère à l'enfant ne put me le permettre, v.144 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Et d'un gros Diamant le brillant gracieux, v.145 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Si bien que l'Accouchée ayant par son adresse v.147 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Sans rien appréhender des médisants propos, v.149 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- A son enfant tout nu je donnais des drapeaux, v.150 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Qui la même nuitée ayant eu la migraine, v.151 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Car dans sa maladie on craignait qu'il mourut ; v.153 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Et Dona Stéphanie est le nom qu'il reçut. v.154 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Stéphanie en huit jours ne fut plus en danger, v.158 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Et m'ayant ses joyaux déposés dans les mains, v.161 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Avant que de partir m'expliqua ses desseins. v.162 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Monsieur, dit-elle alors, connaissant votre zèle, v.163 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Tant que pourra durer la longueur de sept ans. v.166 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Qu'à celui qui pour elle ayant quelque amitié, v.169 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- A cet anneau rompu joindra l'autre moitié. v.170 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Qui durant son enfance amandait d'heure en heure, v.172 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Comme elle est à présent dans un ange à produire, v.175 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Et trouvant dans ma flamme un plaisir assez doux, v.177 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Je l'ai fait retirer voyant votre venue ; v.180 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Ferdinand... v.193 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- Ferdinand vous a donc tout appris ? v.193 (Acte 1, scène 5, STÉPHANIE)
- Stéphanie être avec Lazarille ! v.195 (Acte 1, scène 5, FABRICE)
- Cessant d'être mon père il devient mon amant. v.198 (Acte 1, scène 5, STÉPHANIE)
- Ferdinand l'aime aussi, Gusman ! v.199 (Acte 1, scène 5, FABRICE)
- Belle demande ; v.199 (Acte 1, scène 5, GUSMAN)
- Manque-t-on d'appétit près de si belle viande ? v.200 (Acte 1, scène 5, GUSMAN)
- Ferdinand doit donc faire un obstacle à mes voeux ? v.201 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- Qui pis est, suivant ce que je vois, v.209 (Acte 1, scène 5, GUSMAN)
- Cependant, animé d'une animé d'une ardeur assez grande, v.211 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- De vous à mon Rival j'ai tenté la demande ; v.212 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- Et suivant les conseils que de vous j'ai reçu, v.213 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- J'en suis ravi, Gusman. v.215 (Acte 1, scène 5, FABRICE)
- Vous m'avez demandée ? v.217 (Acte 1, scène 5, STÉPHANIE)
- Quand je crus vous donner un conseil nécessaire, v.219 (Acte 1, scène 5, STÉPHANIE)
- Ferdinand de ma part était vu comme Père ; v.220 (Acte 1, scène 5, ST?PHANIE)
- Mais n'étant pas sa fille, et sachant son amour, v.221 (Acte 1, scène 5, ST?PHANIE)
- Pour me voir délivrée d'un Amant odieux. v.230 (Acte 1, scène 5, STÉPHANIE)
- Mais vous pouvez en moi recouvrer un amant, v.234 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Sans que dans mes respects, j'ai osé vous le dire. v.236 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Et de pouvoir sans cesse admirer vos appas. v.242 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Au reste, Lazarille eut toujours tant d'adresse, v.247 (Acte 1, scène 7, STÉPHANIE)
- Ah, Gusman mon Valet ! v.252 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Dont le coeur est de flamme et la langue engourdie, v.256 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Brûler dans sa chemise à l'exemple d'Hercule, v.259 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Et que sans écouter un amour violent ..... v.265 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Elle saura m'aimer quand il cessera d'être, v.272 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Je puis donc, supportant que je venge un affront, v.273 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Quoi, Gusman, tu veux être pagnotte ? v.275 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Ah ! Gusman, souviens-toi que j'aime Stéphanie, v.279 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Et que dans le malheur qui talonne mes pas, v.281 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Mais mourir, après tant de souffrances, v.283 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- C'est donner à ma peine une faible allégeance. v.284 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Et que quand la fortune est pour nous rigoureuse, v.287 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Gusman, c'est mal me secourir, v.289 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Un amant véritable a trop peur de mourir, v.290 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Puisse expirer sans peine après un noble choix ? v.294 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- C'est, sans qu'il soit besoin de toujours discourir, v.301 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Vouloir vivre sans vivre, et mourir sans mourir. v.302 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Un si grand préambule était-il nécessaire ? v.307 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Et que sans vanité, je pourrais me vanter, v.309 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Tu peux en secondant les desseins que je fais, v.321 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Quoi, Monsieur, dans l'Afrique ai-je quelque pouvoir ? v.325 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- De l'Afrique ai-je la dépendance ? v.327 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Fléchit-elle à ma moindre ordonnance ? v.328 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Gusman avec l'Afrique ayant peu de commerce, v.336 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Pour raison concluante il conclut de bon coeur, v.337 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Je veux dans mon logis te le faire comprendre ; v.340 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Dans tout ce qui me touche aisément s'intéresse, v.344 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Mon Frère, votre Père ayant fini son sort, v.352 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Pourtant, ou je me trompe, ou tu dis hier au soir, v.363 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Et pour, à son enfant ne pas être inutile, v.365 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Il me l'avait mandé, cet espoir m'était doux, v.367 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Il s'oppose sans cesse au cours de ma fortune, v.369 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Au tendre nom de Fils, joins le titre d'Amant ; v.376 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Et ta vertu sans cesse étalée à ses yeux, v.383 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Si tantôt j'eusse appris cette triste nouvelle, v.385 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Mais ce coup à mon âme est d'autant plus cruel, v.387 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Puisqu'il faut qu'à regret j'abandonne Séville, v.390 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Et qu'au moins Stéphanie une fois chaque jour, v.391 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Stéphanie ! v.393 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Il aime Stéphanie ? v.396 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Comme il est courageux, comme il est magnanime, v.397 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Que son crédit est rare, et que dans cet Etat, v.399 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Il tient, et il sait garder le rang d'un Potentat, v.400 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- En vain à ce qu'il veut tu ferais résistance. v.401 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Celle dont les attraits m'ont donné dans la vue ? v.406 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Cependant de l'amour je sens la tyrannie, v.409 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Quoi donc, Seigneur, vous aimez Stéphanie ? v.410 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Pour mettre votre nez jusques dans mon affaire. v.413 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- En parlant avec vous abaisse la grandeur ; v.416 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Et que le rang suprême où le Ciel vous a mis, v.419 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Et si votre Excellence à ma perte animée, v.425 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Et soutenant toujours la grandeur de son sang, v.427 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Me céder un Objet qui n'est pas de son rang. v.428 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Est-il bon près des Grands ? v.436 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Votre esprit pénétrant n'ignorât jamais rien. v.440 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Ah ! De votre Grandeur l'âme est trop accomplie. v.442 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Pour haranguer l'objet qui me met aux abois, v.452 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Où vous représentiez la grandeur de ma flamme ; v.454 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Mais parlant de mes feux il se faut animer, v.455 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Surtout, à Stéphanie, étalez l'Ambassade, v.461 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Monseigneur le langoureux, v.467 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Je suis grand personnage, et malheur à qui m'outre. v.470 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Qui fait en me parlant enrager ma vertu, v.472 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Stéphanie, Hélas ! v.475 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Il n'a pu résister à tant d'appas flatteurs, v.479 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Mais c'est trop la flatter ; vantez-lui mon adresse, v.485 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Pour plaire à ma Grandeur surprenez la tendresse ; v.486 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- De voir qu'un si grand homme ait de l'amour pour vous. v.488 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Jugez par ses vertus, par son rang, par sa mine, v.489 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- De la gloire éclatante où le Ciel vous destine ; v.490 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Et mon coeur devrait être et tranquille, et content, v.495 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Mais hélas ! Soupirant incommode, v.497 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Pleut-on parler d'amour sans qu'on soupire ? v.499 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Venez ; car je vous aime, et je suis cependant v.503 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Ambassadeur d'Afrique, et bien Ambassadant ; v.504 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Mais contre vos attraits n'ayant point de parade, v.505 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Car des Ambassadeurs étant fort au dessous, v.507 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- L'Ambassade est à cru quand on parle avec vous. v.508 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Pour connaître aisément votre rang glorieux, v.511 (Acte 2, scène 3, STÉPHANIE)
- Il ne faut qu'un moment regarder dans vos yeux, v.512 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Découvre les vertus, et fait voir la naissance : v.514 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Aussi, d'un rang si haut je ne sais trop le pouvoir, v.515 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Songez, Seigneur, songez que mon rang est trop bas, v.519 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Mon enfant, je ne l'ignore pas ; v.520 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Mais beauté printanière apprenez qu'il m'est doux, v.523 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Souvent les Grands Seigneurs sont les plus ridicules ; v.526 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Et quand la mort nous tient rarement on échappe, v.534 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Partant si vous étiez insensible pour moi, v.535 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Vous me verriez mourir, et sans savoir pourquoi : v.536 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- A m'aimer tant soit peu, nous pourrions en découdre, v.538 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Loin de vous accorder un plus grand privilège, v.546 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Que je n'ose, Seigneur en former l'espérance ; v.550 (Acte 2, scène 3, STÉPHANIE)
- Vous pouvez donc prétendre en me faisant la Cour, v.551 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Quand au malheur pour eux un vent rude et fatal, v.563 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Il suffit, un grand coeur n'est jamais hypocrite ; v.569 (Acte 2, scène 3, STÉPHANIE)
- Mais, Seigneur, quand je songe à mon faible mérite, v.570 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Et cachant ce qu'en vous je dois voir de suspect, v.575 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Qui d'un grand Potentat représente l'Image ? v.586 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- Tu peux par complaisance applaudir sa faiblesse ? v.590 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- Sa grandeur t'éblouit, et tu n'aperçois pas, v.591 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- J'ai cru qu'un rang suprême occupait un Illustre ; v.594 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- Mais je prends de l'audace en quittant mon erreur, v.595 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- Deviendront les garants de ce que je te dis. v.604 (Acte 2, scène 4, FABRICE)
- Tantôt tu me diras le reste. v.605 (Acte 2, scène 5, FABRICE)
- De cet Ambassadeur je méprise le rang, v.607 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Je prétends lui planter un poignard dans le flanc. v.608 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Dans l'état où je suis je n'ai plus d'autre ennuie, v.617 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Et s'il était ici dans ce même moment, v.619 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- C'est toi qui contre lui me devrais animer. v.628 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Puis-je ne un même jour sans mourir de tristesse, v.629 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Peste quel avaleur de pois gris ! Dans sa bouche v.637 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Car, suivant ma pensée, il vient de t'effrayer, v.640 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Et que dans un amour qui me touche fort peu, v.647 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Quand le coeur vous en dit, je sois mis sur le jeu ; v.648 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Nescio vos, Seigneur, car Gusman n'est pas homme, v.649 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Mais Gusman... v.655 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Un plus grand que de voir qu'on me brise les côtes, v.658 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Me ferait ce me semble un plaisir peu plaisant. v.660 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- De l'Hôte à mon Rival tu connais la servante ? v.662 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Et si dans mon dessein je me puis servir d'elle. v.665 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Ma plus pressante envie est de voir Lazarille, v.669 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Quitter l'Andalousie et marcher en Castille, v.670 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Tandis que Stéphanie écoutant mes soupirs, v.671 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Voyons cette servante, et demandons son aide. v.674 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Mais avant que Gusman fasse rien de nouveau, v.675 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Point, je veux que ce soir tu manges à ma table. v.681 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Monsieur, vous voyez bien qu'étant l'heure qu'il est, v.685 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Dans cette Hôtellerie aucun bouge ne chôme, v.687 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Et je ne pense pas que dans tout le Royaume v.688 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Dans un logis si grand un lit seul est resté ; v.690 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Puisque dans le lit vert il faut que je repose, v.695 (Acte 3, scène 1, HENRIQUEZ)
- Emportez la chandelle, et me laissez ici. v.697 (Acte 3, scène 1, HENRIQUEZ)
- Surtout n'oubliez pas d'aller chez Ferdinand. v.701 (Acte 3, scène 1, HENRIQUEZ)
- Il suffit, son logis est du notre attenant, v.702 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Il faut qu'un grand matin faire en sorte qu'il vienne, v.704 (Acte 3, scène 1, HENRIQUEZ)
- Et que de Stéphanie il soit accompagné. v.705 (Acte 3, scène 1, HENRIQUEZ)
- Il faut donc dans ce lieu que j'attende le jour, v.710 (Acte 3, scène 2, HENRIQUEZ)
- Mais de peur qu'en marchant je n'éveille cet homme, v.712 (Acte 3, scène 2, HENRIQUEZ)
- Je ne puis manier cette lanterne sourde, v.719 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Pourtant quoi que je fasse il faut tout entreprendre, v.723 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Il faut sans balancer que tu partes demain, v.729 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Si tantôt chaque coup vaut écu, je suis riche, v.740 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Et dans l'abîme affreux où mon malheur me plonge, v.743 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Pourtant tu n'as pas lieu de te plaindre de moi, v.753 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Tu veux épouvanter, épouvantable emploi ; v.754 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Qui te doit exercer épouvante lui-même, v.756 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- A parler franchement l'avantage est petit, v.757 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Sois moins coeur de Gusman, que coeur de Capitaine, v.764 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Un coeur de Capitaine en un coeur de Gusman ; v.766 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Et ta haute assurance assure assurément, v.769 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Ne faisant point de fille, il fallut faire un fils. v.774 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Pour animer mon coeur j'ai beau faire un effort, v.785 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Je ne suis point vaillant si ce n'est quand il dort. v.786 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Où ce nom dans ce lieu vient d'être prononcé. v.790 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Qui pour venger ma fourbe employant ses efforts, v.797 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Adieu Gusman. v.799 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Dites si dans ce lieu c'est moi qui vous amène. v.800 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Où t'es-tu là rangé ? v.815 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Sans doute. v.821 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Si j'ouvre ma lanterne ils me rompent le cou, v.822 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Il faut donc se résoudre, ô trop sourde lanterne, v.823 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Et qu'à mes voeux ardents le Ciel étant propice, v.827 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Et j'eus trop peu d'esprit quand je le voulus faire. v.832 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Touchant les mille écus autrefois mal acquis, v.833 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Puisque pour être heureux il faut être sans tâche, v.835 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Il a perdu le sens, quelle angoisse mortelle ! v.839 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Je sais que dans mon âge il est temps que je meure, v.844 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Si je suis mort, c'est donc sans m'en apercevoir : v.849 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Il faut le détromper, hola de la chandelle. v.852 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- De la chandelle, hélas ! La feinte va finir, v.853 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Cependant ma frayeur est sans comparaison. v.857 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Pourquoi faire Messieurs un si grand tintamarre ? v.860 (Acte 3, scène 4, L'HÔTE)
- Quel horrible fantôme est gîté dans ce lieu ? v.862 (Acte 3, scène 4, L'HÔTE)
- Une peur effroyable a coulé dans mon âme. v.864 (Acte 3, scène 4, LAZARILLE)
- Je vois d'autre chandelle. v.865 (Acte 3, scène 4, L'HÔTE)
- Tout me confond, mon trouble est plus fort que devant ; v.873 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- Enfin mon père mort, ou mon père vivant, v.874 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- Si de vous, ou de vous je reçus la naissance, v.875 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- Dans les traits de ton père envisage les tiens. v.877 (Acte 3, scène 5, HENRIQUEZ)
- La mort que j'ai soufferte a changé tous les miens, v.878 (Acte 3, scène 5, GUSMAN)
- De rentrer dans mon trou l'un et l'autre m'empêche, v.884 (Acte 3, scène 5, GUSMAN)
- L'un des deux est sans doute, ou Sorcier, ou Voleur. v.886 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- Puisqu'il trouve un Rival dans un autre soi-même. v.896 (Acte 3, scène 6, FABRICE)
- C'est Gusman mon Valet dont tu vois la figure, v.899 (Acte 3, scène 6, FABRICE)
- De ton père vivant t'annonça le trépas. v.902 (Acte 3, scène 6, FABRICE)
- Quoi ! Ton coeur en secret brûle pour Stéphanie ? v.904 (Acte 3, scène 6, LAZARILLE)
- Stéphanie ! v.905 (Acte 3, scène 6, HENRIQUEZ)
- Cette beauté charmante est l'objet de mes voeux. v.906 (Acte 3, scène 6, FABRICE)
- Et j'attends des Dieux la puissance suprême..... v.908 (Acte 3, scène 6, LAZARILLE)
- Mais, ô Dieux ! j'aperçois Ferdinand qui l'amène, v.912 (Acte 3, scène 6, LAZARILLE)
- Cette moitié d'anneau vous le fera connaître. v.916 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Je le suis, Stéphanie. v.919 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Il l'est ; De votre amant il devient votre frère, v.924 (Acte 3, scène 7, LAZARILLE)
- Ailleurs je t'en dirai les secrets importants, v.926 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Ce bonhomme sait tout. Cependant de Fabrice, v.927 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Ma chère Stéphanie acceptez le service. v.928 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Fort bien, notre espoir décevant, v.933 (Acte 3, scène 7, GUSMAN)
- Te fait le Vivant Mort, et moi le MORT VIVANT. v.934 (Acte 3, scène 7, GUSMAN)
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GERMANICUS (1694)
- Je vous dirais pourtant, si j'osais aujourd'hui v.9 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Altérer votre joie en vous parlant de lui, v.10 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Le premier des mortels était Germanicus. v.18 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Madame : Et je viens rendre au mérite éclatant, v.21 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Trouvé digne à vingt ans d'être Consul de Rome. v.24 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Dans le trouble mortel dont mon âme est saisie v.27 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- J'aime Germanicus, Madame. Un mot si rude v.31 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Quoi que grand par lui-même, et fameux par son sang, v.33 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Ce mot n'échappe guère à celles de mon rang : v.34 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Non qu'il ne soit grand homme, et qu'il n'ait des vertus : v.41 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- On l'a vu dans l'armée au sortir de l'enfance v.43 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- C'est un héros naissant, un coeur noble, élevé ; v.45 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Mais l'amant que je perds en est un achevé : v.46 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Et pour son coup d'essai le Danube enchaîné, v.49 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- De mon aïeul Antoine Auguste fut jaloux : v.61 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Redouter ma puissance, ou briguer mon appui. v.70 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- En voyant tant d'appas son amour peut renaître : v.76 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Je viens de le mander, et vous le pourrez voir. v.78 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Et je puis avec vous parler avec franchise. v.84 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Ah Madame ! En ce fatal instant v.85 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Que mon sort serait beau si vous m'aimiez autant ! v.86 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Et parmi les amants il n'est rien si cruel v.93 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Poursuivez, sans que rien vous contraigne. v.95 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Je lis dans votre coeur, Germanicus y règne : v.96 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Tant que vous l'aimerez vous ne m'aimerez point. v.98 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Je dois vous l'avouer, et le puis sans faiblesse : v.103 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- J'ai pour Germanicus eu beaucoup de tendresse. v.104 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Pleine d'un si grand nom, j'obéis sans réplique. v.108 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Je vis Germanicus, c'est vous en dire assez ; v.109 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Et sur moi sa parole eut un si grand crédit, v.113 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Qu'ayant dit qu'il m'aimait je crus ce qu'il me dit. v.114 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Avant que de le voir m'ayant déjà charmée, v.116 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Avec tant de mérite il ne fut pas haï ; v.117 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Et si Germanicus aigrit votre courroux v.125 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Laissez-le moi haïr avant que d'être à vous. v.126 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Quand il faut à la haine abandonner ses jours, v.129 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Mais, Madame, aux amants dont les flammes paraissent, v.139 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- On aspire sans cesse à ce jour glorieux ; v.145 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Quelque peine pourtant que votre ordre me cause, v.147 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- En pensant le haïr vous feriez le contraire. v.152 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- L'Empereur le commande, il faut bien obéir. v.158 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Votre premier amant vit toujours sous vos lois. v.161 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- On hait mal-aisément ce qu'on aima sans peine : v.164 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Bientôt Germanicus doit triompher dans Rome : v.167 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Vous aspirez encor à voir un si grand homme ; v.168 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Et si j'en sais juger, pour le voir sans péril, v.169 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Mandez-lui qu'à ses voeux l'Empereur vous arrache : v.171 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Là son bras redoutable aux plus vaillants Germains, v.173 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Germanicus... v.180 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Et montre en ma faveur une bonté si grande, v.188 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Quand je l'aurai quitté je t'irai tout apprendre. v.191 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Je serais criminel, sachant qui vous l'envoie, v.195 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et mon plus grand plaisir est de vous en causer, v.198 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Sont autant de moments que j'ôte à votre joie : v.204 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Tandis que dans ces lieux je signale ma foi v.208 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- L'effort que je me fis quand je quittai vos charmes, v.211 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Cependant prés de vous on cherche à me détruire ; v.214 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Vous me verrez dans Rome aussitôt que ma lettre, v.217 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- L'amour me joint à vous par de si puissants noeuds, v.219 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Mais je laisse en ma place un plus grand Capitaine. v.223 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- GERMANICUS. (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Ce n'est pas que mon zèle ait jamais chancelé ; v.237 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mais je sens dans mon coeur des transports si confus... v.245 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Manque-t-on de raisons quand on a de l'amour ? v.250 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Aux succès de mes feux tant d'obstacles s'opposent, v.255 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Quand je vis la Beauté, qui doit m'être contraire, v.259 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Je nommai bienveillance un désir de lui plaire : v.260 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Qu'en lui voulant du bien je m'en voulais aussi. v.262 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et que ma bienveillance était lors pure estime : v.264 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mais j'avais des transports et des troubles secrets, v.265 (Acte 1, scène 4, PISON)
- De l'audace d'aimer ne pouvant me défendre, v.267 (Acte 1, scène 4, PISON)
- L'amitié rend tranquille, et je ne le suis pas. v.270 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Dans cette inquiétude où me plongeait ma flamme, v.271 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et ma tendre amitié fut changée en amour. v.274 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mais sous tant de faux noms il déguisa le sien, v.277 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Qu'il régnait dans mon âme, et je n'en savais rien. v.278 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Ne vous ont-ils rien dit d'une ardeur si puissante ? v.283 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Au langage des yeux je ne suis pas savante : v.284 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Quand je vous aperçois, j'aperçois tous ses traits ; v.297 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Entre vous deux, enfin, la ressemblance est telle, v.299 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Qu'étant auprès de vous je crois être auprès d'elle : v.300 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Vos appas et les siens lancent de mêmes coups ; v.301 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et d'une âme tranquille, en ce malheureux jour, v.305 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Je vous aime, Madame, et ce mot m'épouvante : v.307 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et qui des deux, enfin, fait un crime plus grand, v.313 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et ne saviez-vous pas qu'en trahissant leur sort, v.317 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Avec le sang d'Auguste ils n'étaient pas d'accord ? v.318 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- On se trouve à l'amour sans savoir qu'on y soit ; v.326 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Quand les sens sont gagnez la raison est sans force : v.328 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et si c'est vous trahir que d'avoir tant d'ardeur, v.329 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Qui pour votre mérite a tant conçu d'estime, v.336 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Quand de tant de bienfaits sa bonté vous accable, v.339 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Si mon coeur prévenu, corrompant mon devoir, v.345 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Je l'ai peint à vos yeux tel qu'il est dans mon âme ; v.352 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et souvent à son feu sacrifiant le mien, v.353 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Il est vrai que mon coeur démentait mon langage, v.356 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et de mon zèle extrême étant presque jaloux, v.357 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Quand je parlais pour lui, je soupirais pour vous : v.358 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et pour tout dire, enfin, quand il serait plus noir, v.361 (Acte 1, scène 4, PISON)
- C'est m'en punir assez que d'aimer sans espoir. v.362 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Laissez-moi me bannir. Mais de grâce, Madame, v.363 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Ne me bannissez pas de votre souvenir. v.366 (Acte 1, scène 4, PISON)
- En parlant de Pison, en songeant à ses feux, v.369 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mon départ est douteux à vous voir davantage : v.371 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Je vais partir sur l'heure, et je jure, en partant, v.373 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Qu'aucun autre que moi n'aimera jamais tant. v.374 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mais dans l'état funeste ou mon âme est réduite, v.379 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Quand de votre main seule il serait possesseur, v.385 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et de chaque côté rencontrant des appas, v.389 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mon tranquille destin n'aurait rien de funeste ; v.391 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Pour entrer dans mon âme elle est trop occupée. v.404 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- La déchirent sans cesse, et c'est assez, sans vous. v.406 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Disposez du pouvoir que j'aurai dans ce lieu. v.409 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Quoi ! Me chasser, Madame, avec un si grand soin. v.413 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Germanicus ne doit pas être loin, v.414 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- D'un Amant si soumis vous n'avez rien à craindre. v.416 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Dans la dure contrainte ou mes voeux sont forcés, v.421 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Va de mon infortune instruire ce grand homme. v.423 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Drusus, je te l'avoue, est retourné dans Rome : v.424 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Mais ce charmant Séjour, ce Palais somptueux v.425 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Ces Jardins, admirez de tant de nations, v.429 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Et le moyen, Albin, qu'un si grand capitaine, v.431 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Qui dans tout l'univers se cacherait à peine ; v.432 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Ont rangé le Danube, et le Rhin sous nos lois, v.434 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Et laissant des Germains les campagnes désertes, v.435 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- En des lieux où sa gloire a devancé ses pas ? v.438 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Me le peindrait sans cesse avec sa Renommée : v.440 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Avant que de m'aimer, il aimait Émilie, v.444 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Elle est jeune, elle est belle, et d'un sang glorieux ; v.445 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Je le pris dans ses fers ; mon malheur l'y renvoie : v.447 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Un Amant tel que lui se retrouve avec joie : v.448 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Il aura peu de peine à rentrer dans son coeur. v.449 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- C'est trahir son rival ; mais Albin, en revanche, v.455 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Fais-lui voir que mon âme est dans un trouble extrême... v.463 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Il m'est trop cher, Albin, pour le voir sans alarmes : v.468 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Ma raison de mes sens n'étant plus la maîtresse, v.471 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Cet amant qui perd tout ne perd pas le respect. v.478 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Il vous aime, et vous perd : Sa gloire est sans seconde v.479 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Un Guerrier si fameux, dans un lieu si suspect, v.501 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- D'un Amant qu'on doit perdre écouter les soupirs, v.505 (Acte 2, scène 2, AGRIPPINE)
- Et de quoi qu'on se flatte entre de vrais amants, v.509 (Acte 2, scène 2, AGRIPPINE)
- Si tantôt à vos yeux j'ai montré ma faiblesse, v.515 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Si le Ciel m'eut fait naître en un rang plus illustre : v.520 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Soit qu'on naisse du Peuple, ou d'un sang qu'on renomme, v.523 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Cet amour de mon coeur est banni pour jamais. v.529 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Dans le trouble inquiet, dont mon âme est atteinte, v.543 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Et, tandis qu'en ce lieu nous voila sans témoins, v.549 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Lorsqu'avec ce grand air, qui fait pâlir d'effroi, v.553 (Acte 2, scène 3, PISON)
- J'ai vu Germanicus avancer prés de moi. v.554 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Votre gloire en danger m'a fait blâmer ma fuite : v.556 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Pour le voir sans alarme il a trop de mérite. v.560 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Quand de quelque vertu mon coeur serait armé, v.561 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Quoique Germanicus ait sur lui de pouvoir, v.565 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- À ce devoir crédule il fait sans cesse entendre, v.567 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Mais, s'il faut tout vous dire, il est si peu constant v.569 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Qu'à l'Amour aussitôt il en promet autant : v.570 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Et je crois, contre un coeur qui chancelle, et qui tremble, v.571 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Que l'amour et l'amant sont trop fort joints ensemble. v.572 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Je n'ai pu sans douleur, malgré tous vos dédains, v.581 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Voir un si grand dépôt en de si faibles mains. v.582 (Acte 2, scène 3, PISON)
- À fuir Germanicus votre vertu consent ; v.585 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Vous voulez qu'il l'apprenne, et votre ordre est pressant : v.586 (Acte 2, scène 3, PISON)
- J'obéis sans réplique ; et de peur qu'on l'amène... v.587 (Acte 2, scène 3, PISON)
- N'a-t-il point demandé si je le perds sans peine ? v.588 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Si l'époux qu'on vous donne a pour vous tant de charmes ? v.591 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Et si vous le perdez sans verser quelques larmes ? v.592 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Que son rare mérite est gravé dans votre âme ; v.595 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Ses soupirs à l'instant... v.597 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Mais, Madame, il viendra si vous m'arrêtez tant. v.598 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Les moments durent peu quand on voit ce qu'on aime. v.600 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Si Drusus avec lui vous surprend sans témoins... v.601 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Et m'aimant, sans espoir, il vous doit être doux v.609 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Si l'on doit d'un grand coeur attendre un grand effet, v.613 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Apprenant vos Combats, je devinais le reste ; v.616 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Et souvent de ma joie étalant tout l'excès, v.617 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- En voyant mon visage on lisait vos succès. v.618 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- L'impatient désir de revoir tant de charmes v.623 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Animant ma valeur, favorisait mes armes : v.624 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Dans l'espoir de m'y rendre, et d'avoir cette joie, v.627 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Sur des corps expirants je frayais une voie ; v.628 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Après trois ans d'absence il m'eût été bien doux v.637 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Cependant... v.643 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Vous m'aimez, je vous fuis, et je le dois sans doute : v.647 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Votre amour défiant en veut être éclairci. v.649 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Quand par l'ordre d'un père il fallut vous aimer, v.653 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Je m'arrache à moi-même en m'arrachant à vous. v.658 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- À remplir mon devoir tout mon sang se prépare ; v.660 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Et ces deux opposez sont d'illustres tyrans, v.661 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Qui demandent de moi des efforts différents. v.662 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Si j'écoute mon sang, que le feu déshonore, v.663 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Ma vertu qui chancelle, en cet état réduite, v.667 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Et de peur que l'amour n'ébranlât le devoir, v.669 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Ces regrets si touchants ont pour moi peu d'appas ; v.673 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Me vouloir tant de bien, et ne m'en pouvoir faire, v.675 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Quand j'aurais votre coeur, il aura votre main ; v.678 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Dans les bras d'un époux, possesseur de vos charmes, v.687 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Qui de tant de plaisirs jouira sans alarmes, v.688 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- C'est plaindre mon destin, sans le rendre meilleur. v.690 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Rend-il mon sort moins rude, et mon malheur moins grand ? v.698 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Je vois avec douleur celle d'un si grand homme ; v.699 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Pour calmer un transport, qui me serait funeste, v.703 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Sauvez-moi de moi-même, et sans plus m'alarmer... v.705 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- C'est blesser ma vertu, sans flatter votre amour : v.710 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Étant né de vos yeux, va mourir par vos mains. v.738 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Apprenant mon remords, me rendra son estime : v.744 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Obligé pour vous plaire de lui manquer de foi, v.745 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Et d'un prix assez grand c'est payer vos attraits, v.749 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Quand il en coûte un crime à qui n'en fit jamais. v.750 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Un outrage si grand d'une bouche si chère : v.752 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Qu'à l'éclat d'un haut rang j'immolasse ma gloire : v.756 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Je souhaite ardemment, vous ayant enflammé, v.765 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Qu'elle vous aime autant que je vous eusse aimé. v.766 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Que le Fils de César dans ce lieu se va rendre. v.772 (Acte 2, scène 5, FLAVIE)
- Il arrive de Rome, et s'avance à grands pas. v.773 (Acte 2, scène 5, FLAVIE)
- Et vous, dans ce moment funeste, v.779 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- Pour l'en faire sortir avec pleine assurance, v.783 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- Cependant tout mon crime est de l'avoir souffert. v.786 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- Dans votre Appartement le Prince va se rendre ; v.791 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- J'ai devancé ses pas pour venir vous l'apprendre. v.792 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Quelqu'un peut avoir vu Germanicus ici. v.794 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- À vos soins obligeants recommande sa gloire. v.796 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Dans un si grand péril ne l'abandonnez pas. v.798 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Et si l'on voit ici son rival triomphant, v.801 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Si j'en crois un grand bruit qui se vient de répandre, v.815 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Mon rival est dans Rome, ou du moins s'y va rendre. v.816 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Votre rival, Seigneur ! Germanicus ? v.819 (Acte 3, scène 2, PISON)
- Que c'est insulter Rome, et braver sa grandeur ; v.825 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Qu'un savant général promet, jure, et s'oblige v.827 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Manlius autrefois sacrifia son fils. v.830 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Le plus grand des Césars ; l'espérance de Rome ; v.836 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- L'inébranlable appui de l'Empire Romain ; v.837 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Quand je vous ai surpris lui parlant de ma flamme, v.847 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Il semblait que ses yeux en causaient dans votre âme : v.848 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Votre zèle obligeant empruntait mon ardeur : v.850 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Voila le grand secret que j'avais à vous dire. v.859 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Mon coeur, qui dans ses fers a trop longtemps vécu, v.861 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- J'appréhendais Livie, et je l'ai tantôt vue ; v.863 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- En voulant me parler son âme s'est émue ; v.864 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- De ces pleurs tout-puissants le charme imperceptible, v.875 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Dans le coeur le plus dur trouve un endroit sensible ; v.876 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Répandaient une larme, et ne me touchaient pas. v.878 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Mais après tout, Seigneur, à vous parler sans fard, v.881 (Acte 3, scène 2, PISON)
- Autant que je l'ai pu, j'ai condamné l'envie v.883 (Acte 3, scène 2, PISON)
- Qui vous fit pour une autre abandonner Livie : v.884 (Acte 3, scène 2, PISON)
- Un amour si confiant pour un Amant rebelle, v.887 (Acte 3, scène 2, PISON)
- S'il rentrait dans mes fers par une lâcheté. v.898 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Soeur de Germanicus , veuve d'un fils d'Auguste, v.899 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Toute juste qu'elle est, je confesse pourtant, v.901 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Que pour vous autrefois je n'en avais pas tant : v.902 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Je sens que je vous hais autant que je le puis. v.910 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Le trouble où je vous vois me découvre sans peine v.911 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- D'avoir tant de témoins de votre perfidie : v.916 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- D'autant plus criminels qu'ils ont l'art de toucher ; v.918 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Ces écrits dangereux, dont j'ai fait mes délices, v.919 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Je vous les rends. Mon coeur est assez magnanime v.923 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Et sans faire éclater un indigne courroux, v.925 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Vous aimer, vous le dire, après mon inconstance, v.935 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- C'est vous faire, sans doute, une nouvelle offense ; v.936 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Je sais qu'en vous quittant je vous fis un outrage v.943 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Goutait tranquillement la douceur d'être aimé : v.946 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Je vivais dans vos fers, et fus m'offrir à d'autres, v.947 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Plus pesants mille fois que ne le sont les autres, v.948 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Mon retour dans vos fers rend leur gloire plus grande. v.955 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Pour n'en plus échapper je vous les redemande. v.956 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Vos perfides serments, tant de fois redoublez, v.965 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Dans le rang où je suis, et du sang dont je sors, v.969 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Vous forçât à m'aimer autant que je vous hais. v.978 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Quoi que dans cet état la raison puisse offrir, v.981 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Pour vous tyranniser tout prendrait mon parti ; v.985 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- À d'éternels mépris abandonnez un traître : v.991 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Me voila dans l'état où vous me souhaitez. v.994 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Tandis que vous m'aimiez j'en avais quelque soin ; v.997 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Je vous l'offre avec joie, et la perdrai sans peine, v.999 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Si je fais en mourant expirer votre haine ; v.1000 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Vous me seriez garant de toutes mes faiblesses. v.1008 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Et que tant de serments une fois violés, v.1021 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Quand je songe aux honneurs qui me sont destinez, v.1024 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Gloire, Plaisirs, Grandeurs, sans vous tout m'importune ; v.1027 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Ces billets si chéris, tant qu'a duré ma foi, v.1047 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Sont autant de témoins qui parlent contre moi : v.1048 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Et quand il en serait, si j'en osais donner, v.1051 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Tandis que votre haine est encor suspendue, v.1053 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- J'ai le coeur assez grand pour n'en pas mal user : v.1060 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Quand je vous le rendrais, ingrat, qu'en feriez-vous ? v.1064 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- J'ai tantôt vu César. Agripine qu'il gêne, v.1069 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Et demande du temps pour apprendre à m'aimer. v.1072 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Avant qu'un mois s'écoule, et qu'il soit expiré, v.1079 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Chaque jour à ses yeux j'irai vanter vos charmes ; v.1082 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Que si tant de douleur ne peut vous satisfaire, v.1085 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Au moins en m'oubliant songez à votre frère : v.1086 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Deviendrez-vous sensible à l'ardeur qui m'anime ? v.1097 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Me sera-t-il permis de rentrer dans vos fers ? v.1100 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- La Princesse Agripine arrive dans ce lieu. v.1104 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Servez Germanicus, l'occasion est belle. v.1105 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Seigneur, je vous apporte une grande nouvelle. v.1106 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Je perds Germanicus, et le perds à regret ; v.1107 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Puisqu'il faut pour jamais oublier tant de charmes, v.1110 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Ces désirs violents, et ces transports si doux, v.1115 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Et par la complaisance où mon coeur se prépare, v.1122 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Je l'ai vu par votre ordre, et sans être en courroux v.1127 (Acte 3, scène 4, DRUSUS)
- Je suis preste à demain pour le grand hyménée v.1133 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- En vous donnant ma foi j'oublierai que j'immole v.1141 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Me surprend d'autant plus que je n'osais l'attendre. v.1150 (Acte 3, scène 4, DRUSUS)
- Quand j'aurai vu César je m'expliquerai mieux. v.1152 (Acte 3, scène 4, DRUSUS)
- Trouves-tu maintenant ma victoire imparfaite ? v.1154 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Si pour Germanicus vous soupirez encore : v.1158 (Acte 3, scène 5, FLAVIE)
- Avec tranquillité lui donner votre main ; v.1160 (Acte 3, scène 5, FLAVIE)
- Vous ranger sous ses lois avant qu'on vous en presse ; v.1161 (Acte 3, scène 5, FLAVIE)
- Dérober tout espoir au grand Germanicus ; v.1163 (Acte 3, scène 5, FLAVIE)
- Attends, attends, Flavie, à tenir ce langage, v.1165 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- D'un Tyran odieux j'aie épousé le fils. v.1168 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Dans le coeur qu'on lui vole il a fait des progrès v.1175 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Qu'on ne détruira point tant qu'il en sera prés. v.1176 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Avant qu'à le revoir je sois accoutumée v.1177 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Et si durant un mois je le vois tous les jours, v.1183 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Je ne veux point aimer quand l'amour est un crime ; v.1185 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Il est de mon devoir de fuir Germanicus. v.1188 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Pour sauver ma vertu dans ce désordre extrême, v.1189 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Quand la gloire a parlé, ne consulte plus rien. v.1192 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Mes jours sont en danger, et ce mot doit suffire, v.1197 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Quand j'aurai signalé l'amour que j'ai pour vous. v.1200 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Je mourrai sans regret si l'objet que j'adore... v.1201 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Faire au sang des Césars un si cruel outrage ; v.1206 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Vous ne pouvez m'aimer sans me faire une injure. v.1210 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Il trahirait son rang à vous en vouloir mal. v.1216 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Je lui veut épargner cette indigne vengeance. v.1217 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Quand vous aurez appris ce que je fais pour vous. v.1232 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Quoi que Germanicus soit la gloire de Rome, v.1233 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Et que le monde entier n'ait pas un plus grand homme ; v.1234 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Pourras-tu sans remords te noircir à ce point ? v.1243 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Pour transmettre à ta race une gloire infinie, v.1249 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Et qu'osant violer les droits les plus sacrez v.1259 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Et tandis que César s'en remet à mes soins v.1263 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Un plus méchant que moi n'entreprend rien au moins. v.1264 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Pour complaire à Plancine il hait Germanicus. v.1268 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Appuyé de Tibère il le perdra sans doute, v.1269 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Si de la Germanie il ne reprend la route. v.1270 (Acte 4, scène 1, PISON)
- J'ai vu Germanicus, mais sans lui rien apprendre : v.1274 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Germanicus, Madame, en ce lieu se va rendre : v.1286 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Ce que je vous demande, en faveur de mon zèle, v.1289 (Acte 4, scène 1, PISON)
- L'honneur que je reçois quand je puis vous servir. v.1292 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Dans les premiers transports d'un si juste courroux, v.1295 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Drusus d'un si grand crime est sans doute complice, v.1297 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Voudrait vous voir unie avec Germanicus. v.1300 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Et je sais... Mais adieu, Germanicus s'avance : v.1302 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Parlez-lui, le temps presse ; et sans faire aucun bruit, v.1303 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Empêchez que dans Rome il ne passe la nuit. v.1304 (Acte 4, scène 1, PISON)
- J'ai tantôt, je l'avoue, avec un peu d'aigreur v.1307 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et dans un tel malheur un modeste courroux, v.1311 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Quand on aime ardemment et qu'on perd ce qu'on aime, v.1313 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- À de plus grands efforts je m'étais préparé. v.1316 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Dont en un général l'exemple est dangereux : v.1320 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Cependant sa tendresse excusant mon audace, v.1321 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et dans le Capitole il consent que demain v.1323 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Vous me combliez de gloire en me donnant la main. v.1324 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Vous avez crû tantôt ma confiance affaiblie : v.1329 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Ô Ciel ! Qui tant de fois a pris soin de sa gloire, v.1333 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Sauve l'appui de Rome ; et mets dans mes discours v.1335 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Un charme assez puissant pour conserver ses jours. v.1336 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Voudrait même pouvoir vous aimer davantage ; v.1342 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Quand je vous aurai dit qu'il faut m'abandonner, v.1348 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Seigneur, je souffre par avance, v.1349 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et je ne puis enfin les prévoir sans trembler. v.1352 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Laissez en me quittant l'amour au désespoir : v.1356 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Je vous l'ordonne même avec un coeur tranquille : v.1357 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Je m'y suis opposé, mais sans rien obtenir ; v.1367 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Seigneur, il faut sur l'heure abandonner ce lieu : v.1371 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Dût m'en coûter la vie en vous disant adieu. v.1372 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Il m'est trop important que votre gloire éclate v.1373 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Avoir mis sous le joug tant de fiers ennemis ; v.1375 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Que l'Elbe, et le Danube arrosent de leurs ondes ; v.1378 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- C'est ce qu'on attendait du grand Germanicus. v.1380 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- S'être acquis tant de gloire est un crime d'État. v.1388 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et dont pour s'agrandir il ne prétendait rien : v.1400 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Mais, suivant ce qu'Auguste eut le soin de prescrire, v.1401 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et ce qu'un si grand Prince a montré de tendresses ! v.1414 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Je vous l'ai déjà dit, Rome changea de face, v.1421 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Hérita de son rang, et non de ses vertus. v.1424 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et qu'on retranche un an de son illustre vie, v.1429 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- J'abandonne le reste à la plus noire envie. v.1430 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Tant que du monde entier il fut seul possesseur, v.1431 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et quand des plus méchants il résolut la perte, v.1433 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- En montant sur le Trône en a banni la foi : v.1436 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Il ne m'est pas permis d'en dire davantage : v.1446 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Que perdez-vous en moi pour balancer ainsi ? v.1448 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Ce que du sang d'Auguste il reste à l'Univers. v.1456 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Si je vous abandonne au pouvoir de Drusus. v.1460 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Tout autre en vous quittant me serait inutile : v.1462 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Éloigné de vos yeux, sont-ils hors de danger ? v.1464 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Mon coeur reconnaissant ne peut trop l'avouer, v.1471 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Il vous rend à mes feux, et je ne puis sans crime, v.1473 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Soupçonner d'artifice un coeur si magnanime. v.1474 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- C'en serait un plus grand de vous laisser périr. v.1480 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Ce Tyran, car, Seigneur, quoi qu'il ait votre estime, v.1485 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Je me flattais pourtant de cette triste gloire, v.1493 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Que loin d'avoir, Seigneur, tant de peine à me croire, v.1494 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Ne balancerait pas entre Tibère et moi. v.1496 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et que m'importe, hélas ! quand tout me désespère, v.1513 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Ne craignez pourtant rien de mon amour extrême : v.1517 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Les appas dangereux que j'ai trop adorez. v.1524 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Vous avez assez mis ma confiance à l'épreuve, v.1526 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Dans l'état déplorable où mon âme est réduite, v.1533 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Venez, qu'en vous quittant, Prince, je vous embrasse ; v.1542 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et que dans ce moment tous mes sens interdits... v.1543 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Qu'au dangereux Pison elle ait rendu ma lettre ? v.1546 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- S'il peut... Germanicus ne sera point party. v.1548 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Un peu de défiance eût été pardonnable. v.1550 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Mon coeur en le quittant ne se possédait pas : v.1551 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Et ne douterais plus du sort d'un si grand homme. v.1554 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Quand il me le promit il me trompait sans doute : v.1557 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Et s'il est vrai qu'il m'aime autant qu'il est aimé, v.1559 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Je saurais maintenant ce que je veux savoir : v.1563 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Un spectre encor sanglant s'est offert à mes yeux, v.1572 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- M'a-t-il dit ; j'en ai fait confiance à Flavie ; v.1574 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Et si Germanicus voyait encor le jour, v.1575 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Désespère mon coeur, ou le rends plus tranquille. v.1581 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- On ne m'a rien appris du grand Germanicus. v.1584 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Ces méchants en faveur, par de lâches maximes v.1593 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- D'un aussi méchant qu'eux applaudissent les crimes ; v.1594 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Servent sa tyrannie ; et croiraient aujourd'hui v.1595 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Parle-moi du héros pour qui j'eus tant d'amour, v.1599 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Mes souhaits sont remplis : mon Amant est sauvé. v.1616 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Ainsi que de ses yeux bannis moi de son coeur. v.1620 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Tout grand qu'est mon malheur, il n'est pas sans remède, v.1629 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Avec Germanicus Pison s'est retiré. v.1632 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- De ce Prince sans doute il a suivi les pas. v.1635 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Ou bien Germanicus n'est point party lui-même. v.1638 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- J'ai vu dans ses regards un désordre funeste ; v.1649 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Germanicus est mort ? v.1656 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Madame. Mais enfin s'il faut parler sans feindre, v.1657 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- On ne dit point, tant on craint sa colère, v.1661 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Ce que Rome a de grand est ce qu'il fait périr. v.1664 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Jamais sous un tyran les coupables ne tremblent ; v.1665 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Si pour Germanicus Rome craint quelque chose, v.1669 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Jusqu'ici cependant on ignore son sort. v.1671 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- On l'ignore ! Dis tout. Germanicus est mort. v.1672 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Et bientôt dans ce lieu le Sénat désolé v.1679 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Un héros qui naguère idolâtré dans Rome, v.1681 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Le lâche aura dans l'ombre, au gré de ses souhaits, v.1687 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Il aura... Quel soupçon dans mon coeur vient de naître ? v.1689 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Serait-il vrai, grands Dieux ! que Pison fût un traître ? v.1690 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Lui de qui tant de fois le zèle peu commun... v.1691 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Il a fait ce grand crime, et se cache de honte : v.1694 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Aux fureurs d'un tyran son désespoir s'est joint. v.1695 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Il me craint. Va méchant ta crainte est inutile : v.1697 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Flavie, as-tu compris la grandeur de ma peine ? v.1701 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Germanicus... v.1704 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Exprimer dans son sang l'horreur que j'ai pour lui. v.1708 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Ce trépas vu des Dieux ayant dû les toucher, v.1711 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Comment Germanicus a-t-il perdu la vie ? v.1714 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Donnez moins de créance à des rapports confus. v.1719 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Germanicus respire, et Pison ne vit plus. v.1720 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Germanicus le pleure, et peut-être le venge. v.1722 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Pison en le servant a fini son destin. v.1723 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Je ne puis sans frémir en nommer l'assassin. v.1724 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Pour jeter dans votre âme une horreur légitime, v.1725 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et de Pison mourant vous tracer un portrait, v.1727 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Quoi que Germanicus crût sa mort assurée, v.1729 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et qu'en le caressant l'Empereur l'eût jurée ; v.1730 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Ne pouvant l'éviter s'il quittait vos appas, v.1731 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Sans avoir eu dessein d'abandonner ces lieux : v.1736 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Voulait en vous trompant vous épargner des larmes ; v.1738 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- En sortant d'avec vous il fut revoir Tibère ; v.1741 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Qui profanant toujours le sacré nom de père, v.1742 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Dans un Appartement où la richesse abonde, v.1745 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Marqué dans le Palais pour l'héritier du monde, v.1746 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Contre un fils si fameux anime ses complices. v.1750 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et pour tout rendre aisé dans l'horreur de la nuit, v.1759 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Qu'il devait le mander sans escorte, et sans bruit. v.1760 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- À peine est-il sorti qu'un grand bruit nous surprend : v.1763 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Sans en être effrayé Germanicus l'entend : v.1764 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Sensible à ma prière, avant que de paraître v.1765 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et Pison, dont le sang criait vengeance aux Dieux, v.1767 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Je me suis à l'instant approché de sa bouche. v.1770 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Cependant à ma voix il m'a connu d'abord. v.1772 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Si pour Germanicus ta passion est forte, v.1773 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et durant quelque temps demeure sans rien dire. v.1778 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et faisant un effort pour la dernière fois : v.1780 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- A pour Germanicus une haine invincible : v.1782 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et m'ayant vu sortir de son Appartement, v.1783 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Après m'avoir dans l'ombre atteint mortellement, v.1784 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- C'est celle de Pison ; du mari de Plancine ; v.1786 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et si dans ce moment je ne t'eusse attaqué, v.1787 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Mon frère te cherchait qui ne t'eût pas manqué. v.1788 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Je lui fais avec joie un si grand sacrifice. v.1790 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Croyant au lieu de moi perdre Germanicus, v.1792 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Que d'un sang plus illustre il voulait voir trempée, v.1794 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Me perce en tant d'endroits, sans toucher à mon coeur, v.1796 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Qu'il semble que le sort en souffrant ma ruine, v.1797 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et de me garantir d'un si funeste sort ; v.1803 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- De ses justes mépris me voyant la victime, v.1805 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Ne pouvant de ma flamme interrompre le cours v.1807 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Puisqu'à Germanicus j'ai conservé la vie, v.1809 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- D'un bonheur assez grand ma disgrâce est suivie : v.1810 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et sûr qu'en vous servant il va perdre le jour, v.1815 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Que je vous plains, Seigneur, d'être si magnanime. v.1830 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- Mais de sa cruauté vous avez connaissance. v.1833 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- Et des mains de César recevez votre amant. v.1840 (Acte 5, scène 4, DRUSUS)
- Ne craignez rien ; César s'est expliqué sans feindre. v.1846 (Acte 5, scène 4, LIVIE)
- Redemandait mon frère, et s'était révolté : v.1848 (Acte 5, scène 4, LIVIE)
- S'est résolu sans peine à ce grand changement : v.1852 (Acte 5, scène 4, LIVIE)
- C'est dans ce lieu si saint qu'il veut tenir parole : v.1862 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- Le Sénat l'accompagne ; et voici le grand jour v.1863 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- Et craignons les retours de son esprit flottant. v.1868 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- Vous, cependant, Albin, qui m'êtes si fidèle, v.1869 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
LA FÊTE DE LA SEINE (1690)
- Arrosent tant de Plaines; v.4 (Acte 1, scène 1, L'OCÉAN)
- Chantez les plus beaux Airs que vous puissiez savoir, v.7 (Acte 1, scène 1, L'OC?AN)
- Goûte au plus grand bonheur ? v.12 (Acte 1, scène 1, THÉTIS)
- Cultiver les guérets dans une paix profonde. v.14 (Acte 1, scène 1, TH?TIS)
- Que l'on chante, que l'on danse; v.20 (Acte 1, scène 1, TH?TIS)
- Néréides, Tritons, je la vois qui s'avance, v.23 (Acte 1, scène 1, TH?TIS)
- Venez, Nymphe charmante, v.25 (Acte 1, scène 2, THÉTIS)
- Dans ces aimables lieux: v.26 (Acte 1, scène 2, TH?TIS)
- Venez oüir chanter les exploits glorieux v.29 (Acte 1, scène 2, TH?TIS)
- Qui de toutes les Eaux vous rendent triomphante. v.30 (Acte 1, scène 2, TH?TIS)
- Venez, Nymphe charmante, v.31 (Acte 1, scène 2, TH?TIS)
- Dans ces aimables lieux: v.32 (Acte 1, scène 2, TH?TIS)
- Le Danube, le Nil, le Pactole, et le Gange, v.35 (Acte 1, scène 2, L'OCÉAN)
- Joindre leur voix aux surprenants concerts v.37 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN)
- Préparez à votre louange. v.38 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN)
- Je vois en sortant de ma Source v.44 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Tant que dure le jour v.49 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- À son exemple ils chantent leur amour v.53 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Tant que dure le jour. v.54 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Aimer et chanter sans cesse v.55 (Acte 1, scène 2, DEUX TRITONS)
- C'est une grande sagesse: v.56 (Acte 1, scène 2, DEUX TRITONS)
- S'abandonner à la mélancolie v.58 (Acte 1, scène 2, DEUX TRITONS)
- C'est une grand folie. v.60 (Acte 1, scène 2, DEUX TRITONS)
- Soyez constants, et discrets : v.63 (Acte 1, scène 2, DEUX NEREIDES)
- Fidèles dans leurs amours v.68 (Acte 1, scène 2, DEUX NEREIDES)
- Sans jamais changer leurs cours. v.70 (Acte 1, scène 2, DEUX NEREIDES)
- Et l'on n'est plus aimé quand on n'est plus aimable, v.74 (Acte 1, scène 2, UNE JEUNE FONTAINE ET UN RUISSEAU)
- Puisque ce temps s'évanouit v.75 (Acte 1, scène 2, UNE JEUNE FONTAINE ET UN RUISSEAU)
- Pendant que l'on en jouit v.77 (Acte 1, scène 2, UNE JEUNE FONTAINE ET UN RUISSEAU)
- Ne perdons pas un instant v.79 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- Sans amour on ne vit point content, v.81 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- Qu'un tendre amour dans un coeur bien constant. v.84 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- Ne perdons pas un instant v.85 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- Tout languirait sans l'Amour v.87 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- Dans nos Jardins le Jasmin, et la Rose, v.91 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- Tout languirait sans l'Amour v.93 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- Vous goûtez de la Paix la tranquille douceur ; v.97 (Acte 1, scène 2, LE GANGE)
- Pendant que l'Univers éprouve tant d'alarmes. v.102 (Acte 1, scène 2, LE GANGE)
- Les Oiseaux nous refusent leurs chants ; v.105 (Acte 1, scène 2, LE NIL)
- Qu'ils réservent pour vous les airs les plus touchants. v.108 (Acte 1, scène 2, LE NIL)
- Des doux, et des charmants Zéphyrs : v.110 (Acte 1, scène 2, LE PACTOLE)
- Le sang humain dont on voit des rivières ; v.113 (Acte 1, scène 2, LE DANUBE)
- Nos prés jonchés de mourants, et de morts ; v.114 (Acte 1, scène 2, LE DANUBE)
- Pendant que les Bergers au murmure des eaux, v.119 (Acte 1, scène 2, LE DANUBE)
- Chantent sur leurs Chalumeaux v.120 (Acte 1, scène 2, LE DANUBE)
- Pendant que l'Univers éprouve tant d'alarmes. v.125 (Acte 1, scène 2, LE GANGE, LE NIL, LE PACTOLE, LE DANUBE)
- Un Roi, mais le plus grand dont le Ciel a fait choix v.126 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Quoi que la Terre ait tant de Rois : v.129 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Un Roi qu'en tant de lieux a suivi la Victoire, v.130 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Rend mes tranquilles Eaux éclatantes de Gloire v.132 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Ce qu'en vingt ans ne put faire Pompée v.136 (Acte 1, scène 2, L'OCÉAN)
- Qui signalaient leur nom par tant de cruautés ; v.139 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN)
- Et ces Tyrans des Campagnes humides v.140 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN)
- Jusqu'aux plus étranges climats ; v.146 (Acte 1, scène 2, THÉTIS)
- Depuis que dans le Monde on voit régner la Guerre v.149 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- On n'a point encor vu de pareil conquérant ; v.150 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Quelque grandeur qu'ait la Terre v.151 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Son coeur est encor plus grand. v.152 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- De ses exploits éclatants. v.155 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Fleuves qui gémissez sous d'injustes Puissances, v.156 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Consolez-vous, vos souffrances v.157 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Fleuves qui gémissez sous d'injustes Puissances, v.159 (Acte 1, scène 2, ENSEMBLE)
- Consolez-vous, vos souffrances v.160 (Acte 1, scène 2, ENSEMBLE)
- Pour affranchir du joug tant de peuples divers, v.163 (Acte 1, scène 2, LE GANGE et LE NIL)
- On peut chanter et rire; v.169 (Acte 1, scène 2, LE DANUBE, LE PACTOLE)
- Ce ne sont que plaisirs, que transports, qu'enjouements. v.170 (Acte 1, scène 2, LE DANUBE, LE PACTOLE)
- Que pour des objets charmants. v.174 (Acte 1, scène 2, L'OCÉAN, THÉTIS)
- Un si grand Monarque pour Maître ! v.176 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN, TH?TIS)
- Un si grand Monarque pour Maître ! v.180 (Acte 1, scène 2, TOUS ENSEMBLE)
LES MOTS À LA MODE (1694)
- Parlons sans passion. Êtes-vous bien certain v.5 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- En cherchant des papiers hier dans son armoire v.11 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Dans un coin, à l'écart, j'aperçus ce Mémoire. v.12 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Qu'il ne pourrait suffire à juger tant de causes. v.24 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Voulez-vous, en rendant votre femme si noire, v.27 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Et quand vous serez sot, à la face de tous, v.29 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Quelle démangeaison de le vouloir paraître ! v.32 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Je sais que dans le voisinage v.51 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- De certains mots nouveaux que sans cesse elle affecte. v.56 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Alexandre le Grand, l'exemple des Héros, v.57 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Est appelé par elle Alexandre le Gros. v.58 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Hier au soir elle-même, en parlant d'Allemagne ; v.59 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Quoi que dans le quartier chacun se moque d'elle, v.67 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Le vice du langage est une bagatelle ; v.68 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Et quant au choix des mots, il m'est indifférent, v.69 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Quel est le plus en vogue ou le Gros ou le Grand. v.70 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Je reviens dans une heure avec un acte en forme. v.72 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Dans quel piège ma femme elle-même se jette ! v.76 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR JOSSE)
- En termes naturels dans ce journal font mises. v.80 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR JOSSE)
- Qui vous fait présumer en moi tant de faiblesse ? v.87 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Je vous les garantis nobles ; c'est un grand point. v.89 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Vous les garantissez ? v.90 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Un banquier, un marchand, un bonhomme d'affaire, v.92 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Qui consumant leurs jours en des chimères vaines, v.95 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Ont plus de créanciers qu'un an n'a de semaines. v.96 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Cela sent le bourgeois du plus méchant « aloi ». v.101 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Pour peu qu'on ait de « Goût » au rang où je me vois, v.105 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Il n'est point de manant, pourvu qu'il ait de quoi, v.113 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Est-il charge ni rang qui puisse me cacher v.117 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Quand je leur parlerai ne vous mêlez de rien. v.122 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Au lieu qu'en m'expliquant de manière incertaine v.127 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Approchez-vous, Nannette ; et vous aussi, Babet. v.134 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- C'est moi qui vous demande. v.135 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Monsieur Coquerico, Marchand de Savonnettes > v.139 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Pour faire ses enfants nobles, en bonne forme, v.143 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Lui ferait-il l'affront de l'appeler Nannette ? v.148 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Vous me citez, vraiment, un plaisant animal ! v.149 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Quoi que le nom de père ait de beau, de touchant, v.157 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Depuis un an ou deux cela « pue » le marchand v.158 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Défend à ses enfants de l'appeler leur père. v.160 (Acte 1, scène 4, BABET)
- C'est une vérité qu'on peut vous garantir v.161 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Aux affaires d'autrui, pendant qu'on fait les siennes. v.164 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Mais je vous mande ici pour un autre entretien. v.165 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Fort bien : j'aime à vous voir dans ces sentiments là. v.169 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Vous aurez pour époux, dans huit jours au plus tard, v.173 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- L'un est un bon Marchand à grand'porte cochère, v.175 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Car aux gros magasins comme aux grands cabarets, v.177 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- L'autre est un homme d'ordre, un banquier d'importance, v.179 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Qui n'avait pour tout bien que mille écus d'avance ; v.180 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Et qui par son mérite est devenu puissant v.181 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Enfin, gens sans reproche, et d'une bonne race. v.183 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Craignez-vous de mourir dans la peine ? v.188 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Votre mère à votre âge avait franchi ce pas : v.189 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- J'en sais qui sous nos lois sont prêts à se ranger, v.201 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Fais comme une peinture et jolis à manger : v.202 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Au lieu que les « amants » dont vous faites l'ébauche, v.203 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Je ne vois qu'à vous seul « ces petites manières ». v.207 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Qui sans le fade appas de vingt bizarres mots, v.209 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Tant que dure le jour n'auraient rien à se dire ? v.211 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Il ne s'est jamais vu d'égalité plus grande : v.219 (Acte 1, scène 5, MADAME JOSSE)
- Âge, rang... v.220 (Acte 1, scène 5, MADAME JOSSE)
- Moi, banquière ! v.220 (Acte 1, scène 5, BABET)
- Moi, Marchande. v.220 (Acte 1, scène 5, NANNETTE)
- De quand êtes-vous de retour, v.222 (Acte 1, scène 6, MADAME JOSSE)
- À peine un « gros » Seigneur, que le rang autorise, v.227 (Acte 1, scène 6, MADAME JOSSE)
- Laissez mourir en paix un mot agonisant. v.230 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- C'est un titre abusif que tant de femmes ont, v.245 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- On traite également, tant on rend de justice, v.247 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Hé bien, mariez-vous mes deux charmantes nièces ? v.260 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Il nous vient ce matin à chacune un amant : v.262 (Acte 1, scène 6, NANNETTE)
- Mais bien faits ! Mais d'un « goût » ! Et du rang dont nous sommes. v.263 (Acte 1, scène 6, NANNETTE)
- Madame, on vous demande. v.264 (Acte 1, scène 7, CHAMPAGNE)
- Qui font à tout venant mettre pavillon bas, v.274 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Font autant de captifs que de cours qu'ils rencontrent. v.276 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Mais je change. v.278 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Mais à voir tant d'appas pour peu qu'il persévère, v.279 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DE L'ORME)
- Quel plaisir de ranger sous l'amoureux lien v.281 (Acte 1, scène 8, NANNETTE)
- Qui jamais avant elle, à l'âge où la voilà, v.285 (Acte 1, scène 8, MADAME JOSSE)
- Avec tant de justesse a placé ce mot-là ? v.286 (Acte 1, scène 8, MADAME JOSSE)
- Franchement, « Isolés » me prend l'âme. v.287 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Quand de l'architecture on saurait la manoeuvre, v.291 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Point du tout ; je l'honore autant qu'on le peut faire : v.299 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- Il n'est dans un état rien de plus nécessaire : v.300 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- À le rendre tranquille elle applique son soin ; v.301 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- Est-il un financier noble depuis un mois, v.305 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Et que de vieux barons pour le leur trouvent blanque v.307 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Quand le gibier s'envole, ou que leur fusil manque ? v.308 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Tant pis : il se fera lapider par les Dames. v.312 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DE L'ORME)
- Elle, qui dans la langue a le don d'exceller. v.317 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- Il est certains endroits où ce mot charme, enchante. v.319 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Quelle Académie est-ce ? Est-ce celle où l'on chante ? v.320 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Plaisante Académie, et dont on fait grand cas ! v.321 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- Est-ce celle, où l'on fait de si bons almanachs ? v.322 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- C'est-là que de la langue on décide les doutes : v.328 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- C'est vers la « bourgeoisie » un reste de penchant v.337 (Acte 1, scène 9, MADAME JOSSE)
- Que de souffrir ici la fille d'un marchand. v.338 (Acte 1, scène 9, MADAME JOSSE)
- Elle ne connaît pas, tant elle est animale, v.339 (Acte 1, scène 9, MADAME JOSSE)
- Combien entre elle et vous le rang met d'intervalle. v.340 (Acte 1, scène 9, MADAME JOSSE)
- Bonjour Nannette ; à la fin te voilà ! v.342 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Il faut selon les rangs de la distinction ; v.357 (Acte 1, scène 10, MADAME JOSSE)
- Mais sachant où je fuis, pour m'épargner l'affront v.361 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Eux qui vont à la gloire avec tant de vitesse ; v.367 (Acte 1, scène 10, NANNETTE)
- Que celle qu'on débite à la manufacture ! v.372 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- En vous encanaillant de cette guenon-là. v.374 (Acte 1, scène 10, MADAME JOSSE)
- Je m'en vais le changer, sans y perdre un moment. v.381 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Car rien n'est plus honteux, dans ces temps divisés, v.385 (Acte 1, scène 11, MADAME JOSSE)
- Quand ils ont à leur tête un « joli » général : v.397 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DU RUS)
- Et ce qui rend la France en tous lieux formidable v.399 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DU RUS)
- L'un pour temporiser et lasser l'Allemand ; v.405 (Acte 1, scène 11, MADAME JOSSE)
- L'autre pour foudroyer Espagnol et Flamand ; v.406 (Acte 1, scène 11, MADAME JOSSE)
- Que la France ait produit dans le siècle où nous sommes. v.408 (Acte 1, scène 11, MADAME JOSSE)
- Est-il dans l'Univers encore un Capitaine v.411 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- Il faut quand on en parle en parler à genoux ; v.418 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- « Jolis » ne convient point à de vaillants guerriers : v.422 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- Qu'en faveur d'un enfant, et d'un colifichet. v.426 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- Franchement, l'insolence allait un peu trop loin. v.438 (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DU RUS)
- Ces messieurs sont d'un rang... v.440 (Acte 1, scène 12, NANNETTE)
- Et de mettre le nez dans ce que nous disons. v.442 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Qui demande un avis aussi sot que le vôtre ? v.443 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Qui pour être boucher ayant trop peu d'esprit v.445 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Suffit d'être enrôlé dans la Gentilhommaille v.463 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Si le Roi les oblige à marcher dans un an, v.469 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Comme l'autre noblesse, à quelque arrière-ban ? v.470 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Nous prendrons notre temps pour revoir tant d'appas v.477 (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE L'ORME)
- Tant mieux : Qu'ils s'en aillent au Diable. v.480 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Vous saurez assez tôt ce que vous demandez. v.486 (Acte 1, scène 13, MONSIEUR JOSSE)
- Je veux auparavant, sans nulle incertitude, v.487 (Acte 1, scène 13, MONSIEUR JOSSE)
- Et ma femme au plaisir immolant le devoir, v.493 (Acte 1, scène 13, MONSIEUR JOSSE)
- Que j'en dirais autant si j'étais votre maître. v.504 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- J'avons été cinq ans à de vrais gentilshommes: v.508 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Et qu'ils me tapotiont tout leur diantre de faou ; v.510 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- C'est trop avoir d'égard pour son manque de foi ; v.517 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Dites-moi, sans mensonge, et sans être interdite, v.519 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Il s'agit maintenant d'en faire la lecture. v.524 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Vous allez, j'en suis sûr, être scandalisez. v.525 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- « Mémoire de la Défense que j'ai faite en galanteries ». (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- « Premièrement », vingt francs pour une « Culbute »... v.528 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Faire un si grand affront à la race des Brices ! v.535 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Huit cents francs ! v.539 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Qu'est-ce qu'en bon français « Tâtez-y » signifie ? v.540 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- C'est un extravagant, qui de Paris à Rome v.543 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Quand il sait qu'à sa femme il faut un « Boute-en-train ». v.546 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- « Plus » pour la « Jardinière », et pour des « Engageantes » v.547 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Donner à ses enfants des leçons là-dessus ! v.550 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Dis-moi, sans barguigner ce que c'est que cela ? v.553 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Et quelle manigance on débagoule-là. v.554 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Oui, palsandié, dégoise. v.555 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Quand on a bon renom cela vaut mieux que tout. v.557 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Et j'avons de l'honneur, malgré la médisance, v.563 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Plus qu'il ne nous en faut pour notre suffisance. v.564 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Ou qu'il soit dans trois jours bien et dûment pendu. v.574 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Crois-moi, de peur d'être étranglé, v.577 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Quand je suis échauffé, je sois pis qu'un Satan. v.581 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Et, sans reproche à Dieu, j'en eus d'assez bonne heure, v.584 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Quand je me dépétri de notre Magister : v.586 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Sans cet accident-là qui vint troubler la fête, v.591 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Je n'avons pas toujours mangé notre pain sec. v.593 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Jamais aucun fripon n'a manqué par le bec. v.594 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- A reçu trois cens francs. Toi pour des « papillons », v.597 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Quand on laisse tout faire on ne réserve rien. v.614 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Que ne l'ai-je étouffée en la mettant au monde ! v.616 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- « Plus », pour une « effrontée », et pour deux « gourgandines », v.620 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Des « gourgandines » ! Ciel ! Quelle Peste voilà ! v.622 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Il n'est pas sur la terre une plus méchante âme. v.623 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Le dangereux bétail qu'une pareille femme ! v.624 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- J'ai toujours vu Madame une bonne vivante. v.627 (Acte 1, scène 15, NICOLE)
- La preuve de son crime est assez convaincante. v.628 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Ce qui dans cet écrit vous paraît des injures, v.635 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Par certain air d'enfant qu'elle donne au visage v.639 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Ce manteau de ma soeur si bien épanoui, v.641 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Un beau noeud de brillants dont le sein est saisi, v.645 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Est une « Jardinière » : et ces manches galantes v.651 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Laissant voir de beaux bras ont le nom d'« engageantes ». v.652 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Ce sont les diamants du bout de nos poinçons ; v.654 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Qui remuant toujours, et jetant mille flammes, v.655 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Paraissent voltiger dans les cheveux des Dames. v.656 (Acte 1, scène 15, BABET)
- J'en porte un par hasard qui sans aucune glose, v.659 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Sentant la jeune folle, et la tête éventée, v.663 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Enfin, la « gourgandine » est un riche Corset, v.665 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Entrouvert par devant à l'aide d'un lacet : v.666 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- On a cru lui devoir le nom de « gourgandine ». v.668 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Comment prétendez-vous réparer ce scandale ? v.672 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- On ne peut de l'honneur se montrer trop friande ; v.683 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Vous l'accusez à tort de vous manquer de foi ! v.686 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Et dussai-je y manger jusques à ma chemise, v.688 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- « Tâtez-y », « Boute-en-train », « Culbute », « Engageantes »; v.691 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Tout cela pour le front sont des armes parlantes ; v.692 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Et je sens que le mien me démange toujours. v.693 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Franchement, ces mots-là sont un peu saugrenus. v.706 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- En un mot, ce jargon n'est point édifiant. v.709 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Monsieur le Commissaire, en vous remerciant : v.710 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- L'impudent lapidaire, et l'impure marchande, v.720 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- « Gourgandine » à bon prix ; « Culbute » nouvelle. v.723 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Oh palsandié nonfait, vous n'en êtes pas quitte. v.728 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- La femme de cheuz-nous n'est point une « Engageante ». v.731 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Que l'honneur n'est pas cher dans le temps où je sommes. v.736 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Pour des mots de travers faut-il bouder sans cesse ? v.740 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- En faisant le péché, j'en ai fait pénitence : v.744 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Tant de gens que je vois qui savent qu'ils le sont, v.746 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Et qui de ce malheur n'étant tristes ni mornes, v.747 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Vivent dans un plein calme à l'abri de leurs cornes ? v.748 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Et le risque est moins grand, pour tout dire en un mot, v.753 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Ce n'est point à la poule à tant lever la crête. v.767 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Demandez-lui plutôt si je mens. v.769 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Parmi bien du méchant elle a cela de bon, v.770 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Portez des diamants, des dentelles, de l'or, v.781 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Sans attirer sur moi de si cruels affronts. v.790 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Si vous y renoncez, j'en fais autant que vous. v.794 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Comme en chemin faisant vous trouvez quelquefois v.801 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
LA COMÉDIE SANS TITRE (1694)
- Redis-le moi sans cesse, et ne t'en lasse pas. v.4 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- De me rien annoncer qui me soit plus sensible : v.6 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Son père encor galant la tenant par la main, v.11 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Sa langue s'est contrainte, et je n'ai rien su d'elle ; v.13 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Quand de ce que l'on aime on a l'âme occupée, v.17 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Pour vous les refuser je suis trop complaisant ; v.28 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Cécile avoir sa vue en te jetant cela. v.32 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Avec autant d'esprit que j'en trouve à Cécile, v.33 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Un objet si charmant ne fait rien d'inutile ; v.34 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Je ne me trompe point, il est creux ; oui, sans doute : v.37 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Le ciel en la formant épuisa ses trésors : v.43 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Voyez, sans perdre temps, comment sa pièce s'ouvre. v.46 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Il en use sans doute en parent généreux. v.52 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Déjà depuis trois jours, sans avoir son talent, v.55 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Je passe pour l'auteur du Mercure Galant ; v.56 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- J'arrivai hier au soir à Paris avec mon père, qui est plus entêté que jamais de l'auteur du Mercure Galant. (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Si vous avez fait ce que je vous ai mandé par ma dernière Lettre, nos affaires font dans le meilleur état du monde. (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Tant que dure le jour j'ai la plume à la main : v.63 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- C'est de voir tant de gens dire tant de sottises ; v.78 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Qui puisse avec tant d'art démêler ce qui plaît. v.80 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- L'autre dans la Musique ayant quelque science, v.85 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Croit de celle du Roi mériter l'intendance. v.86 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Celui-ci d'une énigme ayant trouvé le mot, v.87 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Se croit un grand génie, et souvent n'est qu'un sot ; v.88 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Cet autre d'un Sonnet ayant donné les rimes, v.89 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Croit tenir un haut rang chez les esprits sublimes. v.90 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Qui n'ayant pas trouvé ses profits assez grands, v.95 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- A fait un petit vol de deux cens mille francs. v.96 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Un pli qui par hasard est reste dans ses draps, v.103 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Et même elle refuse, étant fort enrhumée, v.109 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Vous trouvez donc, Monsieur, que j'ai l'air grand ? v.122 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Sans doute. v.122 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Pourriez-vous, en payant, me faire des aïeux ? v.124 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Écoutez, je parle avec franchise. v.125 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Et je viens vous trouver pour anoblir ma race. v.133 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- À moins d'avoir un titre et solide et confiant, v.135 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Bon ! tous les jours vous en faites autant. v.136 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Tout vous devient possible étant ce que vous êtes. v.137 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Ne me refusez pas ce que je vous demande : v.141 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- De toutes les rigueurs ce serait la plus grande ; v.142 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Mais dans tous mes écrits jamais aucun appas, v.147 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Ne m'a fait anoblir ce qui ne l'était pas. v.148 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- N'entre-voyez-vous point dans toute votre race, v.149 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Ma foi, mon Père est mort sans m'en avoir parlé : v.152 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Je n'en ai point connu par delà mon grand Père. v.154 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Feu mon grand Père était Mousquetaire à genoux. v.156 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- En langage commun appelle Apothicaire. v.158 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Quand on m'a voulu faire ai-je été consulté ? v.160 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Sans savoir ce qu'il fait le hasard nous fait naître, v.161 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Et ne demande point ce que nous voulons être. v.162 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Mon Père fut d'un cran plus noble que le sien : v.163 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- N'eut que moi seul d'enfants ; et passant mon attente, v.165 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Comme Paris est grand j'ai changé de quartier ; v.167 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Et personne à présent ne sait plus ma naissance. v.170 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Ajoutez une branche à quelque arbre pourri, v.180 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- De tant de grands Seigneurs dont le mérite brille, v.189 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Et cinquante ans après on ne sait d'où l'on sort. v.196 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- J'ai certain Diamant de quatre-vingt pistoles... v.198 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Parbleu ! tant pis pour vous d'être si formaliste. v.201 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Quand certaine bourgeoise à qui la mode est douce, v.221 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Le cramoisi régnant j'en fis faire un manteau : v.228 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Voilà la vérité comme elle est dans sa source, v.229 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Quand vous voudrez écrire ajuster mieux vos contes ; v.233 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Quand je fis cet article, il le faut avouer. v.235 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Je ne présumais pas en contant cette fable, v.237 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- De trouver un manteau dans un rideau de lit ; v.240 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Jamais dans ses desseins on n'a mieux réussi : v.243 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- C'est un avantage... v.245 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Qui me nomme en raillant la housse cramoisie ; v.250 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Et par tout mon quartier la canaille le plaint, v.251 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Qu'on en ait un manteau, sans ornements dessus, v.255 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Pour peu que l'on soit blanche ou le paraît bien plus : v.256 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- C'est un fard innocent, sans pommade ni drogue ; v.257 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Et voilà la raison qui l'a tant mis en vogue. v.258 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Il m'est venu sans affectation. v.263 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- C'est assez. Vous verrez dans le premier Mercure, v.269 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Si louer sans flatter vous paraît impossible, v.278 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Le fripon craint d'aller dans la rue. v.289 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Vous aurez le fouet en entrant au logis, v.292 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Sans vous on aurait cru que j'avais un carrosse. v.294 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- La louange à propos rend toute chose aisée. v.298 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Passons quelques moments sans être importuné. v.300 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Qui diable est l'animal qui heurte de la sorte ? v.301 (Acte 2, scène 1, MERLIN)
- Ouvre sans hésiter, et l'une et l'autre porte. v.302 (Acte 2, scène 1, ORONTE)
- Je voudrais qu'en heurtant il se rompît les bras. v.303 (Acte 2, scène 1, MERLIN)
- Comment te portes-tu, ma pauvre enfant ? v.307 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- Tu reviendras des champs sans me baiser ? v.309 (Acte 2, scène 2, MERLIN)
- Cécile est revenue en parfaite santé ? v.312 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- Monsieur de Boisluisant qui brûle de vous voir, v.315 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Le fils d'un Duc et Pair ne lui plairait pas tant. v.320 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Il va dans un moment vous l'amener ici. v.323 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Cécile de frayeur en a le coeur transi. v.324 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Et de Monsieur son père ayant loué le choix, v.327 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Pour oser se dédire elle eût manqué de voix. v.328 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Trop petit pour un homme, et trop grand pour un nain, v.332 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- À vous trouver chez vous n'ayant pas réussi, v.335 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Avant qu'à vous y voir elle-même s'exposé, v.337 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Tant mieux. v.344 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Je sais bien qu'à Paris vous n'en pouviez manquer : v.348 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- En payant largement, sans autre inquiétude, v.349 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Mais du gendre qu'on cherche ayant le même nom. v.351 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Cette grande perruque, et ce linge et ce point, v.355 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Rapporte tous les ans plus de dix mille livres. v.362 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- Comme je vous ai dit, n'a pas l'esprit tranquille : v.366 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Ayant incognito chargé votre valet, v.368 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Tu peux lui demander si je mens. v.377 (Acte 2, scène 2, MERLIN)
- Non sans doute : v.377 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- Dans le coeur inquiet de ma jeune maîtresse ; v.381 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Gardez qu'il ne paraisse en la voyant paraître : v.386 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Monsieur de Boisluisant, le beau-père futur. v.387 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Que par toute la France on chérit le Mercure. v.406 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Avant que je me nomme, v.409 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Dans les divers états où l'on m'a voulu mettre. v.422 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Dès mes plus jeunes ans, dans mes plus bas emplois, v.423 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Cette inclination augmentant avec l'âge, v.425 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Dans des pelles meilleurs je prenais davantage ; v.426 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- En datant mes délits ne les remplissaient pas. v.428 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Si bien que tout d'un coup l'occurrence étant belle. v.429 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- De deux cens mille francs j'ai fraudé la Gabelle : v.430 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- De donner dans le monde un bon tour à cela. v.432 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Quand, on a comme vous, une plume si bonne... v.433 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Après un vol si grand... v.435 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Tant pour vous que pour moi mettez-vous dans la tête. v.437 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- L'action qui le cause en fait bien davantage. v.442 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Quel grand mal ai-je fait pour tant faire de bruit ? v.444 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Quel grand mal ? Trouvez-vous qu'il soit petit ? v.445 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Sans doute. v.445 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Ce n'est au pis aller faire que Banqueroute. v.446 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Mais combien en voit-on, banqueroutiers parfaits, v.451 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- On lui prête sans peine un million, et plus : v.456 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Chacun ouvrant sa bourse à sa moindre requête, v.457 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Et quand ses créanciers redemandent leur bien, v.459 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- L'emprunteur infidèle abandonnant le sien, v.460 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- À la face des Lois fait un vol manifeste ; v.461 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Trois carrosses roulants rajustent bien des choses. v.466 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Vous verrez que j'en use en bien plus galant homme. v.470 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Pour Messieurs les Fermiers, qui font des gains si grands, v.471 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Qu'est-ce de bonne foi que deux cens mille francs ? v.472 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Et de vider ma Caisse ayant fait un serment, v.475 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Vous marchiez librement, sans peur d'être arrêté ; v.483 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Mais on souffre encor plus quand on se laisse pendre ; v.490 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Des deux cens mille francs je rendrai la moitié. v.492 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Ce sont cent mille francs que je perds ; mais qu'y faire ? v.493 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- J'aime quand je le puis, à conclure une affaire. v.494 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Les Fermiers Généraux voyant ma bonne foi, v.495 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- C'est ce qu'avec grand art, comme par bonté pure, v.497 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Il faut insinuer dans le premier Mercure. v.498 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Monsieur, en m'offrant cette somme, v.501 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Comme il vient sans travail peut se perdre sans peine : v.522 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Mais un bien étranger que le plus grand bonheur v.523 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Quand tout est essuyé me parler de tout rendre, v.529 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Mon abord sans doute vous surprend. v.539 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- De vos admirateurs vous voyez le plus grand. v.540 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Avant que de mourir je bornais mon espoir, v.543 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Quel mérite plus grand s'est jamais rencontré ? v.548 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Avant que vous fussiez, quelles rapides plumes v.549 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Enfantaient tous les ans jusqu'à seize volumes ? v.550 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- En qui tant de beauté, tant de sagesse brille ? v.554 (Acte 2, scène 6, ORONTE)
- L'honneur de saluer un objet si charmant. v.556 (Acte 2, scène 6, ORONTE)
- Et du langage humain les termes impuissants, v.559 (Acte 2, scène 6, ORONTE)
- Ne peuvent exprimer les transports que je sens. v.560 (Acte 2, scène 6, ORONTE)
- Adieu. Tantôt nous reviendrons. v.571 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Un avis d'importance, v.578 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Mais d'une utilité si grande, si féconde, v.581 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Qu'on vous en saura gré jusques dans l'autre monde. v.582 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Honorable aux vivants, et plus encore aux morts. v.584 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- À l'égard des vivants, dont l'orgueil est si vaste, v.617 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Qu'en escortant la mort ils demandent du faste, v.618 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Et si l'année est bonne et fertile en trépas, v.623 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- La grâce que j'espère, et qui m'est importante, v.625 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- C'est un peu de secours d'une plume savante : v.626 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Pour être dans le monde illustre à juste titre, v.629 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Il faut dans le Mercure occuper un chapitre. v.630 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Il vaudrait mieux, Monsieur, dans le premier Mercure, v.633 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Retrancher quelque fable, ou bien quelque aventure ; v.634 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Et dans un long article avertir les défunts, v.635 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Qu'on revit dans les miens mieux que dans une Histoire ; v.638 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Depuis plus de vingt ans Imprimeur et Libraire, v.645 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Le Public est lésé quand on vous importune. v.649 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Si Monsieur vous est joint de sang ou d'alliance, v.653 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Il peut hâter l'effet de ma reconnaissance. v.654 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Mourez quand vous voudrez, et comptez là-dessus. v.663 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Dans mon appartement nous serons en repos. v.668 (Acte 2, scène 8, ORONTE)
- Secrétaire banal je m'en vais essayer, v.679 (Acte 2, scène 8, MERLIN)
- Oui, Monsieur ; c'est sans fard qu'avec vous je m'explique. v.681 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- J'ai sans doute abusé de votre complaisance. v.690 (Acte 3, scène 1, ORONTE)
- Je vous ai là dedans ouvert mon âme entière. v.694 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Vous savez le penchant qui m'entraîne vers vous ; v.695 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Pendant que votre aveu peut être rétracté, v.699 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Dites-moi franchement si votre coeur chancelé. v.701 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Il est dans un état à ne pouvoir plus croître. v.706 (Acte 3, scène 1, ORONTE)
- Pendant une heure ou deux que je vais par la Ville. v.710 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- J'aime mieux la laisser à vos soins obligeants, v.711 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Quand j'aurai fait mon tour, je viendra la reprendre. v.714 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Adieu. Si vous m'aimez traitez-moi sans façon. v.715 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Monsieur de Boisluisant est-il dehors ? v.716 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Il est sorti, Madame. Avancez. v.717 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Je puis dans le transport dont je suis animé, v.719 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- M'expliquer sans contrainte aux yeux qui m'ont charmé. v.720 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- Oui ; j'en fais l'aveu sans honte. v.722 (Acte 3, scène 2, CÉCILE)
- Si j'ai quelque chagrin dans cet heureux instant, v.723 (Acte 3, scène 2, C?CILE)
- C'est d'abuser mon père, et de lui devoir tant. v.724 (Acte 3, scène 2, C?CILE)
- C'est lui qui dans ce lieu vient de vous amener ; v.731 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Et vous taupez à tout en fille obéissante. v.734 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Je vous aime autant que je le puis. v.740 (Acte 3, scène 2, CÉCILE)
- Vous n'en pouvez douter sans me faire un outrage ; v.741 (Acte 3, scène 2, C?CILE)
- Et comment serait-on pour aimer davantage ? v.742 (Acte 3, scène 2, C?CILE)
- Elle a grand air. v.754 (Acte 3, scène 2, CÉCILE)
- C'est vous, ma charmante cousine v.754 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- À quand la Noce ? v.755 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- À quand ? Tout est rompu. v.755 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Peut-on se marier quand on n'a plus d'amant ? v.756 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Parlez-moi sans énigme ; êtes-vous mariée ? v.757 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- J'aurai le même zèle ayant le même nom : v.764 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Elle entre comme moi dans tous vos intérêts. v.767 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- D'être dans son espèce un animal unique. v.774 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- On lui promit ma foi sans, que j'en susse rien. v.776 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Seul mon bourru d'amant fut à la promenade : v.782 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Mais quand il en revint je le trouvai rêveur. v.784 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Qu'il avoir cinquante ans ; et qu'avec un vieillard, v.787 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Le lendemain matin, sans garder de mesure, v.789 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Voilà ce que je sais, sans en savoir la cause. v.793 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Perdre un pareil amant, c'est perdre peu de chose. v.794 (Acte 3, scène 3, CÉCILE)
- Belle, bien faite, jeune, et sans aucun défaut, v.795 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
- Un homme à cinquante ans n'est pas ce qu'il vous faut. v.796 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
- Qu'en feriez-vous ? À vingt la ressource est plus grande. v.797 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
- Puisqu'il rompt sans sujet je n'en suis pas d'avis. v.799 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Que j'aurais des enfants qui m'en sauraient bon gré : v.816 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Croyez-vous que son sang soit indigne de vous ? v.827 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- A-t-elle quelque amant dont vous soyez jaloux ? v.828 (Acte 3, scène 4, CÉCILE)
- Vous a-t-on déguisé sa naissance et ses biens ? v.832 (Acte 3, scène 4, CÉCILE)
- Il plaît à mon destin que je vous plante-là. v.836 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Et ne me forcez pas d'en dire davantage. v.838 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- En m'en faisant un don vous en fîtes mon bien. v.847 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- Sans doute. v.849 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Ses manières, son air, sa pudeur naturelle. v.857 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- C'est je crois dire assez qu'elle n'en manque pas. v.860 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Des dangers de l'hymen je garantis sa tête : v.862 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Écoutez quatre mots, sans aucune incartade, v.865 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Ayant beaucoup marché sans dessein et sans choix, v.872 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Où l'amour dans vos bras remplirait tous mes voeux. v.876 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Et de leur insolence ayant pris quelque ombrage, v.881 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Étant persuadé qu'à moins d'un prompt trépas, v.883 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Quand par méchanceté, pour confirmer l'augure, v.886 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- J'entre dans la forêt, et je cherche le drôle, v.890 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Mais zeste ! Le coquin de branchage en branchage, v.893 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Et quatre coups en l'air, loin de l'épouvanter, v.895 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Lui servirent d'appas pour le faire chanter. v.896 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Lorsque dans mon chemin, et presque sous mes pas, v.899 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Qui semblait m'annoncer que c'était pour ma tête, v.902 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Vous en aurez, menti, malheureux animaux, v.903 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Sans vouloir regarder ni devant ni derrière, v.906 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Et moins par son penchant que pour remplir mon sort, v.919 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Je me verrai cocu, sans qu'elle ait aucun tort. v.920 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Qu'on lui rendra justice en le faisant cocu, v.928 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Vous n'auriez pas l'esprit de lui manquer de foi. v.931 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Que me demandez-vous ? Parlez en honnête homme. v.934 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- À vous. Pourquoi tant de grimaces ? v.937 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Me les ayant donnés, ils ne sont plus à vous. v.939 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- Tous les dons qu'en m'aimant vous pouvez m'avoir faits, v.943 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- Ce refus obligeant que fait Mademoiselle, v.945 (Acte 3, scène 4, CÉCILE)
- Quand je fis ce présent elle m'était acquise. v.949 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Demandez-lui plutôt si jamais... v.951 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Quand je serai cocu, qu'il sera bien plus gras ! v.956 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Licidas à l'instant va décider du reste : v.962 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Combien devant nos yeux en voyons-nous paraître, v.969 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Tant ils sont assurés de trouver au logis, v.971 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Quel amant pour une belle amante ! v.973 (Acte 3, scène 5, CÉCILE)
- Je n'en voudrons point, moi, qui ne suis que servante ; v.974 (Acte 3, scène 5, LISETTE)
- Nous sommes mieux unis que vous et votre amant. v.980 (Acte 3, scène 5, ORONTE)
- Passez dans l'autre chambre, où bientôt je vous sui. v.983 (Acte 3, scène 5, ORONTE)
- Avez-vous sur les bras quelque méchante affaire ? v.989 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- J'écoute : mais surtout, point de longue harangue. v.997 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Force gens à Paris enseignent quelque langue. v.998 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et sans autre secours ils subsistent enfin. v.1000 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et cherchant un emploi que l'on ne pût m'ôter, v.1003 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Je pris dans un Faubourg une maison fort grande, v.1005 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et mis un écriteau pour la Langue Normande ; v.1006 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- M'offrant de l'enseigner avec affection v.1007 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Avec les tons, l'accent, dans sa perfection. v.1008 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Pendant le premier mois il ne me vint personne. v.1009 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Le second mois, sans doute, alla bien ? v.1012 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Pour me manifester, tant aux pauvres qu'aux riches, v.1013 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- je voyais en passant force monde attaché. v.1016 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- J'en conçus de la joie, et la chose étant sue, v.1017 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- En songeant quelquefois à mon malheur extrême, v.1022 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et c'est par conséquent une grande sottise, v.1026 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- D'ignorer le Normand et de savoir si bien v.1027 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- L'extravagant Jargon qu'on nomme Italien, v.1028 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Qu'à la fin mon dessein aurait un grand succès. v.1032 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Pendant quatorze mois a toujours été vaine ; v.1034 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et quoique cette Langue ait de particulier, v.1035 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Rien n'est plus vrai pourtant, ou je me donne au Diable. v.1038 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Pas un seul n'a paru pendant quatorze mois : v.1039 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Tant il est vrai qu'en France on fait peu de bons choix ! v.1040 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Réprimander la Noblesse de France, v.1042 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Qui parle Italien, Espagnol, Allemand, v.1043 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et qui ne peut parler le langage Normand : v.1044 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Qui sait parfaitement deux ou trois langues mortes. v.1045 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Qui sans avoir dessein d'aller jamais fort loin, v.1047 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Des pays étrangers apprend le baragouin ; v.1048 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Vous voyez cependant quelle comparaison ? v.1051 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Quand on veut se tirer d'un fâcheux embarras, v.1055 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Quarante quelquefois sont d'un pareil métier ; v.1060 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Ce qu'un seul gagnerait se partage à quarante : v.1062 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Publiez mes talents dans le premier Mercure, v.1065 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Bienfaisant comme il est par inclination, v.1067 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Me louer devant moi, c'est me rendre confus : v.1072 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Je suis déconcerté d'une louange en face ; v.1073 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- C'est la grâce qu'espère et que vous recommande v.1077 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Du Mesnil, Professeur de la langue Normande. v.1078 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Son teint, son air, sa taille, en un mot tout m'enchante ; v.1089 (Acte 4, scène 1, CLAIRE)
- Et de la tête aux pieds, elle est toute charmante. v.1090 (Acte 4, scène 1, CLAIRE)
- Et ce serait bannir tout commerce entre nous. v.1096 (Acte 4, scène 1, CLAIRE)
- Monsieur, je suis votre servante. v.1098 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- En lisant ces endroits j'eus un plaisir extrême. v.1105 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Pour en faire un article au Mercure Galant. v.1108 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- C'est de votre mérite une assez grande preuve. v.1114 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- Il verra si pour lui mes feux étaient constants. v.1119 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Après s'être occupés à verser tant de larmes ? v.1126 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- J'avouerai cependant, moi qui suis souvent veuve, v.1130 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Fendant qu'il se mourait, fidèle à mon devoir, v.1135 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- J'apprenais à pleurer devant un grand miroir. v.1136 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Pour pleurer un Mari d'une manière honnête, v.1137 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Éviter les hauts cris que la canaille jette ; v.1141 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Regarder son malheur avec tranquillité. v.1143 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Je viendrai vous l'apprendre, et n'y manquerai pas. v.1155 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Mais pendant qu'en ce lieu je me trouve tranquille, v.1157 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- Sans doute. v.1161 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- On découvre d'abord un mérite si grand... v.1163 (Acte 4, scène 3, ORONTE)
- Nous savons bien, Monsieur, que vous êtes galant. v.1164 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Que d'éloges charmants cousus les uns aux autres ! v.1166 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Vos manières, votre air... v.1169 (Acte 4, scène 3, ORONTE)
- La louange affectée est une raillerie. v.1170 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Mais un des plus charmants que l'on vous ait vu faire, v.1177 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- C'en est un où j'ai vu le grand art de se taire : v.1178 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Et nous faisons un voeu qui sans doute tiendra, v.1183 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- S'il n'était des rubans, des jupes, des dentelles, v.1189 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Tant que dure le jour de quoi parleraient-elles ? v.1190 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Est-ce un si grand effort qu'être femme et se taire, v.1193 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- (Car ma soeur franchement, nous pourrions avouer, v.1195 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Et dans ce grand dessein je vous suis d'assez près, v.1203 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Ma soeur ; mais sur cela ne me demandez rien. v.1215 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Je donnerais pour vous tout mon sang, tout mon bien. v.1216 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Je vous appris cet art. Sans moi vous l'ignoriez. v.1223 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Mais comment en parlant montrer qu'on sait se taire ? v.1230 (Acte 4, scène 3, ORONTE)
- La qualité d'aînée est ici sans pouvoir. v.1236 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Une aînée en tous lieux parle avant sa cadette. v.1238 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Apprenez que sur vous j'ai ce double avantage : v.1242 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- À votre pétulance offre un faible secours v.1248 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Et cependant, ma soeur, quoique vous la soyez, v.1251 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Je sais dans quel respect la cadette doit être. v.1253 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Qu'en voulant faire voir que vous savez vous taire, v.1257 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Vous ? Me faire l'affront de parler avant moi ! v.1263 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Je vous interromprai, sans que rien me retienne. v.1266 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- J'ai pour les grands parleurs conçu tant de dédain. v.1280 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- De captiver ma langue et d'être distinguée. v.1281 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Tout franc, je ne vois goutte en toutes vos manières. v.1285 (Acte 4, scène 3, ORONTE)
- C'est pour un grand génie avoir peu de lumières. v.1286 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Vous ne deviez pas craindre en me donnant le prix. v.1288 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Jamais extravagance alla-t-elle à ce point ? v.1294 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Pendant quelques moments occupe ici ma place, v.1300 (Acte 4, scène 5, ORONTE)
- J'entre sans dire gare, et cherche à m'informer v.1305 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Un bon vivant ; allègre : v.1307 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Qui n'est grand ni petit, noir ni blanc, gras ni maigre. v.1308 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- C'est un vrai Juif errant, qui jamais ne repose. v.1311 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Tant pis. Je voulais lui parler. v.1314 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Je voudrais bien être dans le Mercure : v.1319 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Tout à l'heure, en buvant, j'ai fait réflexion v.1321 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Mordié je ne saurais avoir ma subsistance. v.1328 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Et brave sur la mer autant que sur la terre. v.1332 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- J'étais sur un vaisseau quand Ruyter fut tué ; v.1333 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Du canon qui lui fit rendre l'âme par force. v.1336 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Lui mort, les Hollandais souffrirent bien des mals ! v.1337 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Les Vice-Amiraux donc ne pouvant plus nous mordre, v.1340 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Les Hollandais réduits à du biscuit de seigle, v.1344 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Ayant connu qu'en nombre ils étaient inégals, v.1345 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Franchement. v.1353 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- J'enrage de bon coeur quand je trouve un trigaud, v.1361 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- J'ai des démangeaisons de te casser la gueule. v.1372 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Oui, palsandié moi : je n'aime point du tout v.1373 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Pour vous faire dépit tant à toi qu'à ton Maître, v.1379 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- C'était argent comptant ; j'en avais leur parole. v.1383 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Un soldat, dont j'ai su les exploits éclatants ; v.1389 (Acte 5, scène 1, MERLIN)
- Je ne puis en juger que suivant vos bontés v.1393 (Acte 5, scène 1, ORONTE)
- J'ai l'esprit éclairci touchant votre famille : v.1396 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- On m'a dit de quel sang vous avez, reçu l'être : v.1399 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Si douze mille francs d'un revenu certain, v.1401 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Avez-vous du penchant à l'aimer ? v.1408 (Acte 5, scène 3, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Quand on vous marierait que vous me marieriez ; v.1414 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Pendant que je serai Lisette toute pure. v.1416 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Tant qu'on demeure fille on n'est point en repos ; v.1421 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Et quoiqu'on soit suivante on est de chair et d'os. v.1422 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Un tronc semble maudit s'il n'en sort quelque branche. v.1423 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Pour leur tendre la main dans un pas si glissant, v.1429 (Acte 5, scène 3, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Que les plus grands emplois n'ont jamais fatigué. v.1434 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Du Mercure Galant adorateur fidèle, v.1435 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- S'il a ce grand débit dont chacun s'aperçoit, v.1441 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Que dans tout Phaéton, quelque bruit qu'on en fasse, v.1447 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Je vous demande à tous une équitable oreille. v.1459 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Tant que l'hiver a duré v.1461 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Elle doit changer de note ; v.1466 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- D'avoir dans l'univers peu d'égaux en Musique. v.1472 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Qu'il semble qu'on ait fait, sans préceptes frivoles, v.1475 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Avant le temps des frimas v.1481 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Dans une grotte champêtre, v.1482 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- De ses plus charmants appas v.1483 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- La ramener dans la grotte ; v.1486 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Il faut le faire entrer dans le premier Mercure, v.1492 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Mon Air aura pour lui des appas éclatants. v.1497 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Monsieur, ménageons ces instants. v.1498 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Nous chanterions ici sur de meilleures notes v.1499 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Quand ils vont d'un défunt mendier l'Inventaire. v.1504 (Acte 5, scène 5, MERLIN)
- Qui de tant d'opprimés embrassent la défense, v.1511 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Ne sont pas à couvert contre la médisance, v.1512 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Depuis que dans le monde Arlequin Procureur, v.1513 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Pour un Corps si célèbre a donné tant d'horreur. v.1514 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- D'en instruire Paris dans le première Mercure. v.1520 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- De tout le Parlement c'est le plus grand Arabe. v.1524 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Monsieur, votre très humble et très obéissant. v.1526 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Je me nomme Sangsue, v.1528 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Voici le fait. En l'an six cens quatre-vingt deux, v.1533 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Vous en demander Acte en un coin du Mercure, v.1540 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- En s'attaquant à nous, quel opprobre eût-ce été ? v.1541 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Maître Sangsue, ou bien... v.1546 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Quoi ! Maître Brigandeau, v.1546 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Sans doute. v.1547 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Et moi y-devant Monsieur, qui tous deux nous écoute, v.1548 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Entrons dans le détail de la friponnerie. v.1552 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Est pour le Demandeur et pour le Défendeur : v.1554 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Sont pour les appelants et pour les Intimés, v.1558 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- À se manger les os pour les ronger eux-mêmes ? v.1560 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Et quand dans cette Pièce on voit un Procureur, v.1561 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Et quand un Scélérat, qui l'est avec excès, v.1565 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Moyennant pension éternise un procès, v.1566 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Ce n'est qu'au Parlement où sont ces grandes causes. v.1568 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Je vais devant Monsieur dire ce que j'en croi : v.1577 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Ce que tu fais bâtir au Faubourg saint Antoine, v.1579 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- A-ce été tes aïeux qui les ont là plantées ? v.1583 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Du sang de tes Clients elles sont cimentées. v.1584 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Et quand tu seras mort ces honteux édifices, v.1587 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Pensa dans un cachot te faire mettre au frais. v.1590 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Et ton papier volant tel que tu le délivres, v.1592 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Étant vu de Messieurs, trois des plus apparents, v.1593 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Réduisirent le tout à trente-quatre francs : v.1594 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Encore dirent-ils que dans cette occurrence, v.1595 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Tu pris quinze cens francs, dont on a tes quittances, v.1599 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- D'un méchant Procureur du Chatelet moderne. v.1608 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Qu'elle fera du bruit dans plus d'une ruelle. v.1624 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- L'Énigme qui jadis causa tant de vacarme ; v.1628 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Fit verser tant de sang ; ouvrit tant de tombeaux ; v.1629 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- De faire des enfants à Madame sa Mère : v.1632 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Cette Énigme, en un mot, qui fit tant de fracas, v.1633 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Vous en allez juger : mais je veux par avance v.1635 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Que vous me promettiez d'être sans complaisance. v.1636 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Quand on m'ôte la liberté, v.1641 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Soit manque de lumière, ou de bonne fortune, v.1647 (Acte 5, scène 8, CÉCILE)
- Sur ce point je demande quartier, v.1649 (Acte 5, scène 8, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Faisons-en, vous et moi, l'anatomie entière, v.1660 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Jamais dans son sujet homme est-il mieux entré ? v.1666 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Il semble que ce Vent ait de la connaissance, v.1667 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Et qu'il n'ose avouer son nom ni sa naissance. v.1668 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Il n'est rien plus galant que votre énigme. v.1671 (Acte 5, scène 8, ORONTE)
- Quand on m'ôte la liberté, v.1673 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Jamais dans une Énigme a-t-on rien vu de tel ? v.1677 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Qu'est-il de plus coulant et de plus naturel ? v.1678 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Loin que ce que je dis blesse la vraisemblance, v.1679 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Et quelqu'un en ce lieu, qui ne s'en vante pas, v.1681 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Et je suis étonné, quand je songe à cela, v.1685 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Et de mes Vers nombreux prévoyant l'harmonie. v.1691 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Ornez-la d'un prélude, et vantez, ses appas. v.1694 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Qu'elle fasse du bruit dans le premier Mercure. v.1704 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
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LE PORTRAIT DU PEINTRE (1663)
- Qu'elle a bien du regret de vous tant faire attendre ; v.2 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- La charmante Clitie est toujours elle-même, v.6 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Toujours l'âme sensible, et le coeur obligeant, v.7 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Il ne sort de sa bouche aucun mot affligeant. v.8 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Plût au Ciel qu'en revanche une fille si belle v.9 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Je me sens dans un âge à ne plus guère attendre, v.13 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Et s'il était d'humeur à languir sous ma loi v.15 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Quand ma cousine aussi daigne ouïr ma harangue v.17 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- À lui parler de vous je prépare ma langue ; v.18 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Qu'on oblige une fille en louant ce qu'elle aime, v.22 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Et que lorsqu'un amant s'est rangé sous nos lois, v.23 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Qui nous vante sa grâce applaudit notre choix.) v.24 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- J'ai cent fois d'Amarante affermi la tendresse, v.25 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Quand d'un coeur une fois l'amour s'est rendu maître, v.29 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Et quand d'une maîtresse on souhaite la main, v.31 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- De ma chère Amarante un semblable peut-être... v.33 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Amarante vous aime, et j'ai su le connaître, v.34 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Et touchant ce repas j'ai quelque ordre à donner : v.40 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Sur le soir Amarante aura plus de loisir... v.43 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Ma charmante cousine en serait si surprise... v.45 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Que de boire et manger comme les autres font. v.56 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Quand on la contrefait elle croit qu'on l'imite, v.61 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Amarante vous aime, et cela c'est assez. v.68 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Oh quelqu'un, fait-il jour chez la belle Amarante ? v.70 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Et depuis quand, mon cher, es-tu donc à Paris ? v.72 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- On habille Amarante, et je viens de savoir v.75 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Que dans quelques moments j'aurai l'heur de la voir, v.76 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Têtebleu ! Des collets de dentelle de Flandre ! v.81 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Tu n'entrerais jamais dans la Salle des Gardes v.85 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Que tu n'entreras point sans un point de Venise. v.89 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Mais le bon de cela, Baron, quand je m'ajuste v.93 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Quand la mode commence elle est vieille pour moi. v.96 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Il me serait beau voir les dentelles de Flandres ! v.97 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Mais dis-moi dans Paris n'a-t-on pas la franchise ? v.101 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- C'est un faible avantage à ces gens du bel air v.103 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Quand d'un sang assez bon nous avons l'heur de naître v.105 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- On te jouera, te dis-je, Hé demande pourquoi v.112 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Plus ils sont ressemblants, moins ils les reconnaissent ; v.122 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Mais se voit-on jouer sans que l'on se corrige ? v.126 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Si tu veux dès tantôt nous irons voir sa pièce, v.130 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Moi qui hais ta manière, et qui suis équitable, v.137 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Je ris quand j'ai de rire un sujet raisonnable, v.138 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Mais rit-on de l'endroit quand on rit d'y voir rire ? v.146 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Et voit-on en lisant les grimaces qu'on fait ? v.148 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Mais je n'y puis trouver ces plaisantes postures, v.150 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Verra-t-on en lisant, fût-on grand philosophe, v.153 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Viens-y tantôt, mon fils, tu verras si j'impose. v.157 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- On habille Amarante, et tu peux en deux mots... v.159 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Chacun sait qu'à Damis Amarante est promise. v.162 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Notre ami le Baron est tombé dans vos pièges, v.166 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
- La Marquise d'Oriane a des appas si doux... v.171 (Acte 1, scène 3, CLITIE)
- À propos d'Oriane, elle dîne chez vous, v.172 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
- J'y dîne aussi, ma chère, et je suis de la bande, v.173 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
- Sans façon. v.174 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
- Madame, on vous demande. v.174 (Acte 1, scène 4, PETIT-JEAN)
- Dis que c'est Oriane. v.179 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Servante à ma toute adorable. v.181 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Elle n'aperçoit pas ta dentelle de Flandres, v.194 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Comment, faire l'amour sans un point de Venise ! v.202 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Pour être en galant homme il faut donc de ce point. v.203 (Acte 1, scène 4, DAMIS)
- S'il te voit sur mon âme il te mettra dedans. v.208 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Rien n'échappe à sa plume, et dedans sa critique v.209 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Il n'est point de gros dos que sa langue ne pique : v.210 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- À jouer tout le monde il a tant de penchant... v.211 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Que vous êtes méchant v.212 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Hier dans une visite il se trouva des Dames v.217 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Dans un chagrin mortel ce caprice me plonge. v.225 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Voyez, comme les maux viennent sans qu'on y songe. v.226 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Dans mon âme j'enrage. v.227 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Ce « Le » c'est une chose horriblement touchante ; v.230 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Quand je vis que l'actrice y faisait une pose v.233 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Et le ruban, ma foi je ne l'attendais pas. v.235 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- J'en dirais mon avis en pouvant m'en défendre, v.237 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Ce « Le » toute la nuit m'a tenu dans la tête v.242 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Ma chère ; aussi ce « Le » charme tous les galants. v.243 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- En effet, j'en vois peu qui ne donnent dedans, v.244 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Sa galante façon s'insinue en mon âme. v.257 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Je croyais, palsembleu, mériter ta croyance v.269 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Quand une chose a si peu d'apparence... v.270 (Acte 1, scène 4, DAMIS)
- Un monsieur est là-bas qui demande à vous voir, v.280 (Acte 1, scène 5, PETIT-JEAN)
- Qui Dorante ? v.283 (Acte 1, scène 5, AMARANTE)
- Dieu me damne il est beau comme un ange. v.289 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Chevalier, mon_Dieu, point de louange, v.290 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Fait assez de plaisir quand il ne médit point. v.292 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Que de la médisance, et de riches rabats. v.300 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Tu te peux informer si Dorante s'en tire. v.310 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Pour un des Courtisans qui critiquent le mieux : v.312 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Avec le médisant le meilleur du Royaume : v.314 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Le compère vous drape, et vous mord en riant, v.315 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- C'est de nos courtisans le démon foudroyant, v.316 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Et qui dans une Loge où chacun les voyait v.323 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- On ne peut l'attaquer sans en être marri ; v.327 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Et oui, oui. Dans la Clef de L'École des Femmes v.334 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Mais là, sans vous trahir, la trouvez-vous passable ? v.349 (Acte 1, scène 7, AMARANTE)
- Je puis, sans l'avoir vue en dire autant que toi ; v.351 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- Quand on loue une Pièce il faut dire pourquoi, v.352 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- Mais de tant de raisons j'en dirais une, ou deux. v.356 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- Point, Monsieur Lisidor est un homme sans fard. v.368 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Jamais scène plaisante eût-elle tant d'appâts v.383 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Quand pour ouvrir la porte il appelle Georgette ? v.386 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Dans ce que dit Arnolphe à la fille niaise ? v.390 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Si durant son absence elle s'est bien portée ; v.393 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- D'aucun trait plus galant se peut-on souvenir ? v.399 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Le Grès, n'est-il pas étonnant ? v.403 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Voit-on rien de si preste, et de si surprenant ? v.404 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Et pour la lettre seule où l'on voit tant d'amour v.407 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Cependant dans une heure une innocente extrême v.409 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Quoi qu'Arnolphe l'éclaire avec un oeil perçant ; v.411 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Mais Dorante il pouvait s'affranchir... v.415 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Ma foi, tu ne fais que blanchir. v.416 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Et cet endroit charmant qu'on a tant admiré v.419 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Cependant par un jeu dont l'éclat doit surprendre v.425 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- L'autre répond sans peine à ce qu'il n'entend pas. v.428 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Vous m'allez alléguer que touchant cet Enrique v.437 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Et que durant la Pièce en aucun des endrets v.439 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Que dans ce qu'on attend il n'est rien qui surprenne ; v.442 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Au contraire on croit beau ce qu'on trouve étonnant ; v.443 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Et ce qu'on n'attend pas est toujours surprenant. v.444 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Pour moi quand je l'ouis mon plaisir fut extrême. v.449 (Acte 1, scène 6, ORIANE)
- Je soutiens, sans l'aimer, quoi que l'envie oppose v.461 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Nommez-vous Tragédie une pièce plaisante ? v.466 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- C'est cela qu'on appelle un mélange d'appas. v.471 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Quand la scène est sanglante une pièce est tragique. v.474 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Sans doute. v.475 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Sans contredit. v.475 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Dans celle que je dis, « Le petit Chat est mort ». v.476 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Quoi ? Le trépas d'un chat ensanglante la scène ? v.478 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Dans une tragédie un Prince meurt, un Roi. v.479 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Quand un matou trépasse, ou quelque autre personne. v.482 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Son langage est profond. v.483 (Acte 1, scène 6, ORIANE)
- Je ne le puis de vrai tant que tu parleras, v.487 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Ma foi, si tant que tu voudras. v.488 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Quand un homme en burlesque a su faire un sermon, v.492 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Il me semble pourtant qu'on n'est pas malhabile ; v.493 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- À ce que veut le peuple il se rend complaisant ; v.495 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Et le force de rire en le catéchisant. v.496 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Je serais bien fâché de t'ouïr davantage, v.514 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Mais Dorante sait bien qu'on ne peut mettre en doute. v.517 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Je crois que dans son genre elle aurait ses appâts. v.523 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Moi ? Diantre, v.530 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Mais où la jouerait-on quand Boursault l'aurait faite ? v.538 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Toute la Normandie a-t-elle assez de pommes v.545 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Je le donne à l'épreuve au plus grand Satirique, v.553 (Acte 1, scène 8, AMARANTE)
- Quand après du comique ils auront un repas. v.556 (Acte 1, scène 8, AMARANTE)
LES DEUX FRÈRES GÉMEAUX (1665)
- D'une fille en aimant le mal-heur est extrême v.5 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- Et que l'Objet charmant qui la comble d'ennui v.7 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- A donné de l'amour sans en prendre pour lui. v.8 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- Courage ; quand la chose est si bien préparée, v.13 (Acte 1, scène 1, JACINTE)
- En ne lui disant rien, que ne dirai-je pas ? v.16 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- Quand on voit ce qui plaît quoi qu'une âme projette v.17 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- Les yeux ont une voix si la langue est muette, v.18 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- Je vous le disais bien j'aperçois ce Nicandre, v.22 (Acte 1, scène 1, JACINTE)
- Il avance. v.23 (Acte 1, scène 1, JACINTE)
- Ma maîtresse, Monsieur, parle sans dire mot. v.28 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Dites-moi, sans frayeur ce que c'est qui vous touche, v.29 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Nicandre, éloignez ce valet. v.32 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- Dans une heure au plus tard tu viendras me reprendre. v.33 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Et votre honneur, Monsieur, il est fort en danger, v.35 (Acte 1, scène 3, RAGOTIN)
- Quand on n'en a plus guère il le faut ménager. v.36 (Acte 1, scène 3, RAGOTIN)
- Nicandre, et mes yeux, et ma voix... v.40 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- Quand on est inquiète, et qu'on est une fille... v.42 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- Le mérite sublime a pour moi tant d'appas... v.43 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- Parlez sans façonner, et vous faites comprendre v.46 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Quand on est en son âge, et qu'on rêve toujours... v.52 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- À quoi tant de façons ? Ma maîtresse vous aime. v.58 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Je vous aime ; ce mot est sans doute blâmable ; v.61 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- Le manoeuvre ? v.85 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Depuis plus de six ans je voyage, il voyage, v.94 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Mais en nous séparant nous jurâmes tous deux v.95 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Quand il parle de frère il vous fiche la colle ; v.110 (Acte 1, scène 4, JACINTE)
- Je vous le garantis franc donneur de canards. v.111 (Acte 1, scène 4, JACINTE)
- Si je le crois ? Vraiment ; ce matois, ce Nicandre... v.113 (Acte 1, scène 4, JACINTE)
- Nicandre ! Le serait-ce ? Essayons de l'apprendre. v.114 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Ce Nicandre, Madame, à mon coeur est bien cher, v.115 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Il déplaît, c'est tant pis, et s'il plaît, c'est tant mieux. v.119 (Acte 1, scène 5, JACINTE)
- Ce n'est pas sans raison que je suis curieux ; v.120 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- L'infidèle Nicandre.... v.133 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Dans Lyon à ses yeux je parus assez belle, v.134 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Je lui plus, il me plut, et dans un même jour v.135 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Il me voit, me demande, et m'obtient de mon père, v.137 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Cependant du depuis j'ai compté huit semaines, v.146 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Que je trouve Nicandre, et je perds mon amant. v.148 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Demander son logis serait perdre ma peine, v.153 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Vous devez au Seigneur une belle chandelle, v.158 (Acte 1, scène 6, JACINTE)
- Madame, il a pour vous une grande amitié ; v.159 (Acte 1, scène 6, JACINTE)
- Et si pour votre époux vous aviez eu Nicandre v.162 (Acte 1, scène 6, JACINTE)
- Mon honneur eut pu faire un méchant pas de Clerc. v.164 (Acte 1, scène 6, JACINTE)
- Elle cherche Nicandre, et j'en ai du souci ; v.167 (Acte 1, scène 6, HIPOLITE)
- Que Nicandre l'adore, ou Nicandre l'abuse, v.169 (Acte 1, scène 6, HIPOLITE)
- Madame, il revient dans ce lieu. v.171 (Acte 1, scène 6, JACINTE)
- Madame, êtes-vous Ange ? Ou bien êtes-vous Diable ? v.174 (Acte 1, scène 7, ROBIN)
- Quoi, sans vous dire mot vous savez nos secrets ? v.175 (Acte 1, scène 7, ROBIN)
- Parbleu, pas tant bigote, elle change de ton. v.188 (Acte 1, scène 7, ROBIN)
- Il demande huit jours, et demeure deux mois. v.192 (Acte 1, scène 7, ROBIN)
- Nicandre. v.198 (Acte 1, scène 7, HIPOLITE)
- Dites-moi qui des deux est suivante ou maîtresse ; v.218 (Acte 1, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Madame, écoutez, en revanche... v.221 (Acte 1, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Voyez-vous cette main au fin bout de ma manche ? v.222 (Acte 1, scène 8, JACINTE)
- Ou dessus cette joue un puissant cataplasme... v.225 (Acte 1, scène 8, JACINTE)
- Je ne la vis jamais en aucune manière. v.229 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- D'hier au soir seulement j'arrivai dans Paris. v.232 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Quoi, tu penses qu'Ismène ait si peu de constance... v.245 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- En laissant à Lyon cette belle lionne, v.249 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Ou je me donne au Diable, et dans une semaine v.254 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Mon Fanfan ; de mon frère, ou la vie ou la mort v.255 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Tandis qu'en galopant et par vaux et par monts v.259 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Nous passons vous et moi pour de francs vagabonds. v.260 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Je m'en meurs. Cependant va dedans mon logis, v.263 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Attendant qu'il revienne allons voir Clidimace, v.274 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Comme dans cette ville il a bien du crédit v.275 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Mon enfant, je ne t'ai jamais vu, v.284 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Peu courtois courtisan en chassant ton valet v.311 (Acte 1, scène 11, RAGOTIN)
- Qu'au fin fond des Enfers le grand diable te plonge. v.313 (Acte 1, scène 11, RAGOTIN)
- Mais j'enrage de faim, à propos, quand j'y songe, v.314 (Acte 1, scène 11, RAGOTIN)
- Pour branler la mâchoire, et nous faire laquais v.315 (Acte 1, scène 11, RAGOTIN)
- La charmante Hipolite a pour moi de l'estime, v.317 (Acte 2, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Et je n'ose répondre au beau feu qui l'anime ! v.318 (Acte 2, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- C'est lui-même, le traître. À quoi rêve Nicandre ? v.321 (Acte 2, scène 2, ISMÈNE)
- Vous savez que l'on change. v.329 (Acte 2, scène 2, ISMÈNE)
- Mais c'est beaucoup changer qu'être méconnaissable ; v.330 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Un langage si haut me rend tout interdit... v.339 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Ta honteuse inconstance a trahi ma vertu : v.344 (Acte 2, scène 2, ISMÈNE)
- Dites-moi qui des deux est suivante ou maîtresse ? v.366 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Adieu, passe-volant. v.373 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Au malheureux Nicandre apprenez une chose, v.374 (Acte 2, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Oui, sans doute, je crois. v.376 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Je crois si vous osez dans sa chambre paraître v.377 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Vos discours outrageants, votre langue qui joue... v.381 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Ma langue est imprudente, et je la désavoue ; v.382 (Acte 2, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Qui dit courtisan dit toujours fort en gueule ; v.398 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Cependant sans façon je retourne au logis : v.400 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Mais il peut la quitter, il ne faut qu'un instant... v.403 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Dans une petite heure ayez soin de vous rendre... v.406 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Depuis plus de six ans je me suis défendu... v.411 (Acte 2, scène 5, LE PREMIER NICANDRE)
- Dans la peur que j'avais d'être pris au collet v.416 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- J'ai joué de finesse, et l'ai mis dans ma poche v.417 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Sais-tu, mon ami, qu'on me nomme Nicandre, v.426 (Acte 2, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Et que l'on me déplaît quand on fait le badin ? v.427 (Acte 2, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Je t'ai dit, mon ami, qu'on m'appelle Nicandre v.434 (Acte 2, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Tout comme il me suffit de celui de Nicandre. v.438 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Je me garantis tel. v.443 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Et souffrir sans souffler qu'il me donne un soufflet, v.455 (Acte 2, scène 7, ROBIN)
- Ce bon frère frappart est sans doute Nicandre v.458 (Acte 2, scène 7, ROBIN)
- Ah Robin ! Un ami généreux, bien faisant, v.467 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Dont la langue est dorée, et dont l'âme est de boue ; v.469 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Mais un ami sincère, obligeant... v.470 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Dans sa propre maison il me donne un logis, v.472 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Et sans avoir besoin d'être si retenu... v.487 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Ah démantibuleur je l'ai trop reconnu. v.488 (Acte 2, scène 8, ROBIN)
- D'un soufflet plantureux, et des mieux assenés, v.492 (Acte 2, scène 8, ROBIN)
- D'un soufflet qu'une main bien plus noire que blanche v.493 (Acte 2, scène 8, ROBIN)
- Depuis plus de six mois mitonnait dans sa manche, v.494 (Acte 2, scène 8, ROBIN)
- D'un soufflet qui par terre quasi a répandu... v.495 (Acte 2, scène 8, ROBIN)
- Avancez. v.501 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Mais j'ai tant de vos feux appuyé le parti, v.503 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- J'ai tant dit que mes soins vous avaient pressenti, v.504 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Tant de fois répété que toujours pour Ismène v.505 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Je l'ai su de Jacinte, Ismène est pourtant belle. v.509 (Acte 2, scène 9, HIPOLITE)
- Elle est toute charmante, et je n'adore qu'elle, v.510 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- En parlant de ma flamme v.513 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Le méchant homme ! v.517 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Quand vous êtes venu pour lui rendre visite... v.518 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- À ton rapport sans doute il n'a pas consenti. v.523 (Acte 2, scène 9, HIPOLITE)
- J'ai dit vrai, je vous jure, et Nicandre a menti, v.524 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Quand vous m'avez parlé j'étais seul ! Réponds. v.528 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Dans le Monde. v.530 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Dans la France, à Paris, que je crois. v.531 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Ils s'entendent, Madame, un indice trop grand... v.535 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Si je lui déchargeais un bon moule de gant, v.536 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Faut-il tant de façons ? J'en enrage d'envie, v.549 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Je sors aussi, mais avant que je sorte v.565 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Je souhaite à ton ventre une canine faim, v.571 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Je souhaite à ton sein des tétons qui brandillent ; v.574 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Sans perdre une parole v.581 (Acte 2, scène 10, JACINTE)
- Déduits ta malencontre en manière succincte. v.593 (Acte 2, scène 11, ISIDORE)
- Il est venu... Monsieur, demandez à Jacinte. v.594 (Acte 2, scène 11, HIPOLITE)
- Il est venu... Monsieur, demandez à Madame. v.598 (Acte 2, scène 11, JACINTE)
- Dieux des savants, l'une et l'autre soupire ! v.601 (Acte 2, scène 11, ISIDORE)
- Enfin de mon mal-heur vous avez connaissance, v.605 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
- Car enfin, à la haine il a beau m'animer, v.611 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- En m'ôtant son amour, il retient ma tendresse ; v.613 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Jusques dans son logis on le peut aller prendre, v.618 (Acte 3, scène 1, LE COMMISAIRE)
- Ah ! De grâce, à Nicandre épargnons ces affronts, v.620 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
- Je m'en dis offensé, sans lui dire autre chose ; v.625 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Je lui mande qu'au Cours il en saura la cause ; v.626 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Et sur votre parole il aura l'assurance... v.629 (Acte 3, scène 1, LE COMMISAIRE)
- Il a tant de courage et si peu de prudence, v.630 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
- Qu'à sa seule valeur osant trop se fier v.631 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Dans le Cours de la Reine il sera le premier. v.632 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Et sous un faux-semblant de vouloir nous défendre, v.634 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Nous ayant désarmés par votre autorité, v.635 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Et d'un coeur amoureux prévenant le dessein... v.639 (Acte 3, scène 1, LE COMMISAIRE)
- Et tandis qu'au Courrier mon valet va remettre... v.650 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
- N'ai-je pas dans Paris cinq ou six Répondants v.656 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Et je conte cela mon plus bel avantage. v.661 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Il est grand, mais écoute, as-tu bien du courage ? v.662 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- Dites-moi donc sans donner de bricole v.677 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Mais point tant de façon, v.679 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- Tu liras le dessus, il s'adresse à Nicandre. v.682 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- À Nicandre ? v.683 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- À Nicandre, il demeure ici près ; v.683 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- S'il demande le nom de celui qui t'envoie, v.685 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- Je vais dans mon logis, rue aux Ours, au Dauphin, v.687 (Acte 3, scène 2, ISM?NE)
- Cela fait dans ce lieu tu viendras me reprendre, v.689 (Acte 3, scène 2, ISM?NE)
- Je vais porter un cartel à Nicandre ! v.690 (Acte 3, scène 3, RAGOTIN)
- Ah Nicandre, ma foi tu seras Nicandré ! v.692 (Acte 3, scène 3, RAGOTIN)
- Tu t'en vas étrenner mon épée. Il avance, v.693 (Acte 3, scène 3, RAGOTIN)
- Puis après au Seigneur recommandez votre âme. v.709 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Tantôt vous aurez de l'infâme ; v.710 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Sans que je me nomme, v.713 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Nicandre vous saurez que je suis Gentilhomme, v.714 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Si vous vouliez m'attendre un moment dans ce lieu ? v.727 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Mettez là votre main. Sans adieu, v.728 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Quoi Jacinte me laisse, et dans cet embarras... v.735 (Acte 3, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Méchant comme la grêle, insolent suborneur, v.740 (Acte 3, scène 6, JACINTE)
- Ou je m'abuse, ou je vois le Nicandre, v.750 (Acte 3, scène 7, EUTROPE)
- Une voix transcendante a percé mon ouïe. v.758 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- D'une fille de bien, de famille assez grande v.761 (Acte 3, scène 8, JACINTE)
- Ayant pris tout l'honneur, il faut qu'il me le rende v.762 (Acte 3, scène 8, JACINTE)
- C'est Nicandre. v.767 (Acte 3, scène 8, JACINTE)
- Toi qui dans le vrai centre où l'on prend les plaisirs, v.771 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Un saut patibulaire est le prix que j'annexe v.773 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Et par un sort tragique âprement avancé v.775 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Prenez l'occasion qu'un bon Ange vous offre, v.777 (Acte 3, scène 8, JACINTE)
- Tandis qu'il est ici permettez qu'on le coffre, v.778 (Acte 3, scène 8, JACINTE)
- Une fille effleurée est un grand vitupère. v.785 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Je ne vous ai point vu depuis dix ans passez, v.788 (Acte 3, scène 8, EUTROPE)
- Cependant de vos traits elle est toute remplie ; v.790 (Acte 3, scène 8, EUTROPE)
- Eutrope ! Ah parangon des fidèles amis ! v.792 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Mais ma joie Isidore est pourtant imparfaite, v.798 (Acte 3, scène 8, EUTROPE)
- Si le triste Nicandre est haï d'Hipolite ; v.802 (Acte 3, scène 8, LE PREMIER NICANDRE)
- Quoi le père d'Ismene est dedans cette ville ! v.809 (Acte 3, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Ho, Nicandre ! Il fait gille, et je suis retenu ; v.815 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Dans la prison prochaine il le faut colloquer, v.820 (Acte 3, scène 10, ISIDORE)
- Et que touchant son maître une réminiscence... v.821 (Acte 3, scène 10, ISIDORE)
- Si le Diable l'emporte, en puis-je être garant v.824 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Et ne pas se méprendre en faisant choix des choses : v.830 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Si dedans un cachot je me voyais caché v.831 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- À condamner Robin différez tant soit peu v.840 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Mais que voici des gens de méchante façon ; v.844 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Messieurs, de la Justice ayant l'heur d'être membre... v.846 (Acte 3, scène 11, LE SERGENT)
- Et Nicandre... Le traître où s'est-il retiré ? v.851 (Acte 3, scène 11, JACINTE)
- Que dedans une Chartres après on le descende ; v.854 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Et son procès en suite étant fait, et parfait v.855 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Qu'il serve d'holocauste à mon sang putrefait. v.856 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Votre sang, dites-vous ? C'est le mien qu'on outrage. v.857 (Acte 3, scène 11, EUTROPE)
- Cependant que d'honneur tout le monde me charge, v.865 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- On te voit du grand monde imiter la méthode, v.869 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Vrais suppôts de Satan, effroyable couvée... v.877 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Il me va mener pendre, il n'est rien si constant ; v.879 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Membre qui démembrez ne me tirez pas tant. v.880 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Vous, qui du Maître-Membre accroissez la puissance, v.882 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- D'un méchant ravisseur c'est l'infâme complice, v.886 (Acte 3, scène 11, EUTROPE)
- Si pour prendre le mien dans ce lieu l'on m'a pris v.891 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Vous le tenez in manibus vestris, v.892 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Dans un sombre manoir vous devez le profondre, v.894 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Puis quand dans la prison vous l'aurez intégré, v.895 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- L'hôtel de Nicandre vous sera démontré. v.896 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Mais au traître Robin daignez joindre Nicandre. v.905 (Acte 3, scène 11, EUTROPE)
- Mon malheureux paquet dans la Maison du Roi. v.912 (Acte 3, scène 12, ROBIN)
- Pour être plus contraint n'en est pas moins puissant. v.920 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Ah que ce faible est beau quand on brûle pour vous ! v.924 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Pourtant quelques respects dont je sois combattu v.927 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Vous avez tant d'appas, je mérite si peu, v.931 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- En voyant mes défauts m'aimerez-vous encore ? v.934 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Consultez-vous, Madame, et sans précipiter... v.935 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Avoue ingénument que tu ne peux sans peine v.937 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Pour aimer Hipolite abandonner Ismène ; v.938 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- L'obligeante imposture a rempli tous mes voeux. v.948 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Ah mon bon Dieu ! Pourtant je ne vois point de monde. v.970 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Il me lorgne. Ah c'est vous, ô Messire Nicandre, v.973 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Et je suis en amour grand abatteur de quilles. v.986 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Tudieu, Monsieur, la méchante vermine ! v.990 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Moi n'ayant point d'honneur que je pusse leur rendre v.994 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Et par tant de côtés m'ont fait coure si vite v.997 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Qu'à la fin, grâce aux Dieux ils m'ont mis dans le gîte. v.998 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Voyant ton innocence on t'a donc renvoyé ? v.1000 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Moi trouvant sur un banc cette chère bouteille v.1006 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- D'une joie effrontée étouffant mon chagrin v.1007 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- J'ai céans des amis que je veux faire boire. v.1009 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Puis plus vite qu'un Basque enfilant la venelle v.1013 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Passant d'une ruelle en une autre ruelle, v.1014 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- J'ai tant fait qu'à la fin j'ai trouvé le moyen... v.1015 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- On m'attend de ce pas dans le Cours de la Reine, v.1021 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Je reviens dans une heure, attend-moi dans ce lieu. v.1023 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Il n'a pas dit le mot concernant sa valise, v.1026 (Acte 4, scène 3, ROBIN)
- Elle est pourtant restée, et puissai-je mourir v.1027 (Acte 4, scène 3, ROBIN)
- (Ou du moins s'il n'est vrai, fille soi-disant telle ; v.1030 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Et si plus en raillant tu me nommes pucelle v.1045 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Et si tu sens de l'être une démangeaison... v.1051 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Eutrope en me voyant m'aurait fait de la peine, v.1053 (Acte 4, scène 4, LE SECOND NICANDRE)
- Et si tantôt son père avait eu la puissance... v.1065 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Ta langue un peu trop s'émancipe. v.1069 (Acte 4, scène 4, LE SECOND NICANDRE)
- En aurez-vous assez pour deux filles friandes ? v.1074 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Ayant pris votre honneur elles prendront le mien. v.1076 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Ce qu'il avait dans l'âme il l'a su mettre au jour. v.1088 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Mon_Dieu, je ne cours pas grand risque, v.1097 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Et dessus ton visage appliquant tous mes doigts v.1099 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- C'est cela qu'il faut faire, et j'attends de Nicandre... v.1105 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Vous avez, Nicandre, une faible mémoire, v.1114 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- N'attendez plus pourtant de si libres propos, v.1115 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Vit-on jamais Jacinte un si volage amant ? v.1127 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Pourquoi vous fiez vous à ce chien de Normand v.1128 (Acte 4, scène 6, JACINTE)
- Dans ce même logis tu n'as donc pu me voir ? v.1140 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Toi qui mens avec tant d'assurance ? v.1141 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Toi qui d'un galant homme as la seule apparence. v.1142 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Toi qu'un sang assez bon semble avoir élevé, v.1143 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Et qui n'est cependant qu'un perfide achevé. v.1144 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Je t'ai de ce logis aplani la sortie. v.1145 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Je me retire. Adieu trop charmante Hipolite, v.1149 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Ce n'est pas sans regret que Nicandre vous quitte : v.1150 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Je me retire, et pourtant, ô friponne, v.1153 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Ce n'est pas sans regret que Robin t'abandonne ; v.1154 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Car quand dés ce matin je t'ai vue en ce lieu... v.1155 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Si jamais tu m'aimas, cours après ce Nicandre, v.1157 (Acte 4, scène 7, HIPOLITE)
- Cours vite, et ne parle point tant ; v.1160 (Acte 4, scène 7, HIPOLITE)
- Il vous aime Nicandre, et me fait un affront v.1163 (Acte 4, scène 8, ISMÈNE)
- Non sans votre soupçon que je crusse en avoir ; v.1171 (Acte 4, scène 8, HIPOLITE)
- Qui charme sans appas n'a pas manque d'esprit. v.1176 (Acte 4, scène 8, HIPOLITE)
- Je le crois. Savez-vous le destin de Nicandre ? v.1177 (Acte 4, scène 8, ISMÈNE)
- Écoutez ma Suivante, elle vient droit ici. v.1179 (Acte 4, scène 8, HIPOLITE)
- Il est enseveli dans le grand Châtelet. v.1183 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- Je l'ai vu dans la Morgue, où je crois qu'il enrage. v.1185 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- Pour apprendre à chanter on l'a mis dans la cage. v.1186 (Acte 4, scène 9, JACINTE)
- Mais plaignez son malheur, soupirez sans rien craindre. v.1193 (Acte 4, scène 9, HIPOLITE)
- Arrogant. v.1198 (Acte 4, scène 9, JACINTE)
- Ne raisonne pas tant, je t'en prie. v.1199 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- Si dans ma fureur je me jette sur toi v.1200 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- La cause est que Nicandre est dans une prison : v.1208 (Acte 4, scène 10, JACINTE)
- Découvrant qui je suis tu prétends me punir, v.1211 (Acte 4, scène 10, ISMÈNE)
- Je partis de Lyon sans vous en rien apprendre, v.1221 (Acte 4, scène 10, ISMENE)
- Pour venger mon injure, et pour perdre Nicandre ; v.1222 (Acte 4, scène 10, ISMENE)
- J'ai trouvé que Madame en a fait son amant ; v.1223 (Acte 4, scène 10, ISMENE)
- Mais sa lâche inconstance aura son châtiment, v.1224 (Acte 4, scène 10, ISMENE)
- Vous savez ce que m'a fait Nicandre. v.1225 (Acte 4, scène 10, HIPOLITE)
- Si jamais la tendresse ébranla votre coeur, v.1231 (Acte 4, scène 10, ISMÈNE)
- Puis que quoi que Nicandre ait commis contre vous, v.1235 (Acte 4, scène 10, EUTROPE)
- Demain dans la prison vous reverrez Nicandre. v.1242 (Acte 4, scène 10, HIPOLITE)
- Vous le verrez aussi sans qu'il puisse être à vous. v.1244 (Acte 4, scène 10, ISMÈNE)
- Et tu l'es par dedans. v.1248 (Acte 4, scène 10, RAGOTIN)
- On n'a dans la prison point de chambre agréable ; v.1254 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- Mais l'endroit où je couche est pourtant assez beau. v.1255 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- C'est dans la Chambre-neuve. v.1256 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- Et moi dans le Berceau : v.1256 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Sont sans cesse traînés par Messieurs les piquarts. v.1260 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Et tous mes compagnons, les filous de céans, v.1263 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Car ils sont si bénins que de peur de rancune v.1265 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Tes habits sont mangés ? v.1267 (Acte 5, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- S'ils m'avaient pu manger ils l'auraient fait aussi : v.1268 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Ils ont tout avalé sans rien mettre à l'écart ? v.1271 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- Nenni pas tout à fait, j'en ai mangé ma part. v.1272 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Mais ce qui me contente ils ont l'âme assez franche, v.1273 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Outre qu'ils m'ont promis que j'aurais ma revanche, v.1274 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Et par le petit trou quand on ferre la mule. v.1278 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Écoute, en cas qu'on me demande v.1285 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- Qu'à cause qu'à présent il me voit dans le gain. v.1292 (Acte 5, scène 2, ROBIN)
- Mettez-vite, Monsieur, de l'argent dans la boîte. v.1294 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Je t'ai vu dans Lyon souvent suivre Nicandre. v.1302 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- À remettre vos traits j'ai pourtant de la peine ; v.1305 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- J'ai peur dans la prison qu'il n'amasse du rhume. v.1309 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Et du traître Nicandre apprends-moi le dessein. v.1312 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- Croyant à son départ qu'il m'adorait dans l'âme v.1321 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- Non, ne m'attendez pas, je l'appelle. Nicandre ! v.1330 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Hé bien, Nicandre ? v.1337 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
- Et sans perdre un moment en propos superflus, v.1347 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Depuis quand donc ne l'adorez-vous plus v.1348 (Acte 5, scène 4, ROBIN)
- Que vous aimez tant. v.1351 (Acte 5, scène 4, ROBIN)
- Elle qui dans Lyon arrêta votre course... v.1353 (Acte 5, scène 4, ROBIN)
- Dans son propre valet je rencontre un témoin, v.1356 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
- C'est donc quand il vous plaît que vous êtes mon maître ? v.1365 (Acte 5, scène 4, ROBIN)
- Et qui donc te servait quand tu vins à Lyon ? v.1368 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
- On m'a vu dans Lyon faire assez de séjour, v.1371 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Ah méchant ! v.1373 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
- Moi méchant ! C'est me faire injustice. v.1373 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Il appelle cela des chansons v.1375 (Acte 5, scène 4, ROBIN)
- Dédaignant les défauts, honorant le mérite, v.1385 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Pardonne ingrat ma visite obligeante. v.1389 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
- Au reste agonisant d'un amitié mourante, v.1390 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Qui pour ton intérêt augmentant de moitié v.1391 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Dans assez peu de temps nous serons en ce lieu. v.1395 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Et pour l'un et pour l'autre agissant tour à tour v.1407 (Acte 5, scène 5, LE PREMIER NICANDRE)
- En approuvant ma haine applaudi mon amour. v.1408 (Acte 5, scène 5, LE PREMIER NICANDRE)
- Ou du moins connaissant que tu m'aimes si peu v.1427 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Et puisque assurément dans ce lieu tu viens pour, v.1431 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Elle vient de sortir qui déteste Nicandre, v.1437 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Quand on parle d'Ismene on le choque, on l'irrite, v.1441 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- On le touche on le charme en parlant d'Hipolite, v.1442 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Voyons dans la geôle, Hipolite y doit être, v.1445 (Acte 5, scène 7, JACINTE)
- Et puisqu'enfin Nicandre à l'aimer se résout v.1447 (Acte 5, scène 7, JACINTE)
- Nicandre est amoureux, comme vous amoureuse ; v.1450 (Acte 5, scène 8, JACINTE)
- Hipolite elle-même, avancez, mal ému. v.1463 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Qu'il a changé de note au moment qu'il a vue. v.1465 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- L'âme émue ! Entends-tu ? Sans amour l'aurait-on ? v.1467 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Si d'un coeur qui vous aime on vous fait une offrande... v.1469 (Acte 5, scène 9, HIPOLITE)
- Je veux dans une fille une vertu plus grande ; v.1470 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Et quand d'autres que vous ne me charmeraient pas v.1471 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Je ne suis dans ce lieu que par votre moyen, v.1487 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Que les menteurs sont les enfants du Diable, v.1490 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Méchante. v.1501 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Au plus tard dans trois jours je serais Maître ès Arts. v.1508 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Il est savant. v.1509 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Dans vos mains je pourrais voir la foudre v.1510 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Et la peur de périr ne m'ébranlerait pas. v.1512 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Oui je le sais Madame, et je vais à l'instant... v.1516 (Acte 5, scène 9, JACINTE)
- Nicandre... v.1519 (Acte 5, scène 10, ISIDORE)
- De l'ingrat le mépris est trop grand, v.1519 (Acte 5, scène 10, HIPOLITE)
- Vous, Madame ? Ô grands Dieux qu'est-ceci ! v.1539 (Acte 5, scène 11, LE SECOND NICANDRE)
- J'aurai tort si ce lieu loge plus d'un Nicandre. v.1546 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- Mais voyons. Ho Nicandre ! J'ai tort v.1547 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- Comme il répond. Nicandre ! Est-ce pas assez fort ? v.1548 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- Ho Nicandre ! Écoutez caterreuse cervelle, v.1549 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- C'est moi qui dans l'espoir de me voir vôtre époux... v.1559 (Acte 5, scène 12, LE PREMIER NICANDRE)
- Mais lorsqu'on vous a pris dans le Cours de la Reine... v.1562 (Acte 5, scène 12, ISMÈNE)
- Lui Madame ? C'est moi qu'on a pris dans ce lieu. v.1563 (Acte 5, scène 12, LE PREMIER NICANDRE)
- Sans nous embarrasser d'aucune autre raison v.1567 (Acte 5, scène 12, ROBIN)
- Demandez à mon père. v.1572 (Acte 5, scène 12, ISMÈNE)
- Et demandez au mien. v.1572 (Acte 5, scène 12, HIPOLITE)
- Et si touchant sa fille Isidore m'en croit v.1575 (Acte 5, scène 12, EUTROPE)
- Envers l'autre Nicandre il fera ce qu'il doit. v.1576 (Acte 5, scène 12, EUTROPE)
- Que Nicandre la Sponde, et foi de Philosophe, v.1577 (Acte 5, scène 12, ISIDORE)
- Ex abundantia cordis os loquitur. v.1580 (Acte 5, scène 12, ISIDORE)
- Et vous avant votre sortie v.1589 (Acte 5, scène 12, ROBIN)
- Allez dans une chambre y conter votre vie, v.1590 (Acte 5, scène 12, ROBIN)
LE JALOUX ENDORMI (1662)
- Si de me posséder vous aviez l'avantage ; v.4 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Ayant eu le bonheur de m'avoir rencontré ! v.6 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Si l'on vous eut laissée au pouvoir de Cléandre, v.8 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Quand je songe au malheur où je suis condamnée, v.11 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Puisqu'il m'a fait tomber dans les mains d'un jaloux, v.14 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Ah friande ! v.16 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et que sachant les tours dont les femmes sont dignes, v.19 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- On nous prendrait bientôt dans le Ciel pour des Signes, v.20 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Que sans en murmurer il faut suivre ma loi, v.25 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et que quand je vous pris ce ne fut que pour moi. v.26 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Que si votre Mari dans ce lieu vous enferme, v.27 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Souffrir en mon absence un Galant qui soit vôtre, v.44 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et qu'après qu'en honneur cinquante ans j'ai vécu. v.45 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et sur vos passions conformant mes désirs, v.49 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Que l'époux ait la peine, et l'Amant les plaisirs ? v.50 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Quand on vient pour vous voir, faut-il point que je sorte ? v.51 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et ne murmurent pas quand pour faire l'amour, v.57 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et que de quantité le destin serait doux, v.65 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Si leur plus grand malheur était d'être jaloux ! v.66 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Dans les maux d'une femme à jamais s'intéresse, v.72 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Devait m'abandonner à l'amour de Cléandre, v.76 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Il vous plaisait beaucoup ce Cléandre ? v.79 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Sans doute. v.80 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Laisse chanter la Poule, et plus haut que le Coq. v.90 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Il vous faut un Mari qui crut faire un grand crime, v.91 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Qui soit brave quatre ans, et gredin plus de trente, v.96 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et sur qui l'on saisisse au profit des Marchands, v.97 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et du moins dans mes biens vous verriez des appâts, v.101 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Sans les doubles ressorts de mes six cadenas ; v.102 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Sachez qu'avant la nuit j'en veux croître la dose, v.104 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- À vos six cadenas joindre autant de verrous, v.106 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Rentrez, sans vous embarrasser. v.109 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Monsieur, vous savez bien qu'on me nomme Cléandre ? v.111 (Acte 1, scène 2, CLÉANDRE)
- Que je ne fus pas un amant fort heureux ? v.114 (Acte 1, scène 2, CLÉANDRE)
- Que votre mérite emporta la balance ? v.115 (Acte 1, scène 2, CLÉANDRE)
- Un si grand préambule est suspect à mon âme, v.119 (Acte 1, scène 2, SPADARILLE)
- Mais je sais que son âme est sans cesse assoupie, v.132 (Acte 1, scène 3, CLÉANDRE)
- Et quand secrètement j'ose agir contre lui, v.133 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Si d'un sensible affront se sentant l'âme outrée, v.139 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- Et que de son pouvoir se servant à propos, v.141 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- Cet anneau d'Olimpie est la marque secrète, v.151 (Acte 1, scène 3, CLÉANDRE)
- Par l'avis de son Père elle a mis dans mes mains. v.154 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Je sais que Spadarille est puant comme un Diable, v.156 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- Son âme scrupuleuse, et toujours défiante v.163 (Acte 1, scène 3, CLÉANDRE)
- Ne peut près d'Olimpie endurer de servante, v.164 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Dans la crainte qu'il a que l'on eut supposé, v.165 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Vous qui d'un Chien couchant affectez la grimace, v.172 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Êtes-vous point aussi quelque Amant aux yeux doux, v.173 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Mais dans ce petit doigt vous avez un anneau v.181 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Vous êtes étrange, v.183 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Pour le voir un moment croyez-vous qu'on le mange ? v.184 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Parlez vite, ô l'Amant trop aimable, v.188 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Et sans les cadenas à sa porte attachés, v.193 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- N'espérez, cependant, passeport ni Patente, v.199 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Par ce commandement ce Jaloux vous oblige, v.204 (Acte 1, scène 4, CASCARET)
- Avant qu'il ait ouvert cinq ou six cadenas, v.205 (Acte 1, scène 4, CASCARET)
- L'anneau. v.206 (Acte 1, scène 4, CASCARET)
- Qui dans l'âpre dessein d'acquérir du renom, v.209 (Acte 1, scène 5, SPADARILLE)
- J'aperçois tous les tours que votre esprit enfante. v.211 (Acte 1, scène 5, SPADARILLE)
- Je viens de voir Cléandre, il vous baise les mains. v.222 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Quoi Cléandre est ici ? v.223 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Et que de ton honneur prévoyant l'abandon. v.229 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- À vos yeux je demande pardon ! v.230 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Rien ; sinon que j'ai vu l'un des doigts de Cléandre. v.236 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Un des doigts de Cléandre ? v.237 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- La belle, et dans mon âge, il vous sied assez mal v.241 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- De vouloir me charger d'un brevet d'animal. v.242 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Ce langage confus. v.243 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Les anneaux désormais n'iront plus en campagne, v.247 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Finissez ces discours, ils sont extravagants. v.249 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Bas les gants. v.250 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Bas les gants. v.251 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Bas, vous dis-je, et tantôt votre esprit éclairci. v.253 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Que cet anneau ressemble à celui de Cléandre ! v.255 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Et ces anneaux tous deux ont un rapport si grand, v.257 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Vous pouvez cependant, réchauffer la mitaine, v.259 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Quand votre huis une fois sera clos à plaisir, v.265 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Un peu trop prétendant, prétendez un peu moins, v.270 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- L'heur dont votre alliance a comblé ma famille, v.275 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Si parfois cette humeur est pour vous complaisante ; v.280 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Mal, bon Dieu ! ce malheur est pour moi sans égal. v.282 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Pour me faire un outrage elle a donc le sang. v.285 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- C'est l'amour chaud sans doute, et plus chaud qu'il ne faut : v.286 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Qui pour faire l'Amant pris le droit de Cléandre, v.292 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Cléandre, oserait-il suborner. v.295 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Cependant d'un anneau je le trouve pourvu ; v.297 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Fait semblant d'ignorer que Cléandre est ici ; v.302 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Puis soudain se dégante, et me montre sa bague ; v.304 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Et je crois là-dessus, consultant mon cerveau, v.305 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Que qui la copia copia son Anneau. v.306 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- De Cléandre pourtant je crains peu la finesse, v.307 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Ah Cléandre ! v.313 (Acte 1, scène 8, OLIMPIE)
- Vous me parliez tantôt de m'envoyer en Ville v.316 (Acte 1, scène 8, CASCARET)
- Durant donc un adieu qu'à l'instant je vais faire, v.343 (Acte 1, scène 8, OLIMPIE)
- Et tandis que Cléandre attendra mon retour. v.345 (Acte 1, scène 8, OLIMPIE)
- Or ça, notre Beau-père, et vous Sire Cléandre, v.351 (Acte 1, scène 9, SPADARILLE)
- Je vais vous faire voir Olimpie à l'instant. v.353 (Acte 1, scène 9, SPADARILLE)
- Si j'en suis cru, Monsieur, ne vous hâtez pas tant. v.354 (Acte 1, scène 9, ALCIDOR)
- Tout l'amour que Cléandre eut pour elle v.355 (Acte 1, scène 9, ALCIDOR)
- Puisqu'à l'objet que j'aime avec tant de raison v.361 (Acte 1, scène 9, CLÉANDRE)
- Pour sa seule pensée je languis. v.364 (Acte 1, scène 9, CL?ANDRE)
- Parlons bas. Enfin brave Cléandre v.367 (Acte 1, scène 10, ALCIDOR)
- À pouvoir franchir d'une injuste puissance ; v.372 (Acte 1, scène 10, CLÉANDRE)
- Et c'est le moindre effort qu'en semblable danger v.377 (Acte 1, scène 10, CL?ANDRE)
- Et celui-ci, Bel enfant, qui sera-ce ? v.388 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Il veut sans doute égayer nos esprits, v.394 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- De quoi, de la part de Cléandre, v.395 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Aspasie est-ce vous dont les yeux éclatants. v.397 (Acte 1, scène 11, CLÉANDRE)
- Quand les gens sont si sots, ils le sont pour longtemps, v.398 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Cléandre, et feindre ici de ne pas me connaître ? v.407 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- De ce coeur enflammé la langueur est extrême, v.411 (Acte 1, scène 11, CLÉANDRE)
- Quelque chose de plus est dans celle que j'aime, v.419 (Acte 1, scène 11, CLÉANDRE)
- Ne croyez pas pourtant que l'outrage soit grand, v.425 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Bientôt dans cet endroit nous aurons sa présence. v.435 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Moi, Monsieur, me résoudre à cette complaisance ? v.436 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- J'ai peu de complaisance envers qui me méprise ; v.440 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Aspasie ou Cléandre, v.443 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- De Cléandre en un mot je connais le désir, v.449 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Dans ce lieu de me voir il a peu de plaisir : v.450 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Je vous le dis encore, Aspasie ou Cléandre, à Spadarille v.455 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Souscrivez sans murmure aux plus doux de mes voeux, v.457 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Pauvre Galant te voilà bien chanceux ! v.458 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Si l'une a de l'amour quand l'autre a de la haine ; v.464 (Acte 1, scène 12, CLÉANDRE)
- Quand des preuves de haine ont des marques d'amour. v.466 (Acte 1, scène 12, CL?ANDRE)
- Me manquer de parole, et depuis un instant. v.473 (Acte 1, scène 13, OLIMPIE)
- Olimpie en un mot, ne vous aime pas tant, v.474 (Acte 1, scène 13, SPADARILLE)
- Si vous ne m'en croyez pas, demandez à Cléandre. v.475 (Acte 1, scène 13, SPADARILLE)
- Tant de discours me font mal à la tête, v.479 (Acte 1, scène 13, SPADARILLE)
- De me tromper Cléandre avait toute la mine, v.496 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Il faisait tout exprès le petit complaisant ; v.497 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Ses transports d'allégresse auront lieu de paraître ! v.500 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Du départ de Cléandre allons la réjouir, v.501 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Il n'est plus ici ce Cléandre, Ma Mie, v.503 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Moi commettre une faute si grande ! v.511 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Mais je vous le commande. v.512 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Obéissez, Courtisan mal éclos. v.513 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Sans tant dire de si, ni de car, ni de mais, v.518 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Mais quand je songe aux respects que je dois. v.521 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Un cadenas sans clef aisément se referme, v.524 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Ah trigaud malfaisant, si je sors je te jure. v.527 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Mais sans tenir ici d'inutiles propos, v.529 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Olimpie est aux mains de Cléandre, v.532 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- En entrant le premier tu m'as mis hors de peine, v.543 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Tu t'en vas donc, Marchand de Chair humaine, v.544 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Jamais futé Renard dans sa propre tanière, v.547 (Acte 1, scène 15, SPADARILLE)
- Se vit-il enfermé de semblable manière ? v.548 (Acte 1, scène 15, SPADARILLE)
- Et disant à ce sexe un éternel adieu, v.553 (Acte 1, scène 15, SPADARILLE)
Dans les 1862 textes du corpus, il y a 12 textes (soit une présence dans 0,64 % des textes) dans lesquels il y a 3705 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 308,75 occurences par texte.
n° | Titres | Acte 1 | Acte 2 | Acte 3 | Acte 4 | Acte 5 | Prologue | Total |
1 | MARIE STUARD | 99 | 76 | 99 | 92 | 79 | 0 | 445 |
2 | ÉSOPE À LA COUR | 143 | 147 | 138 | 151 | 96 | 13 | 688 |
3 | LA SATIRE DES SATIRES | 240 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 240 |
4 | LE MÉDECIN VOLANT | 123 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 123 |
5 | LE MORT VIVANT | 112 | 100 | 72 | 0 | 0 | 0 | 284 |
6 | GERMANICUS | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 |
7 | GERMANICUS | 112 | 104 | 102 | 85 | 101 | 0 | 504 |
8 | LA FÊTE DE LA SEINE | 69 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 69 |
9 | LES MOTS ? LA MODE | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 |
10 | LES MOTS À LA MODE | 208 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 208 |
11 | LA COM?DIE SANS TITRE | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 |
12 | LA COMÉDIE SANS TITRE | 80 | 102 | 127 | 72 | 89 | 0 | 470 |
13 | LE PORTRAIT DU PEINTRE | 144 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 144 |
14 | LES DEUX FRÈRES GÉMEAUX | 71 | 63 | 82 | 80 | 83 | 0 | 379 |
15 | LE JALOUX ENDORMI | 147 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 147 |
Total | 1552 | 592 | 620 | 480 | 448 | 13 | 3705 |